L'âge du bronze en Asie centrale: La civilisation de l'Oxus
In: Anthropology of the Middle East, Band 4, Heft 1
ISSN: 1746-0727
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In: Anthropology of the Middle East, Band 4, Heft 1
ISSN: 1746-0727
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 57, Heft 3, S. 625-663
ISSN: 1953-8146
RésuméL'article fait le point sur la question de l'origine de l'agriculture irriguée en Asie centrale au début du IIIe millénaire et de son développement jusqu'à l'époque achéménide d'après une documentation principalement archéologique, car les sources textuelles sont rares. Les informations tirées des fouilles et des prospections (vestiges de canaux anciens, sites d'habitat, artefacts) sont confrontées aux données paléo-environnementales pour évaluer l'importance des paramètres naturels et celle des facteurs économiques et sociaux dans l'émergence, à haute époque, de cultures archéologiques homogènes sur de vastes territoires. Ces cultures sont souvent prises comme des expressions matérielles de formations socio-politiques appelées «proto-étatiques». Cette notion de proto-État, ses implications socio-économiques, ainsi que la conception de l'Asie centrale comme périphérie d'empires moyen-orientaux font l'objet d'une discussion critique.
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
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L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
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L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
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