Histoire et archéologie de l'occident musulman: (VIIe - XVe siècles) ; Al-Andalus, Maghreb, Sicile
In: Villa 4
In: Méridiennes
In: Études médiévales ibériques
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In: Villa 4
In: Méridiennes
In: Études médiévales ibériques
In: Collection de l'École française de Rome 598
In: Etudes sur la region mediterraneenne + Blue Books
Balogh, Andras: L'unite perdue de la Mediterranee. - S. 15-22. Bono, Salvatore: Europe et Islam en Mediterranee. - S. 23-32. J. Nagy, Laszlo: Cultiver la Mediterranee. - S. 33-38. Olajos, Terez: Une source inobservee concernant l'histoire des Slaves du Peloponnese. - S. 39-44. Makk, Ferenc: La Hongrie et les Balkans au XIIe siecle. - S. 45-54. Galamb, György: Ville et campagne dans la vie religieuse de la Mediterranee occidentale aux XIe-XIIe siecles. - S. 55-60. Szasz, Geza: A nyugati frankok kiszorulasa a Mediterraneumbol: a Marca Hispanica önallova valasa. - S. 61-68. Anatra, Bruno: L'espace mediterraneen vu par les ambassadeurs venitiens. - S. 69-76. Kukovecz, György: The Mediterranean world in modern state theories. - S. 77-88. Köver, Lajos: Un rapport francais sur l'expansion commerciale hongroise dans la Mediterranee (env. 1760). - S. 89-92. Fischer, Ferenc: Vergessene Memoiren über die Großmachtsbestrebungen des Kaiserlichen Deutschlands im östlichen Mittelmeerraum (1898-1918). - S. 93-98. (...) Huetz De Lemps, Xavier: Les migrations entre l'Espagne et le Maghreb aux XIXe et XXe siecles. - S. 105-116. Csejtei, Dezsö: Jose Ortega y Gasset y el mundo mediterraneo. - S. 117-124. Harsanyi, Ivan: La mise en place d'un Etat corporatif au cours du regime dictatorial de Franco. - S. 125-134. Szilagyi, Istvan: International comparing of the Spanish democratic transition and consolidation. - S. 135-142. (...) Abdi, Nourredine: La Mediterranee dans le monde arabe. - S. 151-173. Pap, Norbert: Centrifugalis es centripetalis erök az olasz allamterben. - S. 175-186. Marton, Imre: Ne taszitsuk a törtenelmi feledesbe a föld rabjainak harcait, remenyeit, utkereseset. - S. 187-194
World Affairs Online
In: Travaux et documents 14
In: Economies et sociétés: cahiers de l'ISMEA. Série SG, Sciences de gestion, Band 47, Heft 7
ISSN: 0013-0567
In: Collection de la Casa de Velazquez Vol. 106
"Au-delà du phénomène de mode dont elle est l'objet, l'histoire culturelle a acquis une légitimité scientifique grâce aux travaux qui en ont démontré la fécondité épistémologique. Ce livre aborde les thèmes traditionnels de l'histoire culturelle : les politiques culturelles, les intellectuels, la lecture et l'édition, l'histoire de l'art, le patrimoine, les médias, les transferts culturels. Il montre comment des champs nouveaux gagnent à être investis par une approche d'histoire culturelle - comme les cultures politiques, le lien entre religion et culture, entre identité nationale et histoire, ou encore les cultures de guerre. Il examine enfin les articulations entre culture nationale et cultures régionales dans leurs modalités française et espagnole, ainsi que la signification de la naissance et de la consolidation de la culture de masse. Au fil de démonstrations, apparaissent des historiographies singulières dont le rapprochement permet une comparaison des situations et pose le socle d'un dialogue entre la France et l'Espagne"--P. [4] of cover
Résumé: Dès ses origines au XVIe siècle, l'Église d'Angleterre se trouva dans l'obligation de justifier et de légitimer son existence, tant par rapport à l'Église romaine, que par rapport aux Églises dissidentes. La production d'histoires de l'Église d'Angleterre devant faire autorité relevait donc d'une nécessité, non seulement d'ordre religieux, mais aussi d'ordre politique, dans un pays dont le souverain était simultanément chef de l'État, et chef de l'Église. C'est dans ce contexte général, et déjà ancien, que s'inscrit l'oeuvre d'Edward Stillingfleet, qui se trouve toutefois pris entre deux exigences contradictoires : tenir compte des très réels progrès de la science historique, dûs entre autres à Le Nain de Tillemont et aux mauristes, sans complètement renoncer au mythe national protestant, et à sa composante fabuleuse et légendaire. Si l'ouvrage représente à certains égards un réel progrès du point de vue historiographique (l'Histoire des Écossais de Boèce est ainsi discréditée), Stillingfleet n'en utilise pas moins paradoxalement les nouvelles méthodes de la connaissance historique pour redonner lustre et crédit aux légendes, telle celle du roi Arthur, qu'elles devaient pourtant contribuer à dissiper. Les récits légendaires demeurent donc le noyau d'une histoire qui ne parvient jamais tout à fait à s'affranchir de la mythistoire. Abstract: From its beginnings in the 16th century, the Church of England found itself compelled to justify and legitimize its very existence, to vindicate itself from the charge of illegitimacy levelled against it by both the Roman church and the Protestant dissenters (as they came to be known later). The writing of authoritative Church of England histories was therefore both a religious and a political necessity, as the English monarch was both head of state and head of the Church. Origines fits into this larger picture, but Stillingfleet had to meet at once two contradictory requirements : on the one hand, he had to take into account the major advances leading to the progressive transformation of history into a science (in particular thanks to Le Nain de Tillemont and the Maurists), while at the same time not completely shedding the national Protestant mythology, with all its attendant tales and legends. In some ways, Origines does mark a genuine advance in the field of historical knowledge – Hector Boethius's Scotorum Historia is given short shrift – , but Stillingfleet paradoxically uses the new historical methods to shore up the very legends they were meant to dispel (such as that of King Arthur). The legendary tales remain at the heart of a history that never quite manages to set itself free from mythistory. Mots clés: Edward Stillingfleet, Église d'Angleterre, presbytériens, catholiques, histoire nationale, histoire ecclésiastique, méthode historique, légendes, mythistoire. Key words: Edward Stillingfleet, Church of England, presbyterians, catholics, national history, ecclesiastical history, historical method, legends, mythistory.
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In: Bibliothèque d'archéologie méditerranéenne et africaine 18
La spécialisation de plus en plus grande et le cloisonnement de nos domaines de recherche (histoire, histoire de l'art, archéologie...) conduisent le plus souvent à étudier et publier séparément, malgré leur complémentarité, les sources épigraphiques et les sources iconographiques. Des salles de nos musées aux rayons de nos bibliothèques, documents sculptés et documents inscrits forment des ensembles "disjoints". Or statuaire et épigraphie, signa et tituli, étaient dans l'Antiquité des éléments conçus ensemble, comme les deux volets d'un même message, indissociables dès la première formulation. Cette conjonction d'un texte et d'une image définit précisément le monumentum si caractéristique de la pratique commémorative romaine. A la suite d'une approche méthodologique, l'ouvrage propose une série d'études sur différents lieux de la société romaine où se croisent données iconographiques et épigraphiques : les espaces civiques de représentation, les espaces et monuments funéraires, les espaces de la religion
International audience ; La toponimia en su calidad de disciplina que estudia el arte de nombrar los lugares, constituye un amplio reservorio de elementos de ilustración de nuestro pasado social, de nuestro presente y de nuestra visión de futuro. En este sentido los topónimos guardan los recuerdos de una generación y están en la base de la memoria colectiva. Asimismo conservan las huellas de las circunstancias socio-políticas en las que un lugar fue denominado de una u otra manera. Nombrar un espacio no es un hecho neutro. La puesta en palabra de un lugar es un acto fundador mediante el cual un grupo de poder afirma su existencia. Consideramos aquí los lugares de memoria en la Argentina y en Francia como ejes aglutinantes de la memoria colectiva y el proceso de retoponimización en cuanto factor político de imposición e institucionalización del olvido. Lugares de Memoria: Para Pierre Nora (1992 : 28) un lugar de memoria es " la unidad significativa, de orden material o ideal, a partir de la cual la voluntad del hombre o el paso del tiempo han hecho un elemento simbólico de una comunidad". Estos lugares de memoria evocan algo más o menos intenso para aquellos que han crecido en una cultura determinada y son un elemento de lucha contra el olvido. Creemos que en la Argentina la Plaza de Mayo constituye un alto lugar de memoria. Se trata de la principal plaza del centro de Buenos Aires. En su entorno se encuentran varios de los principales monumentos y puntos de interés: el Cabildo histórico, la Casa Rosada (donde reside el Poder Ejecutivo de la Nación), la Catedral Metropolitana, el edificio del Gobierno de la Ciudad de Buenos Aires y la casa central del Banco Nación. La Plaza de Mayo ha sido desde siempre el eje de la vida política de Buenos Aires. Su nombre actual conmemora la Revolución de Mayo de 1810, que inició el proceso de independencia de España, alcanzada en 1816. El 17 de octubre de 1945, las movilizaciones populares
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International audience ; La toponimia en su calidad de disciplina que estudia el arte de nombrar los lugares, constituye un amplio reservorio de elementos de ilustración de nuestro pasado social, de nuestro presente y de nuestra visión de futuro. En este sentido los topónimos guardan los recuerdos de una generación y están en la base de la memoria colectiva. Asimismo conservan las huellas de las circunstancias socio-políticas en las que un lugar fue denominado de una u otra manera. Nombrar un espacio no es un hecho neutro. La puesta en palabra de un lugar es un acto fundador mediante el cual un grupo de poder afirma su existencia. Consideramos aquí los lugares de memoria en la Argentina y en Francia como ejes aglutinantes de la memoria colectiva y el proceso de retoponimización en cuanto factor político de imposición e institucionalización del olvido. Lugares de Memoria: Para Pierre Nora (1992 : 28) un lugar de memoria es " la unidad significativa, de orden material o ideal, a partir de la cual la voluntad del hombre o el paso del tiempo han hecho un elemento simbólico de una comunidad". Estos lugares de memoria evocan algo más o menos intenso para aquellos que han crecido en una cultura determinada y son un elemento de lucha contra el olvido. Creemos que en la Argentina la Plaza de Mayo constituye un alto lugar de memoria. Se trata de la principal plaza del centro de Buenos Aires. En su entorno se encuentran varios de los principales monumentos y puntos de interés: el Cabildo histórico, la Casa Rosada (donde reside el Poder Ejecutivo de la Nación), la Catedral Metropolitana, el edificio del Gobierno de la Ciudad de Buenos Aires y la casa central del Banco Nación. La Plaza de Mayo ha sido desde siempre el eje de la vida política de Buenos Aires. Su nombre actual conmemora la Revolución de Mayo de 1810, que inició el proceso de independencia de España, alcanzada en 1816. El 17 de octubre de 1945, las movilizaciones populares
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Titre original : La guerre de 1870-71 : histoire politique et militaire ; Avec mode texte
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