Politique des bases militaires americaines a l'etranger
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 1, S. 171-177
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
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In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 1, S. 171-177
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
BASE
International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
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International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique ...
BASE
International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
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In: Le monde diplomatique, Band 50, Heft 587, S. 20-21
ISSN: 0026-9395, 1147-2766
In: Négociations, Band 28, Heft 2, S. 9
ISSN: 1782-1452
Partie de :Brack, N. Rittelmeyer, Y. S. & Stanculescu, C. (2009). Les élections européennes de 2009 :entre national et européen: Une analyse des campagnes électorales dans 22 Etats membres. (CEVIPOL Working Papers / Cahiers du CEVIPOL No 3). ; info:eu-repo/semantics/published
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In: Revue française d'administration publique, Band 60, Heft 1, S. 669-674
In: Politique étrangère, Band 3, Heft 3, S. 250-265
In: Multitudes, Band 63, Heft 2, S. 72-81
ISSN: 1777-5841
S'il est difficile de lever à court terme les freins – avant tout géopolitiques – qui empêchent de mettre en œuvre un revenu de base d'un montant « élevé », il faudrait néanmoins commencer par mettre un œuvre un revenu de base, même d'un montant équivalent à l'actuel RSA. Cela doit et peut se faire dès maintenant. Cet article explique comment, étape par étape.
In: Politique africaine, Band 46, Heft 1, S. 150-153
ISSN: 2264-5047
In: Revue française de science politique, Band 18, Heft 5, S. 957-965
ISSN: 1950-6686
L'attitude des Pays-Bas
Les Néerlandais sont les plus chaleureux partisans d'une adhésion britannique à la Communauté européenne dans la mesure où seule une Europe élargie aux pays de l'A.E.L.E., et donc plus intéressante sur le plan économique, leur paraît constituer une solution de rechange acceptable à l'Europe supranationale que refuse la France. La pression d'une opinion publique sur ce point unanime et très « antigaulliste » oblige le gouvernement néerlandais à prendre des positions dures qui n'influent guère sur le déroulement des événements et qui provoquent en retour un certain pessimisme sur l'évolution future de la Communauté.