Drawing on theories from social constructivism and political science, the argument of my paper, based on my ongoing PhD research, focuses on two points. How risks – defined using a territorial approach as the confrontation between possibilities of an accident and various stakes (social, economic, cultural, environmental or patrimonial) – are tolerated as part of a complex urban network system and fully integrated as a metropolitan policy. How risks management – defined as a cross-sector public policy integrating civil security, environmental or health policies – represents a space of political and administrative conflicts between traditional responsibilities of the Central State (civil security) and local professionalisation in the fields of environment management, economical development or urban planning.
Le partenariat public-privé constitue un concept en vogue en matière de management public. Il s'insère dans une dynamique de recul de l'Etat "puissance publique" au profit d'un Etat s'engageant dans une démarche de contractualisation avec les acteurs économiques tant public que privé pour soutenir la coordination économique vers l'accomplissement d'objectifs jugés comme participants à l'intérêt général. Tel qu'il est défini dans le projet d'ordonnance relatif aux contrats de partenariats1, le partenariat public-privé est un contrat permettant de confier à une entreprise privée un contrat global portant sur la conception, le financement, la réalisation et l'exploitation de certains équipements nécessaires à la réalisation de services publics. De tels contrats peuvent être noués par toute administration publique (Etat, collectivités territoriales et établissements publics), ainsi que par toute entreprise privée délégataire de missions de service public. Il apparaît donc que de tels contrats ne font pas sens en matière de recherche-développement. Il en va de même dans les pays étrangers, notamment le Royaume-Uni. En effet, les contrats de Private Finance Initiative, emblématiques des partenariats public-privé outre-Manche2, portent eux aussi sur la réalisation et l'exploitation d'équipements publics et / ou la fourniture de services, soit aux usagers, soit à l'administration. A ce compte là, pourquoi englober les coopérations public-privé en matière de recherchedéveloppement dans le cadre général des partenariats public-privé ? En fait, que ce soit en matière de commande publique, de fourniture de prestations de service public ou de politiquespubliques de recherche-développement, les difficultés que rencontre l'action publique sont de mêmes natures. Ce faisant, il n'est pas infondé de rassembler les coopération entre recherche publique et recherche privée dans le cadre général des partenariats public-privé dans la mesure où les déterminants des partenariats présentent de nombreuses similitudes.
Le partenariat public-privé constitue un concept en vogue en matière de management public. Il s'insère dans une dynamique de recul de l'Etat "puissance publique" au profit d'un Etat s'engageant dans une démarche de contractualisation avec les acteurs économiques tant public que privé pour soutenir la coordination économique vers l'accomplissement d'objectifs jugés comme participants à l'intérêt général. Tel qu'il est défini dans le projet d'ordonnance relatif aux contrats de partenariats1, le partenariat public-privé est un contrat permettant de confier à une entreprise privée un contrat global portant sur la conception, le financement, la réalisation et l'exploitation de certains équipements nécessaires à la réalisation de services publics. De tels contrats peuvent être noués par toute administration publique (Etat, collectivités territoriales et établissements publics), ainsi que par toute entreprise privée délégataire de missions de service public. Il apparaît donc que de tels contrats ne font pas sens en matière de recherche-développement. Il en va de même dans les pays étrangers, notamment le Royaume-Uni. En effet, les contrats de Private Finance Initiative, emblématiques des partenariats public-privé outre-Manche2, portent eux aussi sur la réalisation et l'exploitation d'équipements publics et / ou la fourniture de services, soit aux usagers, soit à l'administration. A ce compte là, pourquoi englober les coopérations public-privé en matière de recherchedéveloppement dans le cadre général des partenariats public-privé ? En fait, que ce soit en matière de commande publique, de fourniture de prestations de service public ou de politiquespubliques de recherche-développement, les difficultés que rencontre l'action publique sont de mêmes natures. Ce faisant, il n'est pas infondé de rassembler les coopération entre recherche publique et recherche privée dans le cadre général des partenariats public-privé dans la mesure où les déterminants des partenariats présentent de nombreuses similitudes.
Le partenariat public-privé constitue un concept en vogue en matière de management public. Il s'insère dans une dynamique de recul de l'Etat "puissance publique" au profit d'un Etat s'engageant dans une démarche de contractualisation avec les acteurs économiques tant public que privé pour soutenir la coordination économique vers l'accomplissement d'objectifs jugés comme participants à l'intérêt général. Tel qu'il est défini dans le projet d'ordonnance relatif aux contrats de partenariats1, le partenariat public-privé est un contrat permettant de confier à une entreprise privée un contrat global portant sur la conception, le financement, la réalisation et l'exploitation de certains équipements nécessaires à la réalisation de services publics. De tels contrats peuvent être noués par toute administration publique (Etat, collectivités territoriales et établissements publics), ainsi que par toute entreprise privée délégataire de missions de service public. Il apparaît donc que de tels contrats ne font pas sens en matière de recherche-développement. Il en va de même dans les pays étrangers, notamment le Royaume-Uni. En effet, les contrats de Private Finance Initiative, emblématiques des partenariats public-privé outre-Manche2, portent eux aussi sur la réalisation et l'exploitation d'équipements publics et / ou la fourniture de services, soit aux usagers, soit à l'administration. A ce compte là, pourquoi englober les coopérations public-privé en matière de recherchedéveloppement dans le cadre général des partenariats public-privé ? En fait, que ce soit en matière de commande publique, de fourniture de prestations de service public ou de politiquespubliques de recherche-développement, les difficultés que rencontre l'action publique sont de mêmes natures. Ce faisant, il n'est pas infondé de rassembler les coopération entre recherche publique et recherche privée dans le cadre général des partenariats public-privé dans la mesure où les déterminants des partenariats présentent de nombreuses similitudes.