Introduction : The Renaissance / Orville Vernon Burton -- Technological revolutions I have known / Edward L. Ayers -- Rewiring the history and social studies classroom : needs, frameworks, dangers, and proposals / Randy Bass and Roy Rosenzweig -- Validity of web-based surveys : explorations with data from 2,382 teenagers / William Sims Bainbridge -- Computer environments for content analysis : reconceptualizing the roles of humans and computers / William Evans -- Electronic texts in the historical profession : perspectives from across the scholarly spectrum / Wendy Plotkin -- Social activism through computer networks / Daniel J. Myers -- Creating cybertrust : illustrations and guidelines / H. Jeanie Taylor and Cheris Kramarae -- Electronic networks for international research collaboration : implications for intellectual property protection in the early twenty-first century / Carole Ganz-Brown
International audience ; L'importance des architectures de terre crue dans le monde est encore très mal connue. Dans la conscience publique et même chez la majorité des acteurs spécialisés de la construction, le matériau terre est encore jugé antique et périmé. La terre crue n'est plus regardée aujourd'hui comme un matériau de construction majeur. Situation paradoxale car la terre confère toujours un caractère et une personnalité indéniables aux paysages architecturaux, urbains et ruraux, de très nombreux pays, et parce que ses potentialités, à l'évidence, sont loin d'être "évincées" par les cultures constructives modernes. Il est non seulement question ici de la "vitalité" mais aussi de la "renaissance" des architectures de terre dans le monde. Les développements, au cours des dernières décennies, de la recherche scientifique et architecturale sur le matériau terre, sur les techniques de production des matériaux et de construction, l'investissement désormais concret des industriels et des entreprises du bâtiment dans la perspective économique, aujourd'hui viable, du montage de lignes de production soutenant le développement de "filières terre" pour l'habitat et les équipements publics (éducatifs, de la santé, culturels et touristiques, etc…), les développements très significatifs de la formation universitaire et de la formation professionnelle (y compris la formation de formateurs), désormais associés au lancement de centres ou d'écoles spécialisés (exemple de la France et du Portugal), la diffusion internationale de la documentation scientifique, technique et culturelle, convergent aujourd'hui vers l'émergence et la consolidation de stratégies et de politiques nationales qui intègrent le potentiel très réaliste et prometteur de la construction en terre, au plan économique et social (artisanat, industrie et emploi), environnemental et culturel (écologie et question du patrimoine notamment). Cet article propose, en première partie, un panorama mondial des architectures de terre en posant quelques références sur l'histoire des cultures constructives à partir d'exemples choisis dans différents continents (Europe continentale et méditerranéenne, Afrique, Amérique du Nord, Mésoamérique et Amérique latine). Vient ensuite un exposé général sur l'état des connaissances concernant le renouveau des architectures de terre, dans les pays industrialisés (U.S.A, Europe et Australie) et dans les pays en développement avec l'affirmation de la nécessité d'une valorisation du potentiel utile des savoirs et savoir-faire traditionnels pour contribuer à apporter des solutions à l'ampleur sans précédent du déficit en logements dans le monde en développement. En deuxième partie, sont abordés les principaux enjeux liés au développement actuel et futur des architectures de terre et notamment les aspects de la recherche scientifique et architecturale, de la formation universitaire et professionnelle, de l'information et de la documentation et enfin de la normalisation des matériaux.
International audience ; Tradition et modernité des cultures constructives de l'architecture de terre : panorama mondial et enjeux actuels sur la recherche, la formation, la documentation et la normalisation RESUME L'importance des architectures de terre crue dans le monde est encore très mal connue. Dans la conscience publique et même chez la majorité des acteurs spécialisés de la construction, le matériau terre est encore jugé antique et périmé. La terre crue n'est plus regardée aujourd'hui comme un matériau de construction majeur. Situation paradoxale car la terre confère toujours un caractère et une personnalité indéniables aux paysages architecturaux, urbains et ruraux, de très nombreux pays, et parce que ses potentialités, à l'évidence, sont loin d'être "évincées" par les cultures constructives modernes. Il est non seulement question ici de la "vitalité" mais aussi de la "renaissance" des architectures de terre dans le monde. Les développements, au cours des dernières décennies, de la recherche scientifique et architecturale sur le matériau terre, sur les techniques de production des matériaux et de construction, l'investissement désormais concret des industriels et des entreprises du bâtiment dans la perspective économique, aujourd'hui viable, du montage de lignes de production soutenant le développement de "filières terre" pour l'habitat et les équipements publics (éducatifs, de la santé, culturels et touristiques, etc…), les développements très significatifs de la formation universitaire et de la formation professionnelle (y compris la formation de formateurs), désormais associés au lancement de centres ou d'écoles spécialisés (exemple de la France et du Portugal), la diffusion internationale de la documentation scientifique, technique et culturelle, convergent aujourd'hui vers l'émergence et la consolidation de stratégies et de politiques nationales qui intègrent le potentiel très réaliste et prometteur de la construction en terre, au plan économique et social (artisanat, industrie et emploi), environnemental et culturel (écologie et question du patrimoine notamment). Cet article propose, en première partie, un panorama mondial des architectures de terre en posant quelques références sur l'histoire des cultures constructives à partir d'exemples choisis dans différents continents (Europe continentale et méditérranéenne, Afrique, Amérique du Nord, Mésoamérique et Amérique latine). Vient enseuite un exposé général sur l'état des connaissances concernant le renouveau des architectures de terre, dans les pays industrialisés (U.S.A, Europe et Australie) et dans les pays en développement avec l'affirmation de la nécessité d'une valorisation du potentiel utile des savoirs et savoir-faite traditionnels pour contribuer à apporter des solutions à l'ampleur sans précédent du déficit en logements dans le monde en développement. En deuxième partie, sont abordés les principaux enjeux liés au développement actuel et futur des architectures de terre et notamment les aspects de la recherche scientifique et architecturale, de la formation universitaire et professionnelle, de l'information et de la documentation et enfin de la normalisation des matériaux.
International audience ; L'importance des architectures de terre crue dans le monde est encore très mal connue. Dans la conscience publique et même chez la majorité des acteurs spécialisés de la construction, le matériau terre est encore jugé antique et périmé. La terre crue n'est plus regardée aujourd'hui comme un matériau de construction majeur. Situation paradoxale car la terre confère toujours un caractère et une personnalité indéniables aux paysages architecturaux, urbains et ruraux, de très nombreux pays, et parce que ses potentialités, à l'évidence, sont loin d'être "évincées" par les cultures constructives modernes. Il est non seulement question ici de la "vitalité" mais aussi de la "renaissance" des architectures de terre dans le monde. Les développements, au cours des dernières décennies, de la recherche scientifique et architecturale sur le matériau terre, sur les techniques de production des matériaux et de construction, l'investissement désormais concret des industriels et des entreprises du bâtiment dans la perspective économique, aujourd'hui viable, du montage de lignes de production soutenant le développement de "filières terre" pour l'habitat et les équipements publics (éducatifs, de la santé, culturels et touristiques, etc…), les développements très significatifs de la formation universitaire et de la formation professionnelle (y compris la formation de formateurs), désormais associés au lancement de centres ou d'écoles spécialisés (exemple de la France et du Portugal), la diffusion internationale de la documentation scientifique, technique et culturelle, convergent aujourd'hui vers l'émergence et la consolidation de stratégies et de politiques nationales qui intègrent le potentiel très réaliste et prometteur de la construction en terre, au plan économique et social (artisanat, industrie et emploi), environnemental et culturel (écologie et question du patrimoine notamment). Cet article propose, en première partie, un panorama mondial des architectures de terre en posant quelques références sur ...
International audience ; Tradition et modernité des cultures constructives de l'architecture de terre : panorama mondial et enjeux actuels sur la recherche, la formation, la documentation et la normalisation RESUME L'importance des architectures de terre crue dans le monde est encore très mal connue. Dans la conscience publique et même chez la majorité des acteurs spécialisés de la construction, le matériau terre est encore jugé antique et périmé. La terre crue n'est plus regardée aujourd'hui comme un matériau de construction majeur. Situation paradoxale car la terre confère toujours un caractère et une personnalité indéniables aux paysages architecturaux, urbains et ruraux, de très nombreux pays, et parce que ses potentialités, à l'évidence, sont loin d'être "évincées" par les cultures constructives modernes. Il est non seulement question ici de la "vitalité" mais aussi de la "renaissance" des architectures de terre dans le monde. Les développements, au cours des dernières décennies, de la recherche scientifique et architecturale sur le matériau terre, sur les techniques de production des matériaux et de construction, l'investissement désormais concret des industriels et des entreprises du bâtiment dans la perspective économique, aujourd'hui viable, du montage de lignes de production soutenant le développement de "filières terre" pour l'habitat et les équipements publics (éducatifs, de la santé, culturels et touristiques, etc…), les développements très significatifs de la formation universitaire et de la formation professionnelle (y compris la formation de formateurs), désormais associés au lancement de centres ou d'écoles spécialisés (exemple de la France et du Portugal), la diffusion internationale de la documentation scientifique, technique et culturelle, convergent aujourd'hui vers l'émergence et la consolidation de stratégies et de politiques nationales qui intègrent le potentiel très réaliste et prometteur de la construction en terre, au plan économique et social (artisanat, industrie et emploi), ...
Altruistic Reveries is a unique volume, which arises out of an Interdisciplinary Conference on Perspectives on Altruism from the Humanities and Social Sciences organized by the Centre for Advanced Studies, Faculty of Arts and Social Sciences, National University of Singapore, in October 1999. Altruism is a deep, multi-faceted phenomenon, of great interest and relevance to scholars across the entire range of disciplines in the Humanities and Social Sciences. The Centre therefore brought together experts in diverse disciplines - Philosophy, Literature, Psychology, Sociology, Economics, and Political science - to examine and discuss the significance and role of altruism from their respective perspectives. A total of 10 papers in all were presented, and the volume is completed by an Introduction by the editors, and a final Concluding Chapter by one of the editors. Among the issues discussed are: the efficacy of motivational altruism in the resolution of public issues; the genetic origins of altruism and its attendant risks; the metaphysical basis of altruism; empathy and altruism; altruism or social exchange; altruism in wartime; and the welfare state. A notable feature of the volume is that the various authors have not `talked past' one another. Although each is a specialist in his field, the papers are accessible to those in other fields, and to non-specialists. Both individually and together, they provide a rich set of insights and perspectives on altruism as a fundamental human and social phenomenon, which will edify, interest, and stimulate all readers of the volume