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In: Internationale Bibliothek, Band 12
In: Warum noch Philosophie?
Blick ins Buch Was ist das Ziel guter Philosophie, wie wird man ein guter Philosoph? Dieses Buch gibt die Antwort, dass nur der ein guter Philosoph ist, der zugleich ein "wahrer Mensch" (Wittgenstein) ist. Welchen philosophischen Standpunkten sich unsere Vernunft anschließt, entscheidet sich letztlich im Einklang mit dem Temperament, mit den Emotionen, die zum wahren Menschen gehören. Und dann kommt es darauf an, dass man auch nach der so gewonnenen philosophischen Einstellung lebt, um sie zu bestätigen. Ein Buch, das zentrale philosophische Fragen nach Willensfreiheit, Objektivität der Moral, Sinn des Lebens, Identität des Selbst und religiöser Wahrheit auf präzisem, aber verständlich-transparentem Niveau verhandelt: Gerahmt von dem fiktiven Briefwechsel der Philosophen Bill Headstrong und Wilhelm Kornblum werden diese existentiellen Fragen an Leben und Werk des Philosophen William James exemplifiziert.
In: Kohlhammer Urban Taschenbücher 352,1
Stärker als vorangehende Epochen ist das Zeitalter der Renaissance (ca. 1350 bis ca. 1650) durch zahlreiche wirtschaftliche, künstlerische, politische, technische, literarische, theologische, soziale und philosophische Neuorientierungen geprägt. Kaum etwas ist am Ende dieses Zeitabschnitts so wie es am Anfang war. Die 11 Kapitel dieser ""Philosophie der Renaissance"" (Prag 1356, Padua 1408, Florenz 1434, Wien 1489, Florenz 1519, Wittenberg 1560, Ingolstadt 1577, Montaigne 1588, Ciudad de Mexico 1599, Peking 1601, Paris 1625 / München 2013) gehen von einer spezifischen örtlichen und geistesgesc
In: Deutsches Jahrbuch Philosophie Band 7
Noch vor wenigen Jahrzehnten galten Märkte als Institutionen, mit denen sich Probleme in nahezu allen gesellschaftlichen Bereichen effizient und zum Vorteil aller Bürgerinnen und Bürger lösen lassen. Diese Einschätzung ist inzwischen einer anderen gewichen: Seit dem Ausbruch der Weltwirtschaftskrise im Jahre 2008 werden Märkte zunehmend als Institutionen wahrgenommen, die gesellschaftliche Probleme nicht lösen und soziale Missstände erzeugen. Es ist deshalb keine Überraschung, dass Fragen des Marktes von Philosophinnen und Philosophen wieder verstärkt aufgegriffen und diskutiert werden. Dieses Buch möchte zur Klärung, Erörterung und Beantwortung der begrifflichen, sozialtheoretischen, moralpsychologischen und ethischen Fragen, mit denen uns die globalen Märkte gegenwärtig konfrontieren, beitragen und zugleich neues Licht auf die Theorien klassischer Vertreter der Philosophie des Marktes (wie Adam Smith, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Karl Marx oder John Stuart Mill) werfen. Ihm liegt die Erwartung zugrunde, dass diese Theorien für die heutige Politische Philosophie und Sozialphilosophie auch systematisch bereichernd sind.
Philosophie, Welt- und Lebensanschauung -- I Historischer Teil -- 1. Philosophie als Wissen überhaupt -- 2. Philosophie als Weltanschauung, Differenzierung des Gesamtwissens -- 3. Philosophie als Theorie der Lebensführung -- 4. Philosophie als Lebenspraxis -- 5. Philosophie als Religionsersatz -- 6. Philosophie als weltliches Gesamtwissen -- 7. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 8. Philosophie als Erkenntnislehre -- 9. Philosophie als Problem -- II. Erkenntniskritischer Teil -- 1. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 2. Philosophie als Erkenntnis -- III, Systematischer Teil -- A. Das System der Welt -- B. Das System der Werte -- C. Die philosophiechen Spezial-Disziplinen -- Anmerkungen -- Liteiaturhinweise.
In: Internationales Jahrbuch für Medienphilosophie, Band 6, Heft 1, S. 299-310
ISSN: 2196-6834
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
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International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
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In: Beiträge zur Schelling-Forschung 7
In: Archiv für Geschichte der Philosophie, Band 22, Heft 2
ISSN: 1613-0650
Das Freiheitspotential moderner Gesellschaften, vor allem die Rechtfertigung politischer Herrschaft, wird heute mit einer demokratisch verfassten Ordnung verknüpft. Was eine demokratische Ordnung ausmacht, was also die Idee des Demokratischen meint, scheint aber alles andere als klar zu sein. Soll es nur um Fragen der Repräsentation des Volkes durch Wahlen, Abstimmungen und Parteien oder darüber hinaus auch um die institutionelle Kultur, die Gewaltenteilung und das Rechtsregime innerhalb eines Gemeinwesens gehen? Eine »Philosophie der Republik«, wie sie in den Beiträgen dieses Bandes entwickelt wird, zeigt, dass die aktuelle »Dominanz des Demokratischen« keine eigenständige Bedeutung der republikanischen Selbstorganisation von Staat und Gesellschaft beimisst. Das Republikanische geht im »Universalkonzept« des Demokratischen auf, womit aber zugleich die Spannungen ausgeblendet werden, die zwischen egalitär-mehrheitsorientierten und institutionell abgesicherten Machtbalancen bestehen. Zeigen kann eine »Philosophie der Republik« dagegen, dass moderne Gemeinwesen mit ihrem Anspruch, Freiheit zu garantieren, eine Vielzahl von Legitimationsnarrativen aufgenommen und innovativ miteinander verbunden haben. Demokratie und Republik sind komplementäre Perspektiven, die beide eine gerechte Ordnung im Blick haben.InhaltsübersichtEinleitung: Ambivalenzen im Diskurs um Demokratie und Republik I. Gewaltengliederung und Repräsentation Marc André Wiegand: Demokratische Narrative und Republikanische Ordnung – Horst Dreier: Das Problem der Volkssouveränität – Bernd Grzeszick: Gewaltenteilung im Demokratischen Rechtsstaat – Andreas Anter: Repräsentation und Demokratie II. Institutionen und Autonomie Matthias Kaufmann: Das Verhältnis von Recht und Pflicht – Andrea M. Esser: Freiheit und Autonomie im Republikanismus – Überlegungen in Anschluss an Philip Pettit, Immanuel Kant und John Dewey – Pirmin Stekeler-Weithofer: Eigentum und Selbstbestimmung. Hegels Idee personaler Freiheit in Republikanischen Institutionen – Jochen Bung: Sicherheit, Verantwortung und Demokratie – Thomas Schmidt-Lux: Anspruch und Glauben. Vigilantismus als Herausforderung staatlicher Legitimität III. Republikanische Infrastrukturen Trevor Wedman: The Rule of Law Toward a Positive Conception of State – Oliver W. Lembcke: This Party Sucks? Ansätze zu einer politischen Theorie politischer Parteien – Wolfgang Schild: Erbmonarch oder Wahlpräsident. Eine Differenz zwischen Hegel und den Hegelschülern Gans und Michelet – Hannes Siegrist: Republik und Eigentum. Historische Perspektiven – Benno Zabel: Schuld und Strafe in Freien Gesellschaften. Über den Zusammenhang von Gewalt, Gesetz und Demokratie IV. Gerechtigkeit und Differenz David Abraham: Circumcision: Immigration, Religion, History, and Science in the German and U.S. Republics – Helmut Goerlich: Säkulare Republik, religiöse Pluralität und Menschenrechte in verfassungsrechtlicher Perspektive – Susanne Beck: Minderheit wider Willen? Die Grenzen des Minderheitenschutzes in einer Republikanischen Demokratie – Sabrina Zucca-Soest: Gerechtigkeit und Differenz im Republikanismus V. Werte und Lebensformen Jean-François Kervegan: Unsittliche Sittlichkeit? Überlegungen über 'Böckenfördes Theorem' und seine kritische Übernahme bei Habermas und Honneth – Christian Schmidt: Institutionen der Freiheit? Republikanische Ordnung und bürgerschaftliche Entfremdung – Rochus Leonhardt: Religiöser Pluralismus und säkulare Rechtsordnung – Thomas Khurana: Politics of Second Nature. On the Democratic Dimension of Ethical Life VI. Menschenwürde und Menschenrechte Kurt Seelmann: Das Dilemma einer Begründung von Menschenrechten – Georg Lohmann: Echo des Naturrechts? Menschenwürde, Menschenrechte und Demokratie – Stephan Kirste: Das Menschenrecht auf Demokratie – Daniela Demko: Zur Entwicklung einer kosmopolitisch-pluralistischen Weltrepublik