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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Leonidas Kallivretakis, The Greek Dictatorship in the conjuncture ofthe 1973 Middle East War The purpose of this article is to explore a widelyheld «urban legend¬, namely, that the Papadopoulos' military regime was overthrown in November 1973 by the Americans, because the Greek dictator refused to assist the United States' supply effort in support of Israel during the ArabIsraeli war in October 1973. This assumption holds a prominent position in the wider realm of various conspiracy theories, which seek simplistic explanations of complicated dramatic events. By following in detail the unfolding of events stepbystep, by thoroughly scrutinizing all available material and highlighting the contradictions they reveal, the author concludes that there is no hard evidence supporting the above theory surrounding Papadopoulos' ouster.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Alexis Politis, Où peut on trouver le lecteur caché? Recherches aux années entre les deux guerres mondiales (1920-1940). Le roman de Tymphristos La jeune fille, 1923 L'objet de cet article est la recherche d'informations sur la lecture des textes littéraires des années 1920-1940. Sa source fondamentale est La jeune fille, roman de 1923, dont l'auteur Tymphristos, qui bien que de second ordre, était très connu à l'époque. L'article montre que la littérature populaire est riche en informations sur ses lecteurs, dont elle est très proche. Cependant, il faut prendre en considération l'écart qui existe entre l'auteur et le narrateur, la personne du «lecteur implicite», ainsi que les traits caractéristiques des personnages du roman. Le livre choisi comme exemple est considéré comme un témoin très fidèle: auteur et narrateur sont la même personne, tandis que la seconde personne est une jeune fille de seize ans, de la petite bourgeoisie, qui aime la littérature, ce qui l'approche aux «lecteurs moyens» de l'époque. L'article étudie aussi la croissance pendant cette époque du nombre de ces «lecteurs moyens», comme l'atteste l'augmentation des maisons d'édi tion. Enfin, sont recherchés les caractéristiques éventuelles du «véritable lecteur» qui apparaissent dans les notes d'un exemplaire de ce roman.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Christos Loukos, Un Grec à Paris approuve le 18 Brumaire de Louis Bonaparte En premier lieu, on fait une introduction aux événements qui ont marqué une longue période, inaugurée par la révolution de février 1848 et l'avènement du Second Empire, qui aboutit finalement à la répression de l'insurrection de juin, à la présidence de Louis-Bonaparte, et, malgré les réactions de l'Assemblée, à la presque toute-puissance du nouveau président, jusque le coup d'état du 2 décembre 1851. Ensuite on examine comment Alexandre Mavrocordatos, ambassadeur de Grèce à Paris, a suivi et jugé, dès la fin de 1850, ces évènements, en tenant au courant le Gouvernement grec. On présente surtout ses analyses politiques et ses réactions concernant les débats du Président avec ses adversaires politiques, les idéologies et les motivations créées au sein de l'Assemblée, ainsi que les confrontations sociales. On montre que Mavrocordatos, face à l'éventualité d'un renversement social par les socialistes, justifie presque toujours les mesures de répression gouvernementale et approuve le renforcement des pouvoirs du Président. Enfin il défend le coup d'état et le présente comme nécessaire à la sauvegarde de la France et de l'Europe entière. Dans un effort d'intégrer la pensée de Mavrocordatos dans le contexte grec, on présente surtout les réactions principales de la presse d'Athènes et d'Hermoupolis concernant le coup d'état. On soutient que Mavrocordatos, bien plus que ses compatriotes, était tout à fait persuadé que le véritable péril de l'agitation de 1848 n'était pas le changement du caractère du régime politique (constitutionnel ou pas) mais la mise en doute de la hiérarchie sociale qui menaçât la prépondérance de la haute bourgeoisie.
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In: Impact of Empire Volume 34
In: Impact of empire, Roman Empire, c. 200 B.C.-A.D. 476 Volume 34
Introduction / Koenraad Verboven, Olivier Hekster -- Culture politique imperiale et pratique de la justice : regards croises sur la figure du prince "injuste" / Stephane Benoist, Anne Gangloff -- The decreta and imperiales sententiae of Julius Paulus : law and justice in the judicial decisions of Septimius Severus / Elsemieke Daalder -- The value of the stability of the law : a perspective on the role of the emperor in political crises / Francesco Bono -- Legal education, realpolitik, and the propagation of the emperor's justice / Matthijs Wibier -- Koinoi nomoi : Hadrian and the harmonization of local laws / Juan Manuel Cortes-Copete -- Justice, res publica and empire : subsidiarity and hierarchy in the Roman empire / Frederic Hurlet -- Substantive justice in provincial and Roman legal argument / Clifford Ando -- Zwischen Theorie und Wirklichkeit : Romische Sicherheitsgesetze und ihre Realisierung / Peter Herz -- Geschlechterrollen im romischen Erbrecht im Spiegel des zeitgenossischen Gerechtigkeitsverstandnisses und am Beispiel der lex Voconia / Elena Kostner -- La femme : objet et sujet de la justice romaine / Pilar Pavon Torrejon -- The spectacle of justice in the Roman Empire / Margherita Carucci.
Δεν παρατίθεται περίληψη στα Ελληνικά. ; Dans une époque de grands efforts pour l'organisation de l'état grec, qui était nouvellement établi, Spyridon Skoufos a adressé en Octobre 1829 au gouverneur Jean Kapodistrias un «Mémoire sur la statistique de la Grèce». L'auteur a rédigé ce mémoire sous l'influence des idées qui existaient depuis longtemps en Europe; on peut constater cette influence tant sur le plan général, que sur les termes utilisés (par exemple, Arithmétique Politique), sans toutefois que le rédacteur ignore la réalité grecque. Dans les vingt pages du Mémoire Skoufos met l'accent sur la nécessité d'un dénombrement de la population et décrit la manière par laquelle on peut le réaliser tant par des recensements, que par l'organisation de l'état civil (enregistrement des naissances, mariages et décès). Skoufos rédigea ce Mémoire dans le but évident de se faire procurer un emploi public, ce qui lui fut accordé, en 1833, après l'arrivée du roi Othon. On ignore si ce Mémoire a influencé les méthodes statistiques de l'état grec; on peut cependant dépister quelques similitudes entre le Mémoire de Skoufos et quelques textes postérieurs.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Visant à stimuler d'une part le dialogue entre anthropologues et historiens/iennes et d'autre part les débats concernant les problèmes epistémologiques et politiques que posent l'histoire et l'anthropologie des femmes et des sexes, l'Association des Études Néohelléniques organisa une table-ronde sur les approches historiques et anthropologiques du «gender» et procéda à la publication des quatre interventions des collègues invités: Eleni Fournaraki examine certaines étapes du déplacement que connût récemment l'histoire des femmes, centrée sur les terrains spécifiques où les expériences des femmes ont été historiquement formées —démarche répondant à un besoin toujours actuel—, vers une «nouvelle synthèse historique»; celle-ci renouvelle le questionnement de l'histoire des femmes (et de l'histoire en général), en posant au centre de l'analyse les rapports masculin-féminin (en relation avec d'autres formes d'inégalité sociale) et le sexe, conçu comme construction culturelle. Efthymios Papataxiarchis se réfère aux différentes conceptions théoriques actuelles du sexe (le sexe comme rôle, relation et construction) et commente leurs conséquences cognitives plus larges pour l'anthropologie; examinant aussi ces conséquences pour le virage anthropologique de l'histoire, il constate une certaine difficulté de l'histoire à appliquer la théorie du sexe comme construction. Alexandra Bakalaki en analysant la contribution de l'anthropologie à la décomposition du sexe en tant qu'élément constitutif du sujet, se demande si en effet «l'anthropologie des femmes est pour l'anthropologie ce que l'enfance est pour la maturité»; elle estime que l'assertion ci-dessus, assez repondue actuellement au sein des anthropologues, est trop simpliste, car d'une part elle tend à «oublier» la critique de l'anthropologie des femmes à la «règle)) ethnocentrique et sexuée imposée par les «pères» de l'anthropologie, et d'autre part elle risque à sous-estimer certains problèmes, théoriques et politiques, que relève le virage vers l'anthropologie du sexe, indépendamment de son intérêt scientifique incontestable. Efi Avdela, en posant certaines questions plus générales sur l'historiographie, analyse deux stéréotypes qui accompagnent souvent la réception de l'histoire des femmes et/ou des sexes en Grèce: soit elle est envisagée comme un terrain cognitif discrédité car taxé d'usage politique-idéologique soit elle est considérée comme une thématique manquant d'intérêt scientifique.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Vasso Théodorou, Approches interprétatives de la philanthropie. Du contrôle social à la réciprocité Cet article s'intéresse à suivre les déplacements théoriques de l'histoire sociale des trente dernières années en ce qui concerne l'interprétation du mouvement philanthropique. Dans une perspective comparative, on essaie de mettre en évidence les catégories analytiques utilisées au sein des traditions britannique, française et grecque, afin d'approcher les divers aspects de la pratique, les differentiations et les nuances qui s'inscrivent dans le contexte de l'évolution de chaque tradition intellectuelle. Puisque le phénomène de la philanthropie a été considéré comme un champ privilégié pour l'étude des relations sociales au cours du 19ème siècle, et surtout celle du processus d'insertion des couches inférieures aux valeurs bourgeoises pendant la période de l'industrialisation, la notion du contrôle social a présidé dans la plupart des travaux publiés dans les années '70 et '80. L'influence de M. Foucault a été évidente sur la tentative de compréhension du geste généreux dans le contexte de la normalisation des comportements des indigents jugés dangereux, tandis que la consolidation du capital social par le biais de la donation a trouvé un excellent champ d'investigation en sociologie. Dans ce cadre, on a tenté de faire le lien entre la participation philanthropique des milieux bourgeois et leur ascention au pouvoir politique, les rythmes d'accroissement des villes et la genèse des inquiétudes provenant des groupes marginaux, enfin les initiatives des femmes et leur émancipation. Or, l'enrichissement de la bibliographie tant française que britannique des années '90, et raffinement des outils analytiques empruntés aux autres sciences sociales, ont amené au réfléchissement sur les significations, la durée et le contenu de la pratique. D'ailleurs, la problématique des acteurs sociaux, militant pour la diminution du phénomène de l'exclusion sociale et l'émergence du mouvement volontariste actuel, ont sans doute influencé les tentatives interprétatives de l'action philanthropique du 19ème siècle, changeant leur orientation vers un contexte plus humanitaire. La contestation du contrôle social en tant que cadre d'interprétation exclusive de la philanthropie, a donné sa place à des approches qui prennent en considération le sens propre du mot: l'altruisme et la réciprocité. L'ouverture du dialogue à des outils théoriques des disciplines voisines, surtout ceux de la sociologie et de l'anthropologie, ont amené à la redéfinition du domaine de la philanthropie en tant que système de rapports matériels et culturels tenant en compte tant les structures intellectuelles de la période étudiée que les stratégies des acteurs sociaux.
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Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer. ; Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Dans cet article nous essayons de démontrer quels sont les droits politiques, sociaux et civils attribués aux citoyens grecs, de quelles forces politiques dérivent et dans quelle conjoncture historique s'inscrivent. Les textes des Constitutions de 1844, 1864, 1911 et 1927 sont utilisées ici comme principales sources de notre recherche, dont les résultats sont les suivants: a) Malgré la tradition politique de la Révolution de 1821 et la prescription précoce du suffrage universel pour les hommes en 1864, le libéralisme politique en Grèce n'avait pas réussi jusqu'à 1927 à pénétrer dans la culture politique de la majorité du peuple grec. b) Cependant, le libéralisme politique a fonctionné pour les hommes politiques grecs comme un code commun et aussi comme idéologie dominante. c) A la suite de cette analyse nous croyons que le rôle du libéralisme politique en tant que idéologie dominante était l'assurance du consentement politique.
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Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Le texte se rapporte au caractère de la lutte des producteurs du raisin sec du Nord-Est du Péloponnèse et à leurs revendications, quand, à la fin du XIXème siècle ils ont été touchés par la crise du raisin sec. Ce mouvement social sort du cadre d'une lutte des classes. Il ne s'agit pas, comme il a été dit, d'une lutte des agriculteurs contre les grands propriétaires fonciers, contre le capital ou contre l'Etat. La lutte pour sauver le raisin sec et tous ceux qui en vivaient, exprime une protestation globale de toutes les couches sociales touchées par la crise. Les populations touchées remettent leur avenir à l'Etat et à sa politique économique dont dépend leur survie. L'Etat n'est pas pris en compte comme étant l'image d'une classe souveraine, mais comme n'étant pas l'image du «monde» du raisin sec. C'est ainsi que la défense des producteurs du raisin sec du Sud du pays résonne comme une défense d'intérêts locals et communs, ayant comme mandataire direct le Parlement. Les demandes et les revendications des intéressés directs sont mises sur le tapis à travers des manifestations de combat nouvelles pour la société grecque, comme les groupements commerciaux, fonciers et agricoles, les associations, et surtout les grandes mobilisations, les manifestations massives, les décrets et les pétitions au gouvernement, au Parlement et au Roi. Toutes les couches de la société participent à cette lutte qui est menée aussi bien par les citadins que par les campagnards. Les litiges qui fleurissent ne font pas s'affronter les classes sociales, mais les différentes régions qui, selon la qualité du raisin sec qu'elles produisaient, avaient des intérêts opposés. Ces régions s'affrontaient d'une telle manière que les gens de l'époque parlaient d'une «Seconde Guerre du Péloponnèse». On mentionne notamment les positions des députés durant les débats au Parlement sur les solutions à la question du raisin sec. Il est intéressant de noter que les députés du Péloponnèse se montrent en majorité d'accord avec les revendications faites dans leur propre circonscription électorale, et non avec les positions du parti auquel ils appartenaient.
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