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ISSN: 0138-2055
In: Kohlhammer Urban Taschenbücher 352,1
Stärker als vorangehende Epochen ist das Zeitalter der Renaissance (ca. 1350 bis ca. 1650) durch zahlreiche wirtschaftliche, künstlerische, politische, technische, literarische, theologische, soziale und philosophische Neuorientierungen geprägt. Kaum etwas ist am Ende dieses Zeitabschnitts so wie es am Anfang war. Die 11 Kapitel dieser ""Philosophie der Renaissance"" (Prag 1356, Padua 1408, Florenz 1434, Wien 1489, Florenz 1519, Wittenberg 1560, Ingolstadt 1577, Montaigne 1588, Ciudad de Mexico 1599, Peking 1601, Paris 1625 / München 2013) gehen von einer spezifischen örtlichen und geistesgesc
Philosophie, Welt- und Lebensanschauung -- I Historischer Teil -- 1. Philosophie als Wissen überhaupt -- 2. Philosophie als Weltanschauung, Differenzierung des Gesamtwissens -- 3. Philosophie als Theorie der Lebensführung -- 4. Philosophie als Lebenspraxis -- 5. Philosophie als Religionsersatz -- 6. Philosophie als weltliches Gesamtwissen -- 7. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 8. Philosophie als Erkenntnislehre -- 9. Philosophie als Problem -- II. Erkenntniskritischer Teil -- 1. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 2. Philosophie als Erkenntnis -- III, Systematischer Teil -- A. Das System der Welt -- B. Das System der Werte -- C. Die philosophiechen Spezial-Disziplinen -- Anmerkungen -- Liteiaturhinweise.
In: Gesammelte Schriften 8
In: Der Weg der europäischen Philosophie 1
In: Internationales Jahrbuch für Medienphilosophie, Band 6, Heft 1, S. 299-310
ISSN: 2196-6834
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
BASE
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
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In: Veröffentlichungen d. Forschungsgruppe Didaktik d. Philosophie, Duisburg
In: Globalisierung: ein interdisziplinäres Handbuch, S. 142-147
Es gibt keinen philosophischen Begriff 'Globalisierung'. Der Verfasser wendet sich der philosophischen Beschäftigung mit geschichtsphilosophischen, anthropologischen und normativen Aspekten des Globalisierungsbegriffes zu. In diesem Kontext erläutert er Tendenzen und Schwerpunkte der Entwicklung der philosophischen Forschung zur Globalisierung, wobei kosmopolitische Positionen eine besondere Rolle spielen. Kants Friedensprojekt begründete eine Philosophie zur globalen sozio-politischen Integration der Menschheit, die erst ab Anfang des 20. Jahrhunderts von einem allgemeinen Kosmopolitismus abgelöst wurden. Andererseits gelten Hegel und eine an ihn anschließende kommunitaristische Tradition als globalisierungskritischer Vorläufer. Diese traditionellen Gegensätze haben sich in der Gegenwart entschärft. Offene Probleme und Debatten bestehen dagegen in unterunterschiedlichen Sichtweisen von liberalen und demokratischen Kosmopoliten, in der Relativierung des institutionellen Kosmopolitismus sowie in dem Streit um die Revision der modernen Staatsphilosophie aufgrund der globalen Herausforderungen Nuklearwaffen und Klimawandel. Der Verfasser folgert, dass gegenwärtig der philosophische Deutungsstreit um die Globalisierung in vollem Gang ist. (ICC2)
In: Geschichte der Philosophie
In: Die Philosophie der Neuzeit 3, Teil 2
Schelling hat die Klassische Deutsche Philosophie rückblickend einen Kampf um die höchsten Besitztümer des menschlichen Geistes genannt. Ausgefochten haben ihn - im kritischen Anschluss an Kant - vor allem Jacobi, Reinhold, Fichte, Schelling, Novalis, Schlegel, Schleiermacher und Hegel. Das Buch zeichnet ein integrales Bild der Klassischen Deutschen Philosophie nach Kant, das auch weniger prominente Positionen einbezieht und nicht einem teleologischen Deutungsmuster folgt, also nach einer Vollendungsgestalt dieser Philosophie fragt. Die Autoren stützen sich tendenziell auf die Gesamtheit der Quellen aus dieser Epoche, die zu einem bedeutenden Teil erst von der philosophiegeschichtlichen Forschung der letzten Jahrzehnte erschlossen und in ihrer Verflechtung transparent gemacht worden sind.
In: Geschichte der Philosophie
In: Die Philosophie der Neuzeit 3, Teil 1
In der vierzehnbändigen Geschichte der Philosophie stellen namhafte Philosophiehistoriker die Entwicklung des abendländischen Denkens durch alle Epochen bis zur Gegenwart einführend und allgemeinverständlich dar.