Suchergebnisse
Filter
82 Ergebnisse
Sortierung:
World Affairs Online
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Les produits : objets et/ou choses ? Retour sur la pragmatique des conventions 1
Autre document ; Nous avons vu tout au long du livre 2 à quel point la question de la qualité des produits est au coeur des marchés et des systèmes de production. La raison en est que, bien loin d'être marginal ou étroitement technique, l'enjeu de s'entendre sur ce qui va être produit, comment, avec qui et pour qui-autrement dit le produit-est ce qui constitue le fondement des organisations et configurations des marchés et de la production. L'enjeu déborde l'économie stricto sensu et intègre des questions en général traitées par la sociologie, la science politique ou le droit (telles les questions de la délibération, de l'accord, du cadre juridique, ou des politiques publiques). Les croisements à faire entre les problèmes pratiques à résoudre en matière de qualité par les acteurs et les conceptions théoriques proposées par les sciences sociales concernées sont complexes, car les solutions trouvées, s'il y en a, ont comme propriété d'être incorporées dans la matérialité même des produits réalisés. Elles sont constituantes de cette matérialité, non seulement dans sa forme, comme l'économie des conventions l'a amplement traité, mais aussi dans sa substance. Le concept de convention de qualité, élaboré par François Eymard-Duvernay 3 désigne donc un champ et des orientations de recherche vastes qu'il s'agit d'ouvrir vers des réalités nouvelles. Le détour par l'histoire de processus concrets d'émergence et d'accord sur la qualité, pour une série de produits, le démontre amplement.
BASE
Gouvernance, quantification et droit. À propos d'Alain Supiot, La gouvernance par les nombres. Cours au Collège de France (2012-2014) , Paris, Fayard, 2015, 512 p
In: Revue française de socio-économie: Rfse, Band 17, Heft 2, S. 185-191
Quantification and Objectivity. From Statistical Conventions to Social Conventions ; Quantifizierung und Objektivität. Von statistischen Konventionen zu sozialen Konventionen
Standard quantification processes and most often their analysis are derived from statistics' technique and approach. Social conventions are at the core of daily life, practical knowledge and coordination between people; statistical conventions are at the heart of cognitive activities developed by statisticians. What does quantification mean when addressed from the wider point of view of social conventions? This article analyzes the differences between social and statistical conventions. It enlarges the concept of objectivity in having recourse to the lenses of the plurality of worlds as defined by the economics of convention (EC), and to the concept of the informational basis of judgement in justice introduced by Amartya Sen. A wider conception of quantification processes in the social world can thus be elaborated, which opens fresh views on what become, in these processes, the concepts of facts and democracy.
BASE
Quantification and objectivity: from statistical conventions to social conventions
In: Historical social research: HSR-Retrospective (HSR-Retro) = Historische Sozialforschung, Band 41, Heft 2, S. 118-134
ISSN: 2366-6846
Standard quantification processes and most often their analysis are derived from statistics' technique and approach. Social conventions are at the core of daily life, practical knowledge and coordination between people; statistical conventions are at the heart of cognitive activities developed by statisticians. What does quantification mean when addressed from the wider point of view of social conventions? This article analyzes the differences between social and statistical conventions. It enlarges the concept of objectivity in having recourse to the lenses of the plurality of worlds as defined by the economics of convention (EC), and to the concept of the informational basis of judgement in justice introduced by Amartya Sen. A wider conception of quantification processes in the social world can thus be elaborated, which opens fresh views on what become, in these processes, the concepts of facts and democracy. (author's abstract)
Revisiter la question de l'État à la lumière de la crise de l'Europe: État extérieur, situé ou absent
In: Revue française de socio-économie: Rfse, Band Hors-série, Heft 2, S. 245-262
La pensée de l'État doit être renouvelée : vers la pluralité de ses formes ; comme le produit conjoint des citoyens (et non comme une superstructure agissant de l'extérieur de la société) ; prenant au sérieux la pratique démocratique à tous les niveaux. L'article propose une lecture de l'État fondée sur l'économie des conventions. L'État n'est un État que s'il fait l'objet d'une convention entre les membres de la communauté politique quant à sa place dans la coordination sociale. On entend par convention de l'État un ensemble d'attentes mutuelles qui se développent au sein de cette communauté sur la distribution des responsabilités entre État et citoyens quant au bien commun, sa définition, sa réalisation et son évaluation. Trois conventions sont distinguées : État extérieur, absent, situé. Chacune de ces conventions pose à sa manière propre la question de la démocratie, de ses formes, ses moyens et sa pratique. Le projet européen a été construit sciemment à l'extérieur des communautés politiques nationales. Les peuples européens ont été mis dans l'impossibilité de le faire leur. Aucune convention de l'État ne peut émerger au niveau européen, d'où le risque de faillite du projet. L'article conclut sur les pistes futures de recherche.
Europe, Laboratory for A-Democracy? ; Europa, Laboratorium für A-Demokratie?
A-democracy is for a given society a state in which, like the apples sold in supermarkets, democracy has now only the appearance of democracy, without the taste (no real practice and effectivity) that should go along with it. This contribution claims that, for the leaders of the neoliberal global market and finance, the searched political solution for its crisis is how to change everything without changing anything. The construction of Europe appears a de facto laboratory for experiments aimed at this objective. For the European Union is using in different fields forms of democracy whose specificity is to imply participants (peoples, actors, organizations, national political elites) in a game in which they control neither the rules, nor the data, the agendas, or the outcomes. The contribution reviews a series of these forms; which describe passages to a-democracy in the current crisis.
BASE
Europe, laboratory for a-democracy?
In: Historical social research: HSR-Retrospective (HSR-Retro) = Historische Sozialforschung, Band 40, Heft 1, S. 185-199
ISSN: 2366-6846
"A-democracy is for a given society a state in which, like the apples sold in supermarkets, democracy has now only the appearance of democracy, without the taste (no real practice and effectivity) that should go along with it. This contribution claims that, for the leaders of the neoliberal global market and finance, the searched political solution for its crisis is how to change everything without changing anything. The construction of Europe appears a de facto laboratory for experiments aimed at this objective. For the European Union is using in different fields forms of democracy whose specificity is to imply participants (peoples, actors, organizations, national political elites) in a game in which they control neither the rules, nor the data, the agendas, or the outcomes. The contribution reviews a series of these forms; which describe passages to a-democracy in the current crisis." (author's abstract)