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Stendhal contre l'Amérique
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 281, Heft 2, S. 113-115
Réfléchissez : si vous pensez à la première méditation profonde sur l'Amérique, aussitôt le nom de Tocqueville s'impose. Mais il existe parallèlement un autre Français préoccupé par le cas américain : le Frère Stendhal. Assurément, la vision des deux hommes diverge : le Normand a la lucidité d'un libéral ; le « Milanais », les doutes qui font l'apanage d'un être libre attaché à la virtù . Stendhal se veut face à l'Amérique à l'instar de Guitry vis-à-vis des femmes – contre… tout contre.
Stendhal: mit Selbstzeugnissen und Bilddokumenten
In: Rowohlts Monographien, 525
Einführung in Leben und Werk des französischen Schriftstellers (1783-1842). (Maria Haldenwanger)
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Reading realism in stendhal
In: History of European ideas, Band 10, Heft 1, S. 85-85
ISSN: 0191-6599
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Stendhals Deutschland: Impressionen über Land und Leute
Naumanns Buch bietet die erste umfassende Darstellung von Stendhals Bild von Deutschland. Zugleich ist es eine Kulturgeschichte der Goethezeit aus der Sicht eines prominenten ausländischen Zeitgenossen und ein Beitrag zum deutsch-französischen Dialog.
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Stendhal, ou l'incroyant qui voulait croire / Stendhal, or the Unbeliever Who Wanted to Believe
In: Asdiwal: revue genevoise d'anthropologie et d'histoire des religions, Band 14, Heft 1, S. 145-169
Quelle image a-t-on de Stendhal ? Bien souvent celle d'un homme à l'anticléricalisme et à l'athéisme flamboyants. Cette réputation du reste est grandement justifiée : enfant sous la Révolution, puis romancier et essayiste sous la Restauration et la monarchie de Juillet, Stendhal n'a cessé de proclamer son incroyance et, parallèlement, de mener un combat acharné contre les professionnels de la croyance. Le roman stendhalien, roman violemment anticlérical, est ainsi peuplé de jésuites manipulateurs et de dévotes malfaisantes ayant pour objectif de s'emparer du pouvoir et de contrôler la société en soutenant de toutes leurs forces la nouvelle union du Trône et de l'Autel, de la monarchie et du catholicisme. Il est alors peu étonnant de constater que les héros de Stendhal sont très fréquemment des ennemis de la religion, qui entendent miner cette dernière, tantôt dissimulés sous le masque de Tartuffe, tantôt à visage découvert, dévoilant explicitement leur athéisme. Les enjeux de la croyance stendhalienne sont pourtant plus complexes qu'il n'y paraît au premier abord : touché depuis toujours par la beauté des cérémonies catholiques, Stendhal attribue sa propre sensibilité esthétique à ses personnages de roman, tout particulièrement à ses personnages italiens, en véritable amoureux de l'Italie. Il fait aussi de certains d'entre eux de profonds et de sincères croyants, et croit lui-même en l'existence de prêtres absolument pieux et réellement bons. Enfin, dans la lignée de Chateaubriand, Stendhal ne conçoit pas l'épanouissement de la passion amoureuse sans celui de la foi : dans ses fictions, les vrais amoureux sont aussi croyants. En définitive, Stendhal n'était-il pas un incroyant qui rêvait de croire ?
Stendhal-Lampedusa: écrire l'entre-deux
International audience ; A la mémoire heureuse de Philippe Chardin Stendhal-Lampedusa : Ecrire l'entre-deux Il y a presque 50 ans, Aragon était le premier écrivain de renommée internationale à voir en Lampedusa un grand romancier, et dans Le Guépard, un chef-d'oeuvre. Peut-on imaginer la provocation, sacrer ainsi une bluette posthume mal ficelée, à peine sortie en librairie ? Un livre doublement réactionnaire, qui plus est : en plein débat sur le nouveau roman, l'auteur recourt à une narration traditionnelle, et, au moment où l'Italie fête le centenaire de son unité, il en raconte l'histoire comme un bête marché de dupes, une simple transaction entre puissants, au-dessus des illusions des idéalistes. Bien entendu, on peut voir dans le sacre de Lampedusa une rouerie politique de la part du poète, en plein débat sur les errements du stalinisme. Mais Aragon n'en reste pas à un cri du coeur, sa louange du Guépard court sur deux longs articles publiés dans les Lettres françaises. Le premier, paru en décembre 1959 et intitulé « Un grand fauve se lève sur la littérature : Le Guépard », présente le roman comme un chef-d'oeuvre pouvant se dispenser de participer à la littérature engagée parce que sa valeur en fait une oeuvre « dégagée » et singulière, trônant au-dessus de la littérature qui l'entoure : « Le Guépard est un peu plus qu'un très beau livre, c'est un des grands romans de ce siècle, un des grands romans de toujours et peut-être (comme on pourrait le dire pour le roman français d'un roman de Stendhal aux clameurs des balzaciens, pour le roman russe d'un roman de Tolstoï à la fureur des dostoïevskiens) le seul roman italien. » Dans son deuxième article, Aragon développe le parallèle entre les deux romanciers, qui dépasse la simple analogie de position dans le « champs » : c'est en ressemblant à son maître que l'auteur italien est lui aussi unique. Il y a là une contradiction-comment une recette de singularité pourrait-elle opérer pour un autre ?-que résoudra peut-être le rapprochement entre les romanciers. ...
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Stendhal-Lampedusa: écrire l'entre-deux
International audience ; A la mémoire heureuse de Philippe Chardin Stendhal-Lampedusa : Ecrire l'entre-deux Il y a presque 50 ans, Aragon était le premier écrivain de renommée internationale à voir en Lampedusa un grand romancier, et dans Le Guépard, un chef-d'oeuvre. Peut-on imaginer la provocation, sacrer ainsi une bluette posthume mal ficelée, à peine sortie en librairie ? Un livre doublement réactionnaire, qui plus est : en plein débat sur le nouveau roman, l'auteur recourt à une narration traditionnelle, et, au moment où l'Italie fête le centenaire de son unité, il en raconte l'histoire comme un bête marché de dupes, une simple transaction entre puissants, au-dessus des illusions des idéalistes. Bien entendu, on peut voir dans le sacre de Lampedusa une rouerie politique de la part du poète, en plein débat sur les errements du stalinisme. Mais Aragon n'en reste pas à un cri du coeur, sa louange du Guépard court sur deux longs articles publiés dans les Lettres françaises. Le premier, paru en décembre 1959 et intitulé « Un grand fauve se lève sur la littérature : Le Guépard », présente le roman comme un chef-d'oeuvre pouvant se dispenser de participer à la littérature engagée parce que sa valeur en fait une oeuvre « dégagée » et singulière, trônant au-dessus de la littérature qui l'entoure : « Le Guépard est un peu plus qu'un très beau livre, c'est un des grands romans de ce siècle, un des grands romans de toujours et peut-être (comme on pourrait le dire pour le roman français d'un roman de Stendhal aux clameurs des balzaciens, pour le roman russe d'un roman de Tolstoï à la fureur des dostoïevskiens) le seul roman italien. » Dans son deuxième article, Aragon développe le parallèle entre les deux romanciers, qui dépasse la simple analogie de position dans le « champs » : c'est en ressemblant à son maître que l'auteur italien est lui aussi unique. Il y a là une contradiction-comment une recette de singularité pourrait-elle opérer pour un autre ?-que résoudra peut-être le rapprochement entre les romanciers. ...
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Stendhal lecteur de Saint-Simon
In: Cahiers Saint Simon, Band 26, Heft 1, S. 5-10
Book Review: Francesco Manzini: Stendhal
In: Journal of European studies, Band 50, Heft 2, S. 221-222
ISSN: 1740-2379
Reading, Marks, Love: Rousseau, Stendhal, Baudelaire
In: The Oxford literary review: OLR ; critical analyses of literary, philosophical political and psychoanalytic theory, Band 33, Heft 1, S. 45-63
ISSN: 1757-1634
This essay explores reading's impact on love as figured in encounters between a lover and a pockmarked beloved in Rousseau (Confessions and Julie: ou la Nouvelle Héloïse), Stendhal (De l'amour) and Baudelaire ('Choix de maximes consolantes sur l'amour'). The marks (of pox, of love, of reading) addressed in and between these texts demonstrate that there is no position from which reading can be controlled. Further, we find that there is no subject who can foreclose love's (re-)readings and no mark that can stand outside of reading's context.