Genre et frequentation scolaire au premier cycle de l'enseignement fondamental au Mali
In: Research report 41
In: Partenariat des projets strategique des ressources pour l'education des filles en Afrique
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In: Research report 41
In: Partenariat des projets strategique des ressources pour l'education des filles en Afrique
In: Research report 38
In: Partenariat des projets strategique des ressources pour l'education des filles en Afrique
The Nancy N. Boothe papers, 1980-2009 [bulk 1990-1997], are composed of articles, notes, reports and a wide variety of feminist publications. Much of the material documents the U.N. Fourth World Conference on Women, which Ms. Boothe attended as Executive Director of Atlanta's Feminist Women's Health Center. Artifacts, artwork and textiles relate to the conference and to other women's and health issues. ; Born in Battles Wharf, Alabama (1948), Nancy N. Boothe graduated from the University of South Alabama as a registered nurse (1971). She received a B.S. in nursing from the Medical College of Georgia (1976), and a master's degree in Counseling from Troy State University [Florida Region] (1981). Boothe served in the U.S. Nurse Corps in the U.S. and Korea (1970-1984), and worked as clinical director and consultant at a number of health facilities in Louisiana and Florida. She became Executive Director of the Atlanta Feminist Women's Health Center in 1994. In 1995, she attended the Fourth World Conference on Women in Beijing, China, where she taught the workshop, ""GYN Self-Help."" Boothe has served on the boards of All Women's Health Services in Portland and Eugene, Oregon; the Sexual Assault Center, Atlanta, Georgia; and the Jeanette Rankin Foundation, Athens, Georgia. She is also a member of the Feminist Majority Foundation's ""Women's Commission for Congressional Oversight"" and A.P.D. Citizen Review Panel.; Founded in California in 1971 by Carol Downer (1933-) and Lorraine Rothman (1932-2007), the Feminist Women's Health Center was established to empower women through self-knowledge, education and self-help groups. The Atlanta Feminist Women's Health Center was established in 1977. Its mission is to ""provide accessible, comprehensive gynecological healthcare to all who need it without judgment. As innovative healthcare leaders, [they] work collaboratively within [their] community and nationally to promote reproductive health, rights and justice. [They] advocate for wellness, uncensored health information and fair public policies by educating the larger community and empowering [their] clients to make their own decisions.""; The United Nations convened the Fourth World Conference on Women, September 4-15, 1995, in Beijing, China, with a Platform for Action that aimed at achieving greater equality and opportunity for women. Three previous World Conferences were held in Mexico City (International Women's Year, 1975), Copenhagen (1980) and Nairobi (1985). 189 governments and more than 5,000 representatives from 2,100 non-governmental organizations participated in the Beijing Conference. The principal themes were the advancement and empowerment of women in relation to women's human rights, women and poverty, women and decision-making, the girl-child, violence against women and other areas of concern. The resulting documents of the Conference are The Beijing Declaration and Platform for Action. The U.N. Fourth World Conference on Women manifested a global women's movement for change and has been called ""the Woodstock of the women's movement.""; The World Conference on Women was also accompanied by an informal meeting (August 30-September 8) of non-governmental organizations (NGOs). This NGO Forum on Women, Beijing '95, brought together thousands of women from around the world to exchange information and ideas, celebrate women's achievements and contributions and draw attention and develop solutions to discrimination facing women world-wide.
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Sammelband mit 8 Einzelbeiträgen zu den o.a. Themenkreisen. Am Schluß ein Verzeichnis afrikanischer Frauenorganisationen. (DÜI-Spe)
World Affairs Online
World Affairs Online
International audience ; « La lecture, un territoire nouveau pour les Femmes d'Afrique », in Femmes d'Afrique et de la diaspora, Université d'Alger, 6-9 décembre 2010, A. Bererhi & B. Lebdaï (ed.), Alger : Presse universitaires d'Alger, 2011. La question « livre, lecture, édition, des territoires nouveaux pour les femmes africaines ? », question de socio-littérature plus que de théorie et critique littéraires à proprement parler, interroge la place et le rôle des femmes africaines dans la médiation du livre et de la lecture en Afrique qu'il s'agisse de littérature ou d'ouvrages à caractère pratique, informatif, politique, littéraire ou éducatif. C'est une question à laquelle j'ai cherché à répondre dans le cadre d'un dictionnaire encyclopédique des femmes créatrices de tous les temps, tous les pays du monde et toutes les secteurs d'activités, pour lequel on m'avait chargée du secteur restreint des « femmes du livre », c'est-à-dire essentiellement les éditrices, mais aussi les libraires, imprimeures, relieuses, bibliothécaires dont la contribution pouvait être jugée particulièrement remarquable et marquante. Dans le cadre de cette publication j'ai ainsi exploré de nombreuses sources documentaires, sollicité les chercheurs en Histoire du livre et de l'édition qui travaillent sur différents domaines géographiques ou linguistiques, sélectionné et rédigé des notices sur des femmes du livres de toutes époques et tous horizons sans pouvoir, jusqu'à très récemment, obtenir de véritables informations, tangibles, solides et surtout nourries sur des contributions particulièrement remarquables de femmes d'Afrique et de la diaspora dans le domaine du livre et de l'édition. Rareté des femmes africaines éditeurs J'ai trouvé des exemples remarquables de femmes africaines écrivains ayant développé aussi une activité, marginale, d'édition, notamment de littérature pour la jeunesse, comme Fatou Diome au Sénégal. Dans la liste des éditrices américaines majeures, ayant eu une contribution significative pendant ou à la suite des ...
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International audience ; « La lecture, un territoire nouveau pour les Femmes d'Afrique », in Femmes d'Afrique et de la diaspora, Université d'Alger, 6-9 décembre 2010, A. Bererhi & B. Lebdaï (ed.), Alger : Presse universitaires d'Alger, 2011. La question « livre, lecture, édition, des territoires nouveaux pour les femmes africaines ? », question de socio-littérature plus que de théorie et critique littéraires à proprement parler, interroge la place et le rôle des femmes africaines dans la médiation du livre et de la lecture en Afrique qu'il s'agisse de littérature ou d'ouvrages à caractère pratique, informatif, politique, littéraire ou éducatif. C'est une question à laquelle j'ai cherché à répondre dans le cadre d'un dictionnaire encyclopédique des femmes créatrices de tous les temps, tous les pays du monde et toutes les secteurs d'activités, pour lequel on m'avait chargée du secteur restreint des « femmes du livre », c'est-à-dire essentiellement les éditrices, mais aussi les libraires, imprimeures, relieuses, bibliothécaires dont la contribution pouvait être jugée particulièrement remarquable et marquante. Dans le cadre de cette publication j'ai ainsi exploré de nombreuses sources documentaires, sollicité les chercheurs en Histoire du livre et de l'édition qui travaillent sur différents domaines géographiques ou linguistiques, sélectionné et rédigé des notices sur des femmes du livres de toutes époques et tous horizons sans pouvoir, jusqu'à très récemment, obtenir de véritables informations, tangibles, solides et surtout nourries sur des contributions particulièrement remarquables de femmes d'Afrique et de la diaspora dans le domaine du livre et de l'édition. Rareté des femmes africaines éditeurs J'ai trouvé des exemples remarquables de femmes africaines écrivains ayant développé aussi une activité, marginale, d'édition, notamment de littérature pour la jeunesse, comme Fatou Diome au Sénégal. Dans la liste des éditrices américaines majeures, ayant eu une contribution significative pendant ou à la suite des ...
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International audience ; « La lecture, un territoire nouveau pour les Femmes d'Afrique », in Femmes d'Afrique et de la diaspora, Université d'Alger, 6-9 décembre 2010, A. Bererhi & B. Lebdaï (ed.), Alger : Presse universitaires d'Alger, 2011. La question « livre, lecture, édition, des territoires nouveaux pour les femmes africaines ? », question de socio-littérature plus que de théorie et critique littéraires à proprement parler, interroge la place et le rôle des femmes africaines dans la médiation du livre et de la lecture en Afrique qu'il s'agisse de littérature ou d'ouvrages à caractère pratique, informatif, politique, littéraire ou éducatif. C'est une question à laquelle j'ai cherché à répondre dans le cadre d'un dictionnaire encyclopédique des femmes créatrices de tous les temps, tous les pays du monde et toutes les secteurs d'activités, pour lequel on m'avait chargée du secteur restreint des « femmes du livre », c'est-à-dire essentiellement les éditrices, mais aussi les libraires, imprimeures, relieuses, bibliothécaires dont la contribution pouvait être jugée particulièrement remarquable et marquante. Dans le cadre de cette publication j'ai ainsi exploré de nombreuses sources documentaires, sollicité les chercheurs en Histoire du livre et de l'édition qui travaillent sur différents domaines géographiques ou linguistiques, sélectionné et rédigé des notices sur des femmes du livres de toutes époques et tous horizons sans pouvoir, jusqu'à très récemment, obtenir de véritables informations, tangibles, solides et surtout nourries sur des contributions particulièrement remarquables de femmes d'Afrique et de la diaspora dans le domaine du livre et de l'édition. Rareté des femmes africaines éditeurs J'ai trouvé des exemples remarquables de femmes africaines écrivains ayant développé aussi une activité, marginale, d'édition, notamment de littérature pour la jeunesse, comme Fatou Diome au Sénégal. Dans la liste des éditrices américaines majeures, ayant eu une contribution significative pendant ou à la suite des ...
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"Female genital mutilation" is a contemporary invention that has become an object of political debate since the late 1970s. Legal and medical discourse, followed by feminist discourse, have emerged on the international scene and outlined the contours of a worldwide recognized crime. Originally defined as a public health problem, excision of the clitoris has become the subject of reparation politics of sexuality in the 2000s. France has a unique policy that grants excised women the access to surgical repair of their clitoris. The surgery is reimbursed by the public health insurance system since 2003, providing an equal access to repair for all women and including the right to repair within social policies. This thesis is based on a unique empirical material including an ethnographic observation of two surgery units that practice clitoral repair surgery in Paris metropolitan area, a quantitative analysis of medical records of all patients followed by these units since their creation, and in-depth interviews of 30 women who contacted one of the units. It retraces the logics of the two actors involved in repair surgery: the medical profession and patients. For African women from sub-Saharan Africa, repair reflects a genuine quest for equality in sexuality with unexcised European women. On the medical side, professionals answers requests made by women who are able to express excision as an attack/aggression and to claim their right to repair ("I want to get back what was taken from me"). Clitoral repair is an example of unprecedented repair policy of sexuality, in which medicine, sexuality and excision are questioned. ; Les « mutilations génitales féminines » sont une invention contemporaine. Elles deviennent un objet de débat politique à partir de la fin des années 1970. Le discours juridique et les formulations médicales s'imposent sur la scène internationale, suivis par le discours féministe. Ils tracent ensemble les contours d'un crime reconnu au niveau mondial. Originellement défini comme un problème de santé ...
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World Affairs Online
Women's involvement in the leadership of children and other women is for the moment the dominant model in African Pentecôtist Churches, sometimes associated with the role of 'pastoralist woman', a status respected but without real authority. The other model involves women in recovery, in some churches where they manage to create unprecedented areas of autonomy, as 'prophetesses', and to establish their influence, independently of male leaders. Women seem to have 'privileges without power'. In most cases, their role is simply shifting their domestic skills within the Church. If it is accepted that the portrait of the new African migrant in Europe is now 'a young, educated and autonomous woman', in the words of J. Barou, how do gender relations, which are religious prescriptions, accept the freedoms granted in European countries, particularly women? Some of them, among the youngest, have subtle flexibilities in tension with loyalty to their religious affiliation and pastoral authority. ; International audience The association of the woman to the training of the children and others women is for the moment the dominant model within the African Pentecostal Churches, sometimes associated with the role of \"Pastor's Wife\", a respected statute without true authority. So the women seem to have \"privileges without power\". Their role generally results in the simple displacement of their domestic competences within the framework of the Church. If it is admitted that the portrait of the new African migrant in Europe is today ä young woman, educated and autonomous\", according to terms\' of J. Barou, how the relations of gender, which are as many religious regulations (dress codes, sexual division in the space of the church), adapt the freedoms granted in the European countries, in particular to the women? Some of these women, in particular youngest, give them self subtle room for manoeuvre in tension with fidelity to their religious membership, thus creating new spaces of freedom faced with the male domination and the ...
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During my fieldwork, I lived in the LATIN QUARTERS in Bangui (Central African Republic), named SOWETO, where women are head of household. Other people call them « FREE WOMEN, BECAUSE THEY USE THEIR FREEDOM SO MUCH, IT BECOMES PEJORATIVE ». To earn their living, they work every night in the recreational areas of French expatriates, bars, restaurants and downtown nightclubs, as domestic workers, waitresses, prostitutes and cooks. The purpose of this thesis is to analyze power relations that structure sexual-economic exchanges between French expatriate men and Central-African women in Bangui. The research will lead to analyze sexual and domestic work of Central-African women as the heart of the construction of the French expatriate community, and of the existence of a class of women who, between constraints and search for autonomy, negotiate the value of their lives in the city.« If people say that you are a whore, you hear them but you shut your ears, because inside you, you know why you do it: for the future. It's a job. You do it for what you have decided to be in your heart ». ; Pendant mes recherches, j'ai habité le QUARTIER LATIN de Bangui (RCA), également appelé SOWETO, où les femmes étaient cheffes de famille. Les autres habitant-e-s de la ville les appellent les « FEMMES LIBRES, CAR TELLEMENT ELLES ONT USÉ DE LEUR LIBERTÉ, C'EST DEVENU PÉJORATIF ». Pour vivre, elles partaient travailler chaque nuit dans les espaces de loisirs des expatriés français, dans les bars, dans les restaurants et dans les boîtes de nuit du centre-ville, comme employées domestiques, serveuses, prostituées et cuisinières. L'objet de cette thèse est l'analyse des rapports de pouvoir qui traversent les échanges économico-sexuels entre des hommes expatriés français et des femmes centre-africaines à Bangui. La recherche amènera à analyser le travail sexuel et domestique des femmes centre-africaines dans les espaces de loisirs et de consommation des expatriés comme étant au cœur de la construction de la communauté expatriée et de la ...
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During my fieldwork, I lived in the LATIN QUARTERS in Bangui (Central African Republic), named SOWETO, where women are head of household. Other people call them « FREE WOMEN, BECAUSE THEY USE THEIR FREEDOM SO MUCH, IT BECOMES PEJORATIVE ». To earn their living, they work every night in the recreational areas of French expatriates, bars, restaurants and downtown nightclubs, as domestic workers, waitresses, prostitutes and cooks. The purpose of this thesis is to analyze power relations that structure sexual-economic exchanges between French expatriate men and Central-African women in Bangui. The research will lead to analyze sexual and domestic work of Central-African women as the heart of the construction of the French expatriate community, and of the existence of a class of women who, between constraints and search for autonomy, negotiate the value of their lives in the city.« If people say that you are a whore, you hear them but you shut your ears, because inside you, you know why you do it: for the future. It's a job. You do it for what you have decided to be in your heart ». ; Pendant mes recherches, j'ai habité le QUARTIER LATIN de Bangui (RCA), également appelé SOWETO, où les femmes étaient cheffes de famille. Les autres habitant-e-s de la ville les appellent les « FEMMES LIBRES, CAR TELLEMENT ELLES ONT USÉ DE LEUR LIBERTÉ, C'EST DEVENU PÉJORATIF ». Pour vivre, elles partaient travailler chaque nuit dans les espaces de loisirs des expatriés français, dans les bars, dans les restaurants et dans les boîtes de nuit du centre-ville, comme employées domestiques, serveuses, prostituées et cuisinières. L'objet de cette thèse est l'analyse des rapports de pouvoir qui traversent les échanges économico-sexuels entre des hommes expatriés français et des femmes centre-africaines à Bangui. La recherche amènera à analyser le travail sexuel et domestique des femmes centre-africaines dans les espaces de loisirs et de consommation des expatriés comme étant au cœur de la construction de la communauté expatriée et de la ...
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During my fieldwork, I lived in the LATIN QUARTERS in Bangui (Central African Republic), named SOWETO, where women are head of household. Other people call them « FREE WOMEN, BECAUSE THEY USE THEIR FREEDOM SO MUCH, IT BECOMES PEJORATIVE ». To earn their living, they work every night in the recreational areas of French expatriates, bars, restaurants and downtown nightclubs, as domestic workers, waitresses, prostitutes and cooks. The purpose of this thesis is to analyze power relations that structure sexual-economic exchanges between French expatriate men and Central-African women in Bangui. The research will lead to analyze sexual and domestic work of Central-African women as the heart of the construction of the French expatriate community, and of the existence of a class of women who, between constraints and search for autonomy, negotiate the value of their lives in the city.« If people say that you are a whore, you hear them but you shut your ears, because inside you, you know why you do it: for the future. It's a job. You do it for what you have decided to be in your heart ». ; Pendant mes recherches, j'ai habité le QUARTIER LATIN de Bangui (RCA), également appelé SOWETO, où les femmes étaient cheffes de famille. Les autres habitant-e-s de la ville les appellent les « FEMMES LIBRES, CAR TELLEMENT ELLES ONT USÉ DE LEUR LIBERTÉ, C'EST DEVENU PÉJORATIF ». Pour vivre, elles partaient travailler chaque nuit dans les espaces de loisirs des expatriés français, dans les bars, dans les restaurants et dans les boîtes de nuit du centre-ville, comme employées domestiques, serveuses, prostituées et cuisinières. L'objet de cette thèse est l'analyse des rapports de pouvoir qui traversent les échanges économico-sexuels entre des hommes expatriés français et des femmes centre-africaines à Bangui. La recherche amènera à analyser le travail sexuel et domestique des femmes centre-africaines dans les espaces de loisirs et de consommation des expatriés comme étant au cœur de la construction de la communauté expatriée et de la constitution d'une classe de femmes qui, entre contraintes et recherche d'autonomie, négocient la valeur de leurs vies dans la ville.« SI LES GENS DISENT QUE TU ES UNE PUTE, TU ENTENDS MAIS TU FERMES TES OREILLES, PARCE QUE, TOI, TU SAIS POURQUOI TU LE FAIS : POUR L'AVENIR. C'EST UN TRAVAIL. TU LE FAIS POUR CE QUE TU AS DÉCIDÉ D'ÊTRE DANS TON CŒUR ».
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