The author's original plan included a 4th part, "Histoire et archéologie des missions", followed by a bibliography. This part, announced as v. 3, and the 5th and last part of the atlas have apparently never been published. cf. L. Hachette et cie Catalogue lit. gén., 2d pt., July 1869 and James Jackson's Liste provisoire de bibliog. géog. spéciales, also British museum catalogue, and Sabin. Bibl. amer. ; Atlas wanting. ; t. 1. 1. ptie. Géographie physique et politique. Appendice: Le Grand-Chaco. Notes et pièces justificatives.--t. 2. 2. ptie. Agriculture, industrie, commerce. 3. ptie. Histoire générale du Paraguay. ; Mode of access: Internet.
This text analyses how the values of neo-liberal society have determined the evolution of archaeological practice in France, whether it be research or preliminary to landscaping projects. It calls for the definition of a different archaeology, in a world without development. ; Ce texte analyse comment les valeurs de la société néo-libérale ont déterminé l'évolution de la pratique archéologique en France, qu'elle soit de recherche ou préalable aux travaux d'aménagement. Il appelle à la définition d'une archéologie différente, dans un monde sans croissance.
t. 1. Antiquités celtiques et gallo-romaines: études archéologiques. --t. 2. Notre-Dame dy Puy: légende, archéologie, histoire. --t. 3. Les récits du moyen-age: chartes et chroniques. --t. 4. Les récits du moyne-age: la commune et le tiers-état. --t. 5. Guerres civiles, politiques et religieuses: la réforme, la ligue. --t. 6. Monuments historiques de la Haute-Loire et du Velay: archéologie, histoire. --t. 7. Écrivains, poètes et artistes: études littéraires. ; Mode of access: Internet.
Catalogue de l'exposition Patrimoines singuliers, chacun son patrimoine. Inventaire intime des jurassions du début du 21e siècle, Musée d'archéologie du Jura, Lons-le-Saunier, du 5 avril au 30 novembre 2003. ; National audience ; En 2002, le musée d'archéologie du Jura, à Lons-le-Saunier, demande aux jurassiens d'apporter au musée un objet qui pour eux est du patrimoine. Quelques mois plus tard, ce sont plusieurs centaines d'objets qui constituent l'exposition "Patrimoines singuliers. Chacun son patrimoine" (Musée d'archéologie du Jura, 5 avril - 30 novembre 2003). L'exposition était adossée à une enquête de sciences sociales dont le but était de décrire et d'interroger des pratiques et des discours qui désignent certains objets comme du patrimoine. Mais il s'agissait aussi d'observer comment une équipe de musée réfléchit et agit dans le cadre d'un projet qui ne lui est pas familier.
Catalogue de l'exposition Patrimoines singuliers, chacun son patrimoine. Inventaire intime des jurassions du début du 21e siècle, Musée d'archéologie du Jura, Lons-le-Saunier, du 5 avril au 30 novembre 2003. ; National audience ; En 2002, le musée d'archéologie du Jura, à Lons-le-Saunier, demande aux jurassiens d'apporter au musée un objet qui pour eux est du patrimoine. Quelques mois plus tard, ce sont plusieurs centaines d'objets qui constituent l'exposition "Patrimoines singuliers. Chacun son patrimoine" (Musée d'archéologie du Jura, 5 avril - 30 novembre 2003). L'exposition était adossée à une enquête de sciences sociales dont le but était de décrire et d'interroger des pratiques et des discours qui désignent certains objets comme du patrimoine. Mais il s'agissait aussi d'observer comment une équipe de musée réfléchit et agit dans le cadre d'un projet qui ne lui est pas familier.
Catalogue de l'exposition Patrimoines singuliers, chacun son patrimoine. Inventaire intime des jurassions du début du 21e siècle, Musée d'archéologie du Jura, Lons-le-Saunier, du 5 avril au 30 novembre 2003. ; National audience ; En 2002, le musée d'archéologie du Jura, à Lons-le-Saunier, demande aux jurassiens d'apporter au musée un objet qui pour eux est du patrimoine. Quelques mois plus tard, ce sont plusieurs centaines d'objets qui constituent l'exposition "Patrimoines singuliers. Chacun son patrimoine" (Musée d'archéologie du Jura, 5 avril - 30 novembre 2003). L'exposition était adossée à une enquête de sciences sociales dont le but était de décrire et d'interroger des pratiques et des discours qui désignent certains objets comme du patrimoine. Mais il s'agissait aussi d'observer comment une équipe de musée réfléchit et agit dans le cadre d'un projet qui ne lui est pas familier.
A partir des controverses politiques, morales et même théologiques entourant, au dernier quart du XVIe siècle, le projet de développer des actions de recensement des personnes et des richesses, l'auteur propose une genèse originale des principaux dispositifs normatifs non juridiques, et même anti-juridiques, à l'œuvre dans les pratiques néolibérales de gouvernement contemporain.Etant donné les résistances morales et théologiques qui s'affirment à cette époque à l'encontre de ces projets de recensement, les penseurs qui défendaient ceux-ci insisteront en effet sur les capacités de ces dispositifs « statistiques » à déployer des actions normatives réflexives, modulables, lentes, constantes, progressives, en prise avec les mœurs collectives… et ce en évitant tout recours à l'action règlementaire, à la loi. Une normativité nouvelle est ainsi mise à jour, dans sa totale altérité par rapport à la loi – au point de permettre de penser cette dernière en creux. Il s'agit de réguler à la fois l'infime et le global, de saisir l'un et l'autre d'un seul geste, d'entrer dans le détail du secret de chaque maison en se souciant de la population dans son ensemble, de faire appel à des savoirs purement quantitatifs et à des techniques administratives en agissant au nom du bon sens et des vertus les plus évidentes, voire les plus moyennes, de saisir la société avec la clarté d'un tableau tout en agissant sur chaque individu de la manière la plus singulière et la plus réflexive. L'économie devient politique et la politique se fait domestique.C'est ni plus ni moins que la vertu de la transparence qui apparaît ainsi, au même titre que l'idéal d'une retenue dans les actes de gouvernements et l'éloge des possibilités politiques normatives non juridiques reposant sur les valeurs et les affects les plus ordinaires. Bref, quelques-unes des caractéristiques principales de ces modes de gouvernement qui à notre époque se présentent comme animés par le refus de trop gouverner alors que, abordés dans le cadre de cette histoire longue, ils ...
L'étude du site fortifié de Ndéba dans la région mambila du Cameroun (Adamaoua) laisse ressortir deux phases successives d'occupation : l'une datée du premier millénaire de notre ère, l'autre, marquée par la construction du fort, appartiendrait à la fin du XIXe siècle, voire au début du XXe. Cet établissement est un témoin intéressant de la période d'insécurité généralisée qui couvre tout le XIXe siècle, et qui est déjà connue par les sources historiques. Dans un tel contexte, peut-on le considérer comme l'illustration d'une manifestation de prise d'indépendance politique par une petite communauté de l'ouest du Cameroun central ? Cette réflexion est peut-être trop précoce, mais elle cherche à s'orienter vers une interrogation encore non résolue sur les antécédents de ce témoin archéologique encore visible et sur son enracinement éventuel dans le temps long. The study of the fortified site Ndeba in the Mambila area of Cameroon (Adamawa Region) shows two successive phases of occupation. The first is dated to the first millennium AD, and the second, marked by the construction of the fort, belongs to the late nineteenth century or early twentieth. This is consistent with the widespread insecurity during that period known from historical sources for the entire nineteenth century. But beyond these historical circumstances, it is possibly the archaeological trace of a declaration of political independence made by a small community of western central Cameroon. This leads to reflections on a still unresolved question about the background of such political statements and their possible roots in the long term.
Ce projet de recherche a visé à améliorer le mode de gestion du patrimoine bâti d'Ancien Régime en Région de Bruxelles-Capitale et à remédier aux faiblesses du dispositif de traitement archéologique en cette matière. L'étude a envisagé l'archéologie du bâti de manière pluridisciplinaire. La réflexion a pris en compte les récents acquis scientifiques sur l'histoire de Bruxelles et sur l'histoire urbaine en général, les nouveaux cadres et méthodes d'investigation de l'archéologie du bâti et les exemples étrangers (non bruxellois) permettant une perspective comparative. Les trois ans de la recherche ont permis une large récolte d'informations, l'inventaire et la prise de connaissance de la bibliographie et des études inédites existantes – tant celle concernant la pratique de l'archéologie du bâti à Bruxelles, en Belgique et dans d'autres pays européens, que d'une manière plus spécifique, celles provenant de la documentation archéologique et historique disponible en région bruxelloise –. Cette collecte de données a permis ensuite de dresser, d'une part, un bilan précis et circonstancié du fonctionnement de l'archéologie du bâti à Bruxelles (situation réglementaire, historique des études et potentiels futurs) et d'autre part, un état de la question théorique sur les bonnes pratiques en archéologie du bâti d'après les réflexions et travaux méthodologiques menés par des chercheurs européens. Nous proposons ainsi un certain nombre de recommandations. En corrélation avec l'étude du patrimoine bâti existant ou ayant existé dans un quartier de la ville et d'une zone villageois périurbaine et afin d'offrir des problématiques scientifiques et patrimoniales aux acteurs à venir en archéologie du bâti, une synthèse des connaissances sur les processus d'urbanisation et d'évolution du bâti ancien a été réalisée. Cet état de la question, couplé à l'inventaire bibliographique, a permis, d'une part, de déterminer en connaissance de cause les deux zones qui ont été l'objet d'une analyse approfondie (paroisse de la Chapelle et ...
Cette étude est consacrée à l'analyse des politiques et pratiques de l'étude d'impact patrimonial ( Heritage Impact Assessment ) au Kenya, selon une démarche comparative par rapport à l'archéologie préventive en France.
Cette étude est consacrée à l'analyse des politiques et pratiques de l'étude d'impact patrimonial ( Heritage Impact Assessment ) au Kenya, selon une démarche comparative par rapport à l'archéologie préventive en France.
International audience ; Un entre-deux, c'est-à-dire un espace, un état, une capacité entre deux extrêmes. En 1992, je parlais, lors d'un colloque à Bordeaux, de « paradoxe de la création ». Eh 1996, j'abordais timidement la critique historiographique (dans un article publié par la revue Sources, puis dans le dossier « Archéologie et identité : les fondements idéologiques de l'archéologie » paru, en 1997, dans les Nouvelles de l'archéologie), celle « d'impossible » Moyen Âge. Ce dossier reflétait l'histoire d'une préoccupation, d'une urgence, depuis la tentative d'organisation d'un colloque à Valmy, en 1988. Avec, aujourd'hui, l'idée d'un « entre deux », nous ne sommes pas dans la ligne d'une lointaine prise de conscience, faite il y a trente ans, mais bien plutôt en face d'un retour sur expérience. Le mot « moyen âge » désigne un concept forgé au XIXe siècle, qui n'a pas de pertinence culturelle, en particulier en termes de « culture matérielle ». C'est une pure fabrication idéologique, déterminée par référence à un avant prestigieux, l'Antiquité, et un après, tout aussi prestigieux, la Renaissance. Les bornes chronologiques académiques sont comprises entre le Ve et le XVe siècle : mille ans, de 476, date officielle et politique de la chute de l'empire romain, à 1453, date officielle de la chute de l'empire byzantin (l'empire romain d'Orient) ou à 1492 (découverte de l'Amérique). Cette chronologie n'a aucune pertinence en termes de société, qu'il s'agisse des vestiges matériels ou, plus généralement, des diverses « cultures ». Si nous raisonnions en termes culturels comm e les collègues des périodes sans écriture, nous identifierions sans doute nos phases culturelles de façon tout à fait différente. On pourrait, à titre d'exemple, proposer une Première période durant laquelle une culture très antique serait marquée par la diffusion d'une nouvelle pratique religieuse (le christianisme), une nouvelle relation des vivants à leurs morts, des formes particulières d'expression de cette religion en termes matériels : ...
International audience ; Un entre-deux, c'est-à-dire un espace, un état, une capacité entre deux extrêmes. En 1992, je parlais, lors d'un colloque à Bordeaux, de « paradoxe de la création ». Eh 1996, j'abordais timidement la critique historiographique (dans un article publié par la revue Sources, puis dans le dossier « Archéologie et identité : les fondements idéologiques de l'archéologie » paru, en 1997, dans les Nouvelles de l'archéologie), celle « d'impossible » Moyen Âge. Ce dossier reflétait l'histoire d'une préoccupation, d'une urgence, depuis la tentative d'organisation d'un colloque à Valmy, en 1988. Avec, aujourd'hui, l'idée d'un « entre deux », nous ne sommes pas dans la ligne d'une lointaine prise de conscience, faite il y a trente ans, mais bien plutôt en face d'un retour sur expérience. Le mot « moyen âge » désigne un concept forgé au XIXe siècle, qui n'a pas de pertinence culturelle, en particulier en termes de « culture matérielle ». C'est une pure fabrication idéologique, déterminée par référence à un avant prestigieux, l'Antiquité, et un après, tout aussi prestigieux, la Renaissance. Les bornes chronologiques académiques sont comprises entre le Ve et le XVe siècle : mille ans, de 476, date officielle et politique de la chute de l'empire romain, à 1453, date officielle de la chute de l'empire byzantin (l'empire romain d'Orient) ou à 1492 (découverte de l'Amérique). Cette chronologie n'a aucune pertinence en termes de société, qu'il s'agisse des vestiges matériels ou, plus généralement, des diverses « cultures ». Si nous raisonnions en termes culturels comm e les collègues des périodes sans écriture, nous identifierions sans doute nos phases culturelles de façon tout à fait différente. On pourrait, à titre d'exemple, proposer une Première période durant laquelle une culture très antique serait marquée par la diffusion d'une nouvelle pratique religieuse (le christianisme), une nouvelle relation des vivants à leurs morts, des formes particulières d'expression de cette religion en termes matériels : ...
International audience ; Un entre-deux, c'est-à-dire un espace, un état, une capacité entre deux extrêmes. En 1992, je parlais, lors d'un colloque à Bordeaux, de « paradoxe de la création ». Eh 1996, j'abordais timidement la critique historiographique (dans un article publié par la revue Sources, puis dans le dossier « Archéologie et identité : les fondements idéologiques de l'archéologie » paru, en 1997, dans les Nouvelles de l'archéologie), celle « d'impossible » Moyen Âge. Ce dossier reflétait l'histoire d'une préoccupation, d'une urgence, depuis la tentative d'organisation d'un colloque à Valmy, en 1988. Avec, aujourd'hui, l'idée d'un « entre deux », nous ne sommes pas dans la ligne d'une lointaine prise de conscience, faite il y a trente ans, mais bien plutôt en face d'un retour sur expérience. Le mot « moyen âge » désigne un concept forgé au XIXe siècle, qui n'a pas de pertinence culturelle, en particulier en termes de « culture matérielle ». C'est une pure fabrication idéologique, déterminée par référence à un avant prestigieux, l'Antiquité, et un après, tout aussi prestigieux, la Renaissance. Les bornes chronologiques académiques sont comprises entre le Ve et le XVe siècle : mille ans, de 476, date officielle et politique de la chute de l'empire romain, à 1453, date officielle de la chute de l'empire byzantin (l'empire romain d'Orient) ou à 1492 (découverte de l'Amérique). Cette chronologie n'a aucune pertinence en termes de société, qu'il s'agisse des vestiges matériels ou, plus généralement, des diverses « cultures ». Si nous raisonnions en termes culturels comm e les collègues des périodes sans écriture, nous identifierions sans doute nos phases culturelles de façon tout à fait différente. On pourrait, à titre d'exemple, proposer une Première période durant laquelle une culture très antique serait marquée par la diffusion d'une nouvelle pratique religieuse (le christianisme), une nouvelle relation des vivants à leurs morts, des formes particulières d'expression de cette religion en termes matériels : ...
International audience ; Un entre-deux, c'est-à-dire un espace, un état, une capacité entre deux extrêmes. En 1992, je parlais, lors d'un colloque à Bordeaux, de « paradoxe de la création ». Eh 1996, j'abordais timidement la critique historiographique (dans un article publié par la revue Sources, puis dans le dossier « Archéologie et identité : les fondements idéologiques de l'archéologie » paru, en 1997, dans les Nouvelles de l'archéologie), celle « d'impossible » Moyen Âge. Ce dossier reflétait l'histoire d'une préoccupation, d'une urgence, depuis la tentative d'organisation d'un colloque à Valmy, en 1988. Avec, aujourd'hui, l'idée d'un « entre deux », nous ne sommes pas dans la ligne d'une lointaine prise de conscience, faite il y a trente ans, mais bien plutôt en face d'un retour sur expérience. Le mot « moyen âge » désigne un concept forgé au XIXe siècle, qui n'a pas de pertinence culturelle, en particulier en termes de « culture matérielle ». C'est une pure fabrication idéologique, déterminée par référence à un avant prestigieux, l'Antiquité, et un après, tout aussi prestigieux, la Renaissance. Les bornes chronologiques académiques sont comprises entre le Ve et le XVe siècle : mille ans, de 476, date officielle et politique de la chute de l'empire romain, à 1453, date officielle de la chute de l'empire byzantin (l'empire romain d'Orient) ou à 1492 (découverte de l'Amérique). Cette chronologie n'a aucune pertinence en termes de société, qu'il s'agisse des vestiges matériels ou, plus généralement, des diverses « cultures ». Si nous raisonnions en termes culturels comm e les collègues des périodes sans écriture, nous identifierions sans doute nos phases culturelles de façon tout à fait différente. On pourrait, à titre d'exemple, proposer une Première période durant laquelle une culture très antique serait marquée par la diffusion d'une nouvelle pratique religieuse (le christianisme), une nouvelle relation des vivants à leurs morts, des formes particulières d'expression de cette religion en termes matériels : ...