Ethnicity and regionalism
In: International political science review: IPSR = Revue internationale de science politique : RISP, Band 6, Heft 2, S. 157-272
ISSN: 0192-5121
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In: International political science review: IPSR = Revue internationale de science politique : RISP, Band 6, Heft 2, S. 157-272
ISSN: 0192-5121
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 62, Heft 2, S. 283-286
ISSN: 0035-2950
Introduction: welcome to France -- Fear of the police -- Identity comes and goes -- Disintegration -- I exists -- We are stronger than you -- Equal opportunities -- Counting origins -- Conclusion: get moving!
Pendant de nombreuses années, Rogers Brubaker a travaillé dans la perspective macrosociologique « des grandes structures, des vastes processus et des immenses comparaisons » soit pour déchiffrer les langages contrastés de la nation en Allemagne et en France , soit pour éclairer les contours des nationalismes centre-est-européens dans la configuration triangulaire des « États nationalisants », des « minorités » et des « patries externes ». Dans ses deux derniers ouvrages en revanche, il a délaissé les vastes espaces et les temps longs. Ethnicity without Groups et Nationalist Politics and Everyday Ethnicity in a Transylvanian Town sont tous deux consacrés à l'exploration de l'univers hétérogène des phénomènes identitaires et parcourus par la même ambition de renouveler « les termes de la conversation » (p. 357) sur ces objets. Bien qu'étant de genre différent, ils entretiennent un riche dialogue. Plusieurs des pistes théoriques et critiques lancées dans les huit études consacrées en 2004 aux questions d'ethnicité, de race, de nationalisme, de violence ethnique, de migrations et d'assimilation, certaines co-signées avec d'autres auteurs, sont en effet prolongées et affinées dans Nationalist Politics ; tandis que le terrain d'enquête auquel s'adosse ce dernier façonne les questionnements théoriques formulés dans le volume de 2004. [Premier paragraphe]
BASE
Pendant de nombreuses années, Rogers Brubaker a travaillé dans la perspective macrosociologique « des grandes structures, des vastes processus et des immenses comparaisons » soit pour déchiffrer les langages contrastés de la nation en Allemagne et en France , soit pour éclairer les contours des nationalismes centre-est-européens dans la configuration triangulaire des « États nationalisants », des « minorités » et des « patries externes ». Dans ses deux derniers ouvrages en revanche, il a délaissé les vastes espaces et les temps longs. Ethnicity without Groups et Nationalist Politics and Everyday Ethnicity in a Transylvanian Town sont tous deux consacrés à l'exploration de l'univers hétérogène des phénomènes identitaires et parcourus par la même ambition de renouveler « les termes de la conversation » (p. 357) sur ces objets. Bien qu'étant de genre différent, ils entretiennent un riche dialogue. Plusieurs des pistes théoriques et critiques lancées dans les huit études consacrées en 2004 aux questions d'ethnicité, de race, de nationalisme, de violence ethnique, de migrations et d'assimilation, certaines co-signées avec d'autres auteurs, sont en effet prolongées et affinées dans Nationalist Politics ; tandis que le terrain d'enquête auquel s'adosse ce dernier façonne les questionnements théoriques formulés dans le volume de 2004. [Premier paragraphe]
BASE
In: Population. English edition, Band 58, Heft 2, S. 153
ISSN: 1958-9190
In: Recherches sociographiques, Band 33, Heft 2, S. 346
ISSN: 1705-6225
In: Revue européenne des migrations internationales: REMI, Band 5, Heft 1, S. 47-61
ISSN: 1777-5418
Europe and America : a Comparative Analysis of Ethnicity.
Donald L. HOROWITZ
Societies and polities differ in the extent to which they divide ethnic groups into natives and immigrants. In some states, indigenousness creates strong claims to priority, whereas in others yesterday's immigrants can become today's natives. In the United States, despite massive immigration, the category of « immigrant » is shrinking. Citizenship is liberally available by naturalization and by jus soli. In Germany, by contrast, citizenship is acquired on a jus sanguinis basis ; naturalization is rare ; even third generation Turks are often considered « immigrants ». Whereas to be American has little to do with blood, to be German means to be a Germon citizen and a member ofthe German ethnic group. On all of these dimensions, France and Britain are in-between. There is some genetic content to being French or British, but immigrants can, to some extent, become French or British. Although France, unlike Britain, is traditionally a country of immigration, both have had difficulty absorbing migrants from Asia and Africa.
Education and housing policies affecting minorities vary from country to country. In Germany and America, both federal states, education is less uniform and more subject to local control than in France and Britain. In France and America, the schools have been traditional facilitators of immigrant acculturation and social mobility. In parts of Germany, schools have emphasized preparation of immigrant children for a return to the home country that seems unlikely. Germany has no housing policy targeted at minorities, who tend to live in poorer conditions than Germans do. Despite the absence of a policy in Britain, minority housing conditions have improved steadily. American policies have improved the access of middle-class minority group members to good housing but have done little for members of the lower class. Overall, there is no clear relation between ethnic policies and the conditions in which the minorities find themselves.
In: Canadian journal of women and the law: Revue juridique "La femme et le droit", Band 24, Heft 1, S. 135-153
ISSN: 1911-0235
Quelque part entre les pervers pépères, le culte de la culture populaire, les images sensationnalistes des médias et la politique canadienne en matière d'immigration, la danseuse nue roumaine est devenue une sorte d'archétype. Attrayante, sensuelle, avec son accent étranger excitant et sa peau blanche, elle est la parfaite danseuse exotique. Les danseuses nues représentent le genre, la sensualité ou la sexualité, l'émotion et souvent, l'ethnicité. L'ethnicité peut avoir un cachet dans l'industrie du sexe, et comme le genre, les travailleuses usent consciemment de leur ethnicité pour tirer profit de ce cachet. Les danseuses nues roumaines sont bien placées pour ce faire, car elles sont, au contraire des femmes de couleur, « différentes », mais pas trop. En conséquence, la préférence des clients et de la direction des clubs pour les danseuses roumaines a entraîné la création d'un archétype et la fabrication d'une pénurie de danseuses nues pour répondre à cette demande préférentielle. À l'aide d'une analyse interdépendante de la race, du genre, de l'ethnicité, de la stigmatisation et de la classe, l'auteure explore le discours sur « l'altérité acceptable » implicite dans le traitement et la perception des danseuses nues roumaines par les clients et les directeurs de clubs et le gouvernement canadien, ainsi que par le public.
In: Politique africaine, Band 120, Heft 4, S. 153-173
Par-delà le Noir et le Blanc : ethnicité et réforme agraire en Namibie Le processus de réforme agraire en Namibie s'est inscrit dans la politique officielle de « construction nationale » qui tente d'ignorer les tensions ethniques à l'œuvre dans le pays. Le gouvernement a ainsi rejeté les revendications sur certaines terres ancestrales formulées par les communautés qui en ont été dépossédées durant la période coloniale, tout en refusant d'accorder le statut d'« indigène » à quelque communauté namibienne que ce soit. Les terres de fermiers blancs sont par conséquent redistribuées à des bénéficiaires « africains » indépendamment de leur identité ethnique ou de leur histoire, et des lots peuvent ainsi être attribués à des gens qui n'ont jamais été privés de leurs terres. Cet article tente de comprendre les raisons d'une telle politique et de montrer en quoi elle suscite au sein de nombreuses communautés un sentiment d'injustice.
In: Revue européenne des migrations internationales: REMI, Band 6, Heft 1, S. 11-28
ISSN: 1777-5418
¿ « Melting-pot » o pluralismo cultural ? El cambio de opiniones sobre la etnicidad norteamericana
Thomas ARCHDEACON
En este articulo, intentamos explicar como y por qué la actitud de los norteamericanos de cara al problema de la etnicidad, cambió durante los veinticinco últimos años. Vamos también a reflexionar sobre la evolucón posible de las actitudes durante los veinticinco próximos años. Està claro que este analisis necesita un breve estudio de la ideología del « melting-pot » pero nuestro objetivo es explicar por qué ese concepto suponía que la sociedad permanecería fundamentalmente anglosajona.
Después, examinaremos el renacimiento de la etnicidad que empezó en los años 60. El fenómeno era, a nuestro parecer, en parte previsible, dada la importante entrada de inmigrantes en la clase media norteamericana durante ese período.
La subida de la etnicidad estaba también relacionada con el movimiento en favor de los derechos cívicos, que justificó el mantenimiento de la identidad étnica, por lo menos para los negros. Este fenómeno, no solo recordó a los blancos los derechos que tuvieron que otorgar, sino que también creo ciertas desigualdades en la distribución de toda suerte de agudas sociales, después de la decisión del gobierno federal de tomar en cuenta la identidad étnica de la persona en los programas sociales. Pensamos que entre los blancos, la idea de una identidad étnica importante pierde valor, y continuará perdiéndolo. En realidad hasta los negros empiezan a orientarse hacia un nuevo concenso como sugiere la apelación de « Africans-americans », adoptada recientemente por ciertas personas.
Si esta visión es correcta, esta evolución crea interrogaciones en cuanto al futuro. La idea de un « pluralismo-cultural » en la sociedad norteamericana, ¿ va a desaparecer ? Las actitudes de cara a los nuevos inmigrantes que todavía no se integraron en la sociedad, ¿ va, a endurecerse ?
In: Studien zu Ethnizität, Religion und Demokratie 2
World Affairs Online
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 22, Heft 2, S. 187-229
William Fierman, Uzbek feelings of ethnicity. A study of attitudes expressed in recent Uzbek literature.
Recent works of fiction, literary criticism and articles on other cultural matters by Soviet Uzbek authors offer an almost untapped source of information about feelings of ethnicity. Evidence in the literature surveyed for this study indicates that Uzbeks are exhibiting renewed pride in their own land, history, customs, language, literature, music and art. During the Stalin period a dominant message to Uzbek readers was that to be modern was to be Russian; today, in contrast, Uzbek readers are also frequently reminded that they are heirs to a tradition (in no way inferior to the European one) which is relevant to the modern world. Uzbeks who have turned their backs on their own culture are portrayed as fools and opportunists. Although no Uzbek authors deny that a multinational Soviet culture is being created, some are particularly insistent that their own contribution to it not be underestimated; moreover, they maintain that Soviet culture's Asian elements are as "international" as the European ones are.
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 31, Heft 2, S. 205-212
Tamara Dragadze, Some changes in perspectives on ethnicity theory in the I980's. A brief sketch.
To a certain extent. Western trends have often been marked by a greater recognition of essentialist, reflexive or cultural traits in die social coastruction of ethnic identity and the class-conflict based models arc on the wain. There are several reasons for this, one of them being the impact of the voice of members of ethnic minorities in Britain themselves.
In the Soviet Union in the past, a Marxist framework was adapted to an essentialist, cultural model in order to escape the confines of simple class analysis and also to present a sanitized version of Soviet ethnic relations. The new glasnosť and the force of events themselves are permitting a review of some of the tenets of ethnicity theory. The materials are still being written and the diversity between Moscow and the republics has yet to be documented. This paper nevertheless attempts to elicit some thoughts on the direction some Soviet authors might be moving towards. The paper ends with a few comments on how I am trying to combine in my own work a selection of approaches from the vast variety of trends in both Western and Soviet anthropology.
In: Africa development: a quarterly journal of the Council for the Development of Social Science Research in Africa = Afrique et développement, Band 28, Heft 1-2, S. 112-156
ISSN: 0850-3907
This paper is about the ways in which forces of globalization have impacted on, and shaped the construction of citizenship in Africa generally and Kenya in particular. It is also about globalization and violence associated with the resurgence of ethnic nationalism. The empirical part of the paper focuses on Tana River region, a marginalized, poor and bandit-prone multi-ethnic region on the delta of Kenya's largest river. (...) The World Bank has funded several projects in Tana River, but its funding, management policies and the overall impact of the investments have accentuated ethnic conflict within and between herders and farmers over water-points, pasture and farmlands. These conflicts have engendered the reconstruction of new ethnic identities and alliances (...). The paper maps the contours of the historical process through which globalization has undermined social citizenship and the nationalist project in post-colonial Africa, thus everywhere animating ethnicity and localizing citizenship. (Afr Dev/DÜI)
World Affairs Online