La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours
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Ces dernières années, les percées électorales et politiques de partis comme Syriza en Grèce, Podemos en Espagne ou encore Die Linke en Allemagne ont braqué les projecteurs sur le paysage de la gauche radicale en Europe. Ou plutôt des gauches radicales: des projets et des formations aux ambitions et aux profils très divers coexistent en effet dans ce spectre politique désormais très diversifié. 00Pascal Delwit brosse une fresque impressionnante de l?histoire et des comportements des partis de la gauche radicale des débuts de l?industrialisation à nos jours. Il propose un schéma interprétatif des bouleversements de cette famille politique qui se répartit aujourd?hui en trois courants principaux
In: Science politique
À l'instar des formations politiques européennes, les partis politiques français sont confrontés à plusieurs défis et soumis à nombre de tensions à l'aube de ce XXIe siècle, alors même que leur attractivité n'a jamais semblé aussi faible.Longtemps dominée par un agencement autour du Rassemblement pour la République (RPR) et de l'Union pour la démocratie française (UDF) à droite, et du parti socialiste (PS) et du parti communiste français (PCF) à gauche, le système de partis a lui-même considérablement évolué sous l'effet de la recomposition de la droite parlementaire, de l'effondrement du parti communiste ou de la percée de nouveaux venus, tels le Front national ou Les Verts. Après la séquence des élections présidentielles et législatives de 2012, cet ouvrage analyse en profondeur l'état de chacun des partis actifs dans le système politique. Comment chacun d'entre eux se positionne-t-il au regard des transformations du fait partisan ? Comment les partis interprètent-ils les mutations auxquelles ils font face ? Comment agissent-ils face à la désaffection qu'ils subissent ? Quelles évolutions idéologiques et organisationnelles connaissent-ils ? Ces questions sont examinées dans ce livre de référence. Les auteurs présentent un tableau d'ensemble original, offrant de manière systématique une analyse des partis à l'œuvre dans le système politique français ; laquelle est complétée par une réflexion sur les grandes transformations de la géographie électorale.
In: Science politique
L'élection présidentielle du 22 avril 2007 et le scrutin législatif qui l'a suivie ont été une terrible désillusion pour Jean-Marie Le Pen et le Front national (FN). Après avoir dominé l'agenda politique et médiatique durant les années quatre-vingt-dix et créé une secousse inédite dans le système politique lors des élections présidentielles de 2002, le FN était ramené à une expression électorale et un poids politique extrêmement modestes. Ce résultat, en phase avec le mouvement de déclin observé dans les années 2000, est confirmé au scrutin municipal de 2008 où l'extrême droite française est évanescente. D'aucuns évoquent alors la fin sans gloire de Jean-Marie Le Pen et de son parti. À la veille des élections présidentielles et législatives de 2012, la présentation et le regard sont pourtant tout autres. En janvier 2011, Marine Le Pen a « hérité » de la présidence du parti ; trente-neuf ans après l'accession de son père à cette même présidence. Le Front national a opéré une percée aux élections cantonales du printemps 2011 et les enquêtes d'opinion créditent Marine Le Pen de scores oscillant entre 15 et 20% des intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle. Après le pain noir, le pain blanc ? Les choses sont indubitablement plus nuancées. Dans un environnement européen où l'extrême droite a (re)trouvé des couleurs dans certains États, une nouvelle analyse approfondie du phénomène frontiste s'imposait, tant il est vrai que le déclin politico-électoral de la deuxième moitié des années 2000 avait asséché les recherches consacrées au Front national. L'ouvrage, qui rassemble des contributions de spécialistes réputés de l'extrême droite française, retrace et analyse tour à tour l'histoire du Front national, les rapports du FN à l'extrême droite européenne, le modèle organisationnel et militant du parti, ses axes idéologiques et programmatiques, de même que son implantation électorale et la question des alliances politico-électorales. Enfin, trois zones de force du Front national, dissemblables dans leur profil, sont très finement observées : le Nord-Pas-de-Calais, l'Alsace et Provence-Alpes-Côte d'Azur.
In: Villes et entreprises
In: Sociologie politique
In: Sociologie politique
Depuis près de trente ans, les fédérations européennes de partis font partie du paysage politique européen. Les premières élections du Parlement européen au suffrage universel direct (1979) avaient stimulé les recherches sur les groupements partisans transnationaux qui s'étaient formés dans cette perspective. Mais l'enthousiasme scientifique céda vite la place à l'oubli et il fallut attendre l'accélération de l'intégration européenne suite à l'Acte unique (1988) et au traité de Maastricht (1993) pour que la science politique s'y intéresse à nouveau. Au terme de la conférence intergouvernementale 2000 révisant l'article 138 A du traité sur l'Union européenne pour lui substituer l'article 191 du traité de Nice, il était nécessaire de faire le point sur la place des fédérations de partis dans l'Union européenne. Les auteurs du présent ouvrage les analysent sur les plans historique, politique et organisationnel. Ils mettent en évidence leur contribution à l'édification d'un système politique supranational en devenir. La première partie du livre est consacrée aux controverses et aux débats : il y est question, entre autres, des approches théoriques possibles, des contraintes institutionnelles qui pèsent sur le développement des fédérations européennes de partis et des conditions et modalités d'une reconnaissance éventuelle. Dans la deuxième partie, les auteurs analysent l'organisation des cinq structures partisanes constituées à ce jour : le parti des socialistes européens, le parti populaire européen, le parti européen des libéraux, démocrates et réformateurs, la Fédération européenne des partis verts, le parti démocratique des peuples d'Europe/Alliance libre européenne. Enfin, la dernière partie s'attache à l'influence de ces fédérations sur le processus de décision, sur les facteurs qui la conditionnent, sur la formation du consensus, sur le rôle des partis nationaux et les relations qu'elles entretiennent avec le Conseil européen, le Conseil des ministres, la Commission européenne et les groupes politiques au Parlement européen.
In: Études européennes
In: Frontiers in political science, Band 4
ISSN: 2673-3145
In a phase of political and electoral downturn of several radical left parties, the Labor Party of Belgium (PTB-PVDA) strikes the imagination due to its increasing influence. A party of Maoist origin, the PTB-PVDA has been undergoing organizational and communication change since the mid-2000's. In this article, we argue that these changes have created a very singular party. Going against prevailing partisan developments, the heart of the party remains the party-in-central-office. The party has quite a dynamic life between elections, seeks to recruit and recruits party members, trains and mobilizes its membership, borrowing from the paths of historical Belgian pillarization or the model of party of social integration. At the same time, the PTB-PVDA incorporates current partisan modifications: a strong personification, a great investment in social networks, a populist rhetoric, a redesigned communication and a focus on elections to be able to benefit from public party funding. This combination of old and new makes it one of a kind party in Europe and among the European Radical Left. However, this original organizational scheme raises the question of its fate: the aggregation of the various elements requires that it remains in the parliamentary opposition.
In a phase of political and electoral downturn of several radical left parties, the Labor Party of Belgium (PTB-PVDA) strikes the imagination due to its increasing influence. A party of Maoist origin, the PTB-PVDA has been undergoing organizational and communication change since the mid-2000's. In this article, we argue that these changes have created a very singular party. Going against prevailing partisan developments, the heart of the party remains the party-in-central-office. The party has quite a dynamic life between elections, seeks to recruit and recruits party members, trains and mobilizes its membership, borrowing from the paths of historical Belgian pillarization or the model of party of social integration. At the same time, the PTB-PVDA incorporates current partisan modifications: a strong personification, a great investment in social networks, a populist rhetoric, a redesigned communication and a focus on elections to be able to benefit from public party funding. This combination of old and new makes it one of a kind party in Europe and among the European Radical Left. However, this original organizational scheme raises the question of its fate: the aggregation of the various elements requires that it remains in the parliamentary opposition. ; info:eu-repo/semantics/published
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