Themen der Politischen Philosophie
In: Politische Philosophie, S. 1-9
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In: Politische Philosophie, S. 1-9
In: Politische Theorie: Differenz und Lebensqualität, S. 9-53
Wie muß der Begriff "Staatsbürger" reformuliert werden, um eine volle Teilnahme von Frauen an der öffentlichen Meinungsbildung und den Entscheidungsprozesses des Gemeinwesens sicherzustellen? Diese und ähnliche Fragen erfuhren im internationalen Vergleich eine unterschiedliche Gewichtung. In den angelsächsischen Ländern bildeten sie seit Beginn des aktuellen feministischen Diskurses in den 1960er Jahren einen Forschungsschwerpunkt, im deutschsprachigen Raum wurden sie eher vernachlässigt. Die Autorin skizziert theoretische Hintergründe der angelsächsischen Diskussion, die der Sammelband abbildet. Sie geht ein auf Strukturen von Macht und Unterdrückung. Um Strategien der Befreiung entwickeln zu können, müssen die Bedingungen der Unterdrückung untersucht werden. Sie skizziert im Überblick aktuelle Debatten zu feministischer politischer Theorie und Rechtsphilosophie und erläutert Positionen von Differenz und Gleichheit: häufig werde die These vertreten, es sei erforderlich den Begriff "Gerechtigkeit" neu zu definieren. Die mit der poststrukturalistischen Kategorie "Differenz" arbeitenden feministischen Theorie sehen meist im Prinzip "Gleichheit" einen Ursprung von Ungerechtigkeit und votieren daher für eine alternative Bestimmung von Gerechtigkeit. Ausführungen zum Verhältnis von Staatsbürgertum, Autonomie und Demokratie schließen den Beitrag ab. (rk)
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Band 21, Heft 1, S. 21
ISSN: 1950-6708
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Heft 1, S. 21-27
ISSN: 1291-1941
In the course of their modern emergence, the historical states of Europe established a law of nations, or jus gentium, regulating recourse to war & the dispositions of peace. Usually presented as resulting from the good will of sovereign states, the law of nations is in fact an outgrowth of the colonial conquest of empires. Empire-building involved the subjection and, in some cases, extermination of the native peoples giving rise to a doctrine known as "aboriginism," which in turn established the categories upon which jus gentium is based. Adapted from the source document.
Jankélévitchs Erste Philosophie kreist um den Augenblick, den >instantAugenblick< zu erfassen bzw. seine Unfasslichkeit nachzuweisen. Damit steckt er jenen Bereich der Philosophie neu ab, der nicht von der Epistemologie erreicht wird. Da Jankélévitch im Unterschied zu den Strukturalisten sich nicht in erster Linie um eine Verräumlichung des Augenblicks bemüht, ist sein Unternehmen ganz in die zeitliche Struktur der Wahrnehmung und des Denkens eingelassen. Jankélévitch entwickelt Denkansätze bis zu ihren letzten Konsequenzen und wägt sie gegeneinander ab. Ein faszinierendes Buch, das die Welt der Antike und der Gnosis neu entdecken lässt, denn eine der Hauptquellen sind Plotins Enneaden
In: Vernunft oder Macht?: zum Verhältnis von Philosophie und Politik, S. 83-93
Die Autorin diskutiert Immanuel Kants Stellung zum Verhältnis von Philosophie und politischer Macht, wobei sie andere Wege einschlägt als die Kritiker in der Tradition von Karl Marx, Friedrich Nietzsche oder Michel Foucault. Denn die Plausibilität einer kritischen Rezeption hängt einerseits immer von dem jeweiligen Erkenntnisinteresse und Interpretationsmuster ab. Andererseits muss aber auch der Behauptung Kants widersprochen werden, dass der Machtverzicht der Philosophie diese vor systematischen Verzerrungen durch partikulare Interessen bewahrt. Um zu verdeutlichen, dass Kants Position deshalb einer Ergänzung bedarf, geht die Autorin werkimmanent vor und zeigt am Beispiel seiner Positionen zu Geschlecht und Rasse, dass die Philosophie selbst unter einer systematisch verzerrten Perspektive arbeitet. Denn Kant war weitgehend blind für die Machtaspekte, die mit der eigenen Position des Philosophen verbunden sind, das heißt für die Frage, wie die Macht bzw. der Mangel an Macht des Philosophen das eigene philosophische Denken beeinflusst. Die Anerkennung dieses Sachverhalts führt nach Ansicht der Autorin zu einer anderen Bewertung des Verhältnisses von Politik und Philosophie und zu Abweichungen von vielen zeitgenössischen Sozialtheoretikern, die in der Kantschen Tradition stehen. (ICI2)
In: Der Weg der europäischen Philosophie 1
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
BASE
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
BASE
In: Geschichte der Philosophie
In: Die Philosophie der Neuzeit 3, Teil 1
In der vierzehnbändigen Geschichte der Philosophie stellen namhafte Philosophiehistoriker die Entwicklung des abendländischen Denkens durch alle Epochen bis zur Gegenwart einführend und allgemeinverständlich dar.
In: Handbuch deutscher Rechtsextremismus, S. 823-836
Kennzeichnend für das politische System sind heute die relativ geringen politisch-programmatischen Unterschiede zwischen den Bonner Alt-Parteien, das Abschmelzen ihrer jeweiligen Stammwählerschaften und - darauf folgend - der Kampf um eine wachsende Zahl von Wechselwählern. Diese Konstellation bietet rein theoretisch auch die Möglichkeit einer differenzierteren Auseinandersetzung um politische Konzepte; praktisch ist jedoch das Gegenteil der Fall: Der Populismus triumphiert. Daß dieser Populismus vor allem klassisch rechte bis rechtsextreme Denkmuster und Ressentiments bedient, hat in Deutschland Tradition, ist aber nicht auf Deutschland beschränkt. Die Erfolge hiesiger rechtspopulistischer Parteien, also der Republikaner und zeitweise der Deutschen Volksunion, sind bisher insgesamt geringer geblieben, als zu Beginn der 90er Jahre erwartet bzw. befürchtet wurde - auch im Vergleich zu österreichischen oder französischen Verhältnissen. (ICE)
In: Berliner Debatte Initial: sozial- und geisteswissenschaftliches Journal, Heft 1-2, S. 226-242
ISSN: 0863-4564
In: Philosophieunterricht in Nordrhein-Westfalen Nr. 41