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World Affairs Online
Canada among Nations 2000: Vanishing Borders
In: Politique et sociétés, Band 20, Heft 2-3, S. 222-225
ISSN: 1203-9438
Solidarities beyond Borders. Transnationalizing Women's Movements
In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 5, S. 1016-1018
ISSN: 0035-2950
Borders. Circulations, daily life, illegalities. Introduction
In: Les Cahiers Irice, Band 22, Heft 1, S. 5a
ISSN: 2118-0067
Frontières. Approche multidisciplinaire ; Borders. A multidisciplinary approach
Cet ouvrage collectif s'intéresse au concept de frontière en alliant diverses disciplines. La notion de frontière transcende toutes les disciplines scientifiques pour couvrir des aspects tantôt matériels, tantôt immatériels. Elle peut être synonyme de limite physique, mais également symbolique ou encore idéologique. Notion polysémique, la frontière est ici envisagée à travers deux approches des Sciences sociales, à la fois différentes et complémentaires : politologique internationaliste, d'une part, et sociologique, d'autre part. Cet ouvrage se veut inédit de par son approche méthodologique diversifiée et apporte une plus-value aux approches classiques de Science politique et de Relations internationales sur la notion de frontière en favorisant sa mise en perspective multidisciplinaire. Il rassemble huit contributions originales et innovantes, mêlant réflexions théoriques et perspectives empiriques. Il contribue ainsi au développement des connaissances et à enrichir le débat sur une notion vaste et polysémique. Liridon Lika est assistant et doctorant au Center for International Relations Studies (CEFIR) du Département de Science politique de l'Université de Liège (ULiège). Audrey Weerts est assistante et chargée de recherches au sein de la Cellule d'appui politologique Afrique-Caraïbes (CAPAC-ULiège) et de l'unité d'étude des systèmes politiques belges du Département de Science politique de l'Université de Liège (ULiège). Dr. Sophie Wintgens est chargée de recherches du F.R.S.-FNRS au Centre d'étude de la vie politique (CEVIPOL) de l'Université libre de Bruxelles. Elle est également maître de conférences au Département de Science politique de l'Université de Liège (ULiège) et chercheuse associée au Center for International Relations Studies (CEFIR). Justine Contor est aspirante F.R.S.-FNRS au Centre de recherche Spiral du Département de Science politique de l'Université de Liège (ULiège).
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Rights across borders: citizenship and immigration in Europe
In: European review of public law vol. 29, no 1 (spring 2017) = 103
Immigration and Politics in the New Europe: Reinventing Borders
In: Critique internationale, Band 30, Heft 1, S. 197
ISSN: 1777-554X
Middle Ages without borders: a conversation on medievalism
In: Collection de l'École française de Rome 586
Des smart borders aux clôtures barbelées: la revanche du low-tech?
Les développements récents de l'action de l'Union européenne (UE) dans les domaines de la Justice et des Affaires intérieures laissent à voir un univers dominé par les nouvelles technologies. Fichiers, données, réseaux informatiques et Big Data sont désormais les éléments constitutifs, pour ne pas dire l'essence même, du projet européen de sécurité intérieure. Plus que tout autre domaine, celui de la gestion intégrée des frontières extérieures de l'UE semble marqué par ce prisme de la technologisation. Mieux, les contrôles aux frontières ont servi de laboratoire pour de nouvelles pratiques de sécurité, tant et si bien que la problématique des frontières est désormais indissociablement liée à l'enjeu de la mise en place de « frontières intelligentes » (« smart borders »). Cette approche technologique de la frontière s'est récemment vu concurrencer par des pratiques et des discours alternatifs renvoyant à l'inverse à des conceptions autrement plus traditionnelles, pour ne pas dire anachroniques, de la frontière et des modalités de son contrôle. La crise des réfugiés de l'été 2015 combinée aux attaques terroristes de Paris, de Bruxelles et de Nice ont fait ressurgir au cœur de l'Europe – et même parfois au cœur de l'Union européenne – des barrières frontalières dont la matérialité semble opposer un démenti cinglant au projet de frontières intelligentes supposées être aussi efficaces en termes de contrôle qu'invisibles pour les voyageurs de bonne foi. Dans cet article nous nous attachons à comprendre comment s'articule ces deux mouvements contradictoires de virtualisation et de (re)matérialisation des contrôles aux frontières. Poursuivant sur la voie ouverte par les travaux récents de Laurent Bonelli et de Francesco Raggazzi [2014] consacrés à la permanence des pratiques dites « low-tech » – rédaction de notes, de rapports, de dossiers – dans le domaine de la lutte contre le terrorisme en France, cet article entend transposer ce type préoccupation au domaine de la gestion des frontières extérieures de l'Union afin d'en saisir les enjeux politiques. L'hypothèse que nous développons ici est que le renouveau de certains dispositifs low-tech, renouveau parfois très spectaculaire dans ses manifestation matérielles lorsqu'il prend la forme de barrières frontalières, s'explique peut-être moins par la croyance dans l'efficacité plus grande des ces dispositifs comparativement aux dispositifs technologiques élaborés dans le cadre du projet européen de frontières intelligentes qu'en raison de leur capacité supérieure à témoigner, auprès des citoyens, de l'action des pouvoirs publics dans la gestion des risques et des défis se présentant aux frontières de l'UE.
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Des smart borders aux clôtures barbelées: la revanche du low-tech?
Les développements récents de l'action de l'Union européenne (UE) dans les domaines de la Justice et des Affaires intérieures laissent à voir un univers dominé par les nouvelles technologies. Fichiers, données, réseaux informatiques et Big Data sont désormais les éléments constitutifs, pour ne pas dire l'essence même, du projet européen de sécurité intérieure. Plus que tout autre domaine, celui de la gestion intégrée des frontières extérieures de l'UE semble marqué par ce prisme de la technologisation. Mieux, les contrôles aux frontières ont servi de laboratoire pour de nouvelles pratiques de sécurité, tant et si bien que la problématique des frontières est désormais indissociablement liée à l'enjeu de la mise en place de « frontières intelligentes » (« smart borders »). Cette approche technologique de la frontière s'est récemment vu concurrencer par des pratiques et des discours alternatifs renvoyant à l'inverse à des conceptions autrement plus traditionnelles, pour ne pas dire anachroniques, de la frontière et des modalités de son contrôle. La crise des réfugiés de l'été 2015 combinée aux attaques terroristes de Paris, de Bruxelles et de Nice ont fait ressurgir au cœur de l'Europe – et même parfois au cœur de l'Union européenne – des barrières frontalières dont la matérialité semble opposer un démenti cinglant au projet de frontières intelligentes supposées être aussi efficaces en termes de contrôle qu'invisibles pour les voyageurs de bonne foi. Dans cet article nous nous attachons à comprendre comment s'articule ces deux mouvements contradictoires de virtualisation et de (re)matérialisation des contrôles aux frontières. Poursuivant sur la voie ouverte par les travaux récents de Laurent Bonelli et de Francesco Raggazzi [2014] consacrés à la permanence des pratiques dites « low-tech » – rédaction de notes, de rapports, de dossiers – dans le domaine de la lutte contre le terrorisme en France, cet article entend transposer ce type préoccupation au domaine de la gestion des frontières extérieures de l'Union afin d'en saisir les enjeux politiques. L'hypothèse que nous développons ici est que le renouveau de certains dispositifs low-tech, renouveau parfois très spectaculaire dans ses manifestation matérielles lorsqu'il prend la forme de barrières frontalières, s'explique peut-être moins par la croyance dans l'efficacité plus grande des ces dispositifs comparativement aux dispositifs technologiques élaborés dans le cadre du projet européen de frontières intelligentes qu'en raison de leur capacité supérieure à témoigner, auprès des citoyens, de l'action des pouvoirs publics dans la gestion des risques et des défis se présentant aux frontières de l'UE.
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Enlargements and contemporary European borders ; Élargissements et frontières européennes contemporaines
International audience ; Since 1945, the borders of Europe have been constantly pushed back by many enlargements. At the multi-continental borders but in variable format, the set is defined differently depending on whether we consider geopolitical, conventional or economic criteria. The current movement, mainly due to tensions over migration issues, is no longer in the process of expansion. It may even be shrinking ; Depuis 1945, les frontières de l'Europe n'ont cessé d'être repoussées sous l'effet de nombreux élargissements. Aux frontières pluricontinentales mais au format variable, l'ensemble se définit différemment selon que l'on considère des critères géopolitiques, conventionnels ou économiques. Le mouvement actuel, en raison principalement des tensions sur les questions migratoires, n'est plus à l'extension. Il est peut-être même au rétrécissement.
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Enlargements and contemporary European borders ; Élargissements et frontières européennes contemporaines
International audience ; Since 1945, the borders of Europe have been constantly pushed back by many enlargements. At the multi-continental borders but in variable format, the set is defined differently depending on whether we consider geopolitical, conventional or economic criteria. The current movement, mainly due to tensions over migration issues, is no longer in the process of expansion. It may even be shrinking ; Depuis 1945, les frontières de l'Europe n'ont cessé d'être repoussées sous l'effet de nombreux élargissements. Aux frontières pluricontinentales mais au format variable, l'ensemble se définit différemment selon que l'on considère des critères géopolitiques, conventionnels ou économiques. Le mouvement actuel, en raison principalement des tensions sur les questions migratoires, n'est plus à l'extension. Il est peut-être même au rétrécissement.
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Enlargements and contemporary European borders ; Élargissements et frontières européennes contemporaines
International audience Since 1945, the borders of Europe have been constantly pushed back by many enlargements. At the multi-continental borders but in variable format, the set is defined differently depending on whether we consider geopolitical, conventional or economic criteria. The current movement, mainly due to tensions over migration issues, is no longer in the process of expansion. It may even be shrinking ; Depuis 1945, les frontières de l'Europe n'ont cessé d'être repoussées sous l'effet de nombreux élargissements. Aux frontières pluricontinentales mais au format variable, l'ensemble se définit différemment selon que l'on considère des critères géopolitiques, conventionnels ou économiques. Le mouvement actuel, en raison principalement des tensions sur les questions migratoires, n'est plus à l'extension. Il est peut-être même au rétrécissement.
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