Suchergebnisse

Volume entitled: Ten Years of Democratic South Africa. Transition Accomplished? edited by Aurelia Wa Kabwe-Segatti, Nicolas Péjout and Philippe Guillaume ; The return of Sarah Baartman's remains to South Africa in August 2002 has largely contributed to the reappearance of Khoesan identity claims and related issues. Illustrating the dynamics of identity crafting enabled by the end of apartheid, the new political consideration given to the Khoesan populations gives South Africa the opportunity to lay rather uncontentious historical foundations for the triple enterprise of reconciling the nation, establishing a collective memory and, in fi ne, hastening the building of a new nation. ; Le rapatriement des restes de Sarah Baartman vers l'Afrique du Sud en août 2002 a largement contribué à la réapparition des revendications identitaires Khoesan et de questions apparentées. Illustrant les dynamiques de bricolage identitaire rendues possibles par la fin de l'apartheid, le renouveau d'attention politique accordée aux populations Khoesan donne à l'Afrique du Sud une possibilité de creuser les fondements historiques consensuels d'une triple entreprise de réconciliation nationale, d'érection de la mémoire collective et, in fine, d'accélération de la construction nationale.

Volume entitled: Ten Years of Democratic South Africa. Transition Accomplished? edited by Aurelia Wa Kabwe-Segatti, Nicolas Péjout and Philippe Guillaume ; The return of Sarah Baartman's remains to South Africa in August 2002 has largely contributed to the reappearance of Khoesan identity claims and related issues. Illustrating the dynamics of identity crafting enabled by the end of apartheid, the new political consideration given to the Khoesan populations gives South Africa the opportunity to lay rather uncontentious historical foundations for the triple enterprise of reconciling the nation, establishing a collective memory and, in fi ne, hastening the building of a new nation. ; Le rapatriement des restes de Sarah Baartman vers l'Afrique du Sud en août 2002 a largement contribué à la réapparition des revendications identitaires Khoesan et de questions apparentées. Illustrant les dynamiques de bricolage identitaire rendues possibles par la fin de l'apartheid, le renouveau d'attention politique accordée aux populations Khoesan donne à l'Afrique du Sud une possibilité de creuser les fondements historiques consensuels d'une triple entreprise de réconciliation nationale, d'érection de la mémoire collective et, in fine, d'accélération de la construction nationale.

Der Beitrag würdigt die Bedeutung des 1986 verstorbenen senegalesischen Historikers und Wissenschaftlers Cheikh Anta Diop. In seinen Werken vertritt er u.a. die These, daß die altägyptische Kultur die erste schwarzafrikanische Hochkultur gewesen sei. Ein weiterer grundlegender Aspekt für seine Bedeutung ist die historisch-philosophische Dimension seines Denkens. Zum Zeitpunkt der Dekolonisation unterbreitete Diop u.a. seine panafrikanischen Visionen der Zukunft und der Vergangenheit. (DÜI-Ott)

Une histoire mondiale de l'Afrique, une histoire africaine du monde. Tel est le double pari de cet ouvrage ambitieux qui nous plonge dans la conversation que les sociétés du continent africain ont, au cours de l'histoire, toujours entretenue avec celles du reste du monde. Une conversation multimillénaire, depuis la dispersion des humains modernes jusqu'à nos jours, dont les auteurs et autrices nous invitent à écouter toutes les tonalités. Car cette histoire est faite de rapports de domination et de violences, de rejets et de révoltes, mais également d'interactions à toutes les échelles, de circulations de biens et d'idées, d'innovations et d'adaptations locales, de mutations globales. S'émancipant des monologues factices qui divisent le passé, ce livre propose une histoire polyphonique. Il s'appuie sur les recherches les plus actuelles et les plus poussées pour éclairer la manière dont les sociétés africaines ont toujours pris part au monde

L'histoire débute à la fin du XIXe siècle. Persuadés d'avoir retrouvé en Afrique la nature disparue en Europe, les colons créent les premiers parcs naturels du continent, du Congo jusqu'en Afrique du Sud. Puis, au lendemain des années 1960, les anciens administrateurs coloniaux se reconvertissent en experts internationaux. Il faudrait sauver l'Eden ! Mais cette Afrique n'existe pas. Il n'y a pas de vastes territoires vierges de présence humaine, et arpentés seulement par ces hordes d'animaux sauvages qui font le bonheur des safaris touristiques. Il y a des peuples, qui circulent depuis des millénaires, ont fait souche, sont devenus éleveurs ici ou cultivateurs là. Pourtant, ces hommes, ces femmes et enfants seront - et sont encore - expulsés par milliers des parcs naturels africains, où ils subissent aujourd'hui la violence quotidienne des éco-gardes soutenus par l'Unesco, le WWF et tant d'autres ONG. Convoquant archives inédites et récits de vie, ce livre met au jour les contradictions des pays développés qui détruisent chez eux la nature qu'ils croient protéger là-bas, prolongeant, avec une stupéfiante bonne conscience, le schème d'un nouveau genre de colonialisme : le colonialisme vert

Die Autoren untersuchen die Rolle des Islam bzw. islamisch geprägter Gruppen bei der Bekämpfung von Kriminalität in der Kap-Provinz Südafrikas. Insbesondere geht es um die - ihrerseits zunehmend radikale und gewaltbereite - Formation "People Against Gangsterism and Drugs" (PAGAD), die sich am staatlichen Gewaltmonopol vorbei ähnlich einer Bürgerwehr betätigt. (DÜI-Kör)