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Max Weber was one of the most influential and creative intellectual forces of the twentieth century. In his methodology of the social sciences, he both exposed the flaws and solidified the foundations of the German historical tradition. Throughout his life, he saw bureaucracy as a serious obstacle to cultural vitality but as an inescapable part of organizational rationality. And in his most famous essay, on the Protestant ethic, he uncovered the psychological underpinnings of capitalism and modern occupational life.This searching work offers the first comprehensive introduction to

One of the foremost historians of intellectual life and education in Germany, Fritz Ringer has brought together in this volume several of his articles, most of which are not easily available are published here in English for the first time. They focus on a whole range of contemporary and historical debates about the relationship between ideas and their context, the role of education and middle-class consciousness, the social role of academics and intellectuals, and competing ideals of learning, science, and history

Résumé La segmentation désigne la subdivision des systèmes d'enseignement en écoles et programmes parallèles se distinguant à la fois par les cursus et l'origine sociale de leurs élèves. Elle affecte de façon cruciale la définition des rôles sociaux liée aux différences d'éducation. La comparaison des transformations des systèmes d'enseignement prussien et français entre 1865 et 1920 permet d'étudier les implications sociales de la subdivision de l'enseignement secondaire européen au xix e siècle en « voies » classiques et non classiques. En dépit des réformes introduites et, en particulier, d'un enseignement plus orienté vers la vie professionnelle, il n'y a pas eu d'augmentation du recrutement des classes populaires et de la petite bourgeoisie, contrairement à ce qu'escomptaient les réformateurs. En conséquence, la division sociale entre enseignement secondaire classique et moderne a surtout marqué une séparation entre la bourgeoisie bien établie et les classes moyennes composées de petits producteurs, commerçants et, de plus en plus, de cols blancs. Dans la France du xix e siècle, l'enseignement secondaire a presque exclusivement servi à accentuer et à légitimer des positions sociales principalement assises sur la richesse. En Allemagne, les formes traditionnelles de l'enseignement secondaire ont contribué à entretenir une hiérarchie des « statuts » en désaccord partiel avec la structure de classes capitaliste qui commençait à se mettre en place. C'est pourquoi le développement de la segmentation dans l'enseignement secondaire en Allemagne comme en France au cours de cette période peut aussi être perçu comme la mise en place d'un système d'enseignement stratifié, capable de reproduire et de légitimer la société de classes moderne.

La segmentation des systèmes d'enseignement.
Les réformes de l'enseignement secondaire français et prussien, 1865-1920.

La segmentation désigne la subdivision des systèmes d'enseignement en écoles et programmes parallèles se distinguant à la fois par les cursus et l'origine sociale de leurs élèves. Elle affecte de façon cruciale la définition des rôles sociaux liée aux différences d'éducation. La comparaison des transformations des systèmes d'enseignement prussien et français entre 1865 et 1920 permet d'étudier les implications sociales de la subdivision de l'enseignement secondaire européen au XIXe siècle en « voies » classiques et non classiques. En dépit des réformes introduites et, en particulier, d'un enseignement plus orienté vers la vie professionnelle, il n'y a pas eu d'augmentation du recrutement des classes populaires et de la petite bourgeoisie, contrairement à ce qu'escomptaient les réformateurs. En conséquence, la division sociale entre enseignement secondaire classique et moderne a surtout marqué une séparation entre la bourgeoisie bien établie et les classes moyennes composées de petits producteurs, commerçants et, de plus en plus, de cols blancs. Dans la France du XIXe siècle, l'enseignement secondaire a presque exclusivement servi à accentuer et à légitimer des positions sociales principalement assises sur la richesse. En Allemagne, les formes traditionnelles de l'enseignement secondaire ont contribué à entretenir une hiérarchie des « statuts » en désaccord partiel avec la structure de classes capitaliste qui commençait à se mettre en place. C'est pourquoi le développement de la segmentation dans l'enseignement secondaire en Allemagne comme en France au cours de cette période peut aussi être perçu comme la mise en place d'un système d'enseignement stratifié, capable de reproduire et de légitimer la société de classes moderne.

There are a variety of possible approaches to Weber's political thought. One can emphasize his class-conscious attack upon the new East Elbian agrarian capitalists, or his commitment to a politics of responsibility, in which the probable consequences of political proposals are explicitly assessed and announced. Wolfgang Mommsen has focused upon Weber's nationalism, almost to the exclusion of other aspects of his work. Jürgen Habermas has suggested that Weber tended to reduce ultimate value choices to essentially gratuitous, purely personal decisions. The emphasis in the present essay, however, is upon Weber's liberal pluralism, which anticipated a principled value pluralism, and which was a profound and persistent theme in his political commentaries.

During the 1950s, a team of Göttingen sociologists led by Helmut Plessner undertook a systematic survey of all faculty who taught at German university-level institutions during one or more of eleven selected sample years between 1864 and 1953. Drawing upon university catalogues (Vorlesungsverzeichnisse), scholarly handbooks (Minerva, Kürschners, Poggendorfs), and a variety of encyclopedias, members of the Göttingen group collected biographical and career data for almost twenty-four thousand individuals, which they entered by hand (though much of it in code) on manuscript sheets that were preserved at the Max Planck Institut für Bildungsforschung in Berlin.

Frontmatter -- CONTENTS -- ACKNOWLEDGMENTS -- INTRODUCTION: INTERPRETATION AND EXPLANATION -- ASPECTS OF WEBER'S INTELLECTUAL FIELD 1 -- WEBER'S ADAPTATION OF RICKERT 2 -- SINGULAR CAUSAL ANALYSIS 3 -- INTERPRETATION AND EXPLANATION 4 -- OBJECTIVITY AND VALUE NEUTRALITY 5 -- FROM THEORY TO PRACTICE 6 -- CONCLUSION -- BIBLIOGRAPHY -- INDEX

Felder des Wissens ist eine vergleichende Analyse der akademischen Kulturen und der Debatten um die Reform der höheren Schulbildung in Frankreich und Deutschland um 1900. Fritz Ringer, einer der profiliertesten Bildungs- und Wissenschaftshistoriker, legt mit diesem Band eine vergleichende Analyse der akademischen Kulturen in Frankreich und Deutschland um 1900 vor. Die Debatten um die Reform der akademischen Sekundarschulen und Universitäten sowie die Formierung der modernen Sozial- und Geschichtswissenschaften in ihrer jeweils unterschiedlichen nationalen Gestalt bilden den Fokus des Buches; sie werden in ihrer sozialen und politischen Einbindung sowie ihrer Abhängigkeit von unterschiedlichen Bildungskonzeptionen und -traditionen untersucht. Gleichzeitig stellt Felder des Wissens in gewisser Weise die Summe und Quintessenz eines Forschungsprogramms dar, das mit den 1969 erschienenen Gelehrten seinen Anfang nahm und in Büchern wie Education and Society in Modern Europe (1975) und einer Vielzahl von Artikeln die Forschung im Bereich der Sozialgeschichte der Bildung in eindrucksvoller Weise mitgeprägt hat.