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Standard Forms for the issuing of documentary credits
In: International Chamber of Commerce, Brochure, [Drucksache] 268
The Greek minority in Albania: a documentary record (1921-1993)
In: Institute for Balkan Studies 258
Uniform customs and practice for documentary credits: (1962 revision)
In: International Chamber of Commerce, ... Brochure 222
The condition of women in France: 1945 to the present ; a documentary anthology
In: Twentieth century French texts
World Affairs Online
World Affairs Online
Documentary policy, a challenge in universities' strategies ; La politique documentaire, un enjeu dans les stratégies des universités
Universities' documentary policy is an issue that the Conference of University Presidents has addressed, in particular through the digital resource acquisition file and the open science dossier. The CPU is very involved in the national bodies of Couperin, Abes and the most recent Committee on Open Science. It has set up an Open Science Advisor and a network of Open Science Referents. ; La politique documentaire des universités est un sujet dont la Conférence des présidents d'université s'est emparée, en particulier par le biais du dossier des acquisitions de ressources numériques et de celui de la science ouverte. La CPU est très impliquée dans les instances nationales de Couperin, de l'Abes et du plus récent Comité de la science ouverte. Elle s'est dotée d'une conseillère science ouverte et un réseau des référents science ouvert …
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Renewal of documentary in Spain and Catalan new realism : the Master in Creative documentary of the Pompeu Fabra University (Barcelona) ; Renouveau du documentaire en Espagne et nouveau réalisme catalan : le Master en documentaire de création de l'Université Pompeu Fabra (Barcelone)
As in others European countries, at the end of the 9O's, documentary experiences a new boom in Spain. The Master in Creative documentary of the Pompeu Fabra University takes part to the renewal and is one the main originator. This training center, where a lot of movies are developed, is the origin of a new world of art and promotes the cooperation between producers, creators, technicians and cultural coordinators. In this thesis, we wanted to give an account of the process that considers both local scale (a University) and the global cultural panorama. In a country where "creative documentary" doesn't success in elaborating a tradition, we wanted to question the transmission between filmmakers of different generations in the UPF and, at the same time, the transmission of the concept of "creative documentary", between filmmakers, producers, programm planners. broadcasters and spectators. In these pages, we analyze movies of filmmakers as Jean-Louis Comolli, Joaquin Jorda, José Luis Guerin, lsaki Lacuesta, Ricardo Iscar, Mercedes Alvarez, Xavier Montanyà, Ariadna Pujol, Lupe Pérez and Marc Recha. ; Comme dans d'autres pays d'Europe, à la fin des années 90, le cinéma documentaire connaît en Espagne un essor singulier. Le Master en Documentaire de création de I'université Pompeu Fabra participe à ce renouveau et en est I'un des principaux initiateurs. Centre de formation où naissent de nombreux films, il est à l'origine d'un nouveau monde de I' art, favorisant les coopérations entre producteurs, créateurs, techniciens et animateurs culturels. Dans cette thèse, nous avons voulu rendre compte de cette dynamique qui s'inscrit à la fois à I' échelle locale (une Université) et dans un panorama culturel global. Dans un pays où le « documentaire de création » n'a pas su forger de tradition, il nous a paru intéressant d'interroger la transmission qui se met en place entre cinéastes de différentes générations au sein de I'UPF et. en même temps, la transmission d'un concept, celui du « documentaire de création », entre ...
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Renewal of documentary in Spain and Catalan new realism : the Master in Creative documentary of the Pompeu Fabra University (Barcelona) ; Renouveau du documentaire en Espagne et nouveau réalisme catalan : le Master en documentaire de création de l'Université Pompeu Fabra (Barcelone)
As in others European countries, at the end of the 9O's, documentary experiences a new boom in Spain. The Master in Creative documentary of the Pompeu Fabra University takes part to the renewal and is one the main originator. This training center, where a lot of movies are developed, is the origin of a new world of art and promotes the cooperation between producers, creators, technicians and cultural coordinators. In this thesis, we wanted to give an account of the process that considers both local scale (a University) and the global cultural panorama. In a country where "creative documentary" doesn't success in elaborating a tradition, we wanted to question the transmission between filmmakers of different generations in the UPF and, at the same time, the transmission of the concept of "creative documentary", between filmmakers, producers, programm planners. broadcasters and spectators. In these pages, we analyze movies of filmmakers as Jean-Louis Comolli, Joaquin Jorda, José Luis Guerin, lsaki Lacuesta, Ricardo Iscar, Mercedes Alvarez, Xavier Montanyà, Ariadna Pujol, Lupe Pérez and Marc Recha. ; Comme dans d'autres pays d'Europe, à la fin des années 90, le cinéma documentaire connaît en Espagne un essor singulier. Le Master en Documentaire de création de I'université Pompeu Fabra participe à ce renouveau et en est I'un des principaux initiateurs. Centre de formation où naissent de nombreux films, il est à l'origine d'un nouveau monde de I' art, favorisant les coopérations entre producteurs, créateurs, techniciens et animateurs culturels. Dans cette thèse, nous avons voulu rendre compte de cette dynamique qui s'inscrit à la fois à I' échelle locale (une Université) et dans un panorama culturel global. Dans un pays où le « documentaire de création » n'a pas su forger de tradition, il nous a paru intéressant d'interroger la transmission qui se met en place entre cinéastes de différentes générations au sein de I'UPF et. en même temps, la transmission d'un concept, celui du « documentaire de création », entre ...
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Qu'est-ce qu'un procès mémoriel authentique au cinéma ? La "banalité du mal" dans le courtroom documentary-drama
Sous la direction de Jean-Pierre Bertin-Maghit ; International audience ; Comment le cinéma se situe-t-il par rapport aux dispositifs judiciaires qui ont été mis en place, après 1945, pour examiner la culpabilité des « criminels bureaucratiques », ces exécutants du plan d'extermination nazi qui s'abritaient derrière le sens du devoir et le respect de la hiérarchie pour nier toute responsabilité personnelle ? Les techniques d'enregistrement des images mouvantes ont-elles pour seul but de constituer des archives, de nous transmettre la « mémoire » de tels procès ? Ou bien peuvent-elles aussi et surtout les « réécrire », permettre une approche spécifique de ces figures criminelles par la mise en scène et le montage, par la mise en forme d'un regard ? L'art cinématographique peut-il ainsi s'emparer de l'histoire pour nous amener à concevoir « au présent » un ensemble de questions sur l'obéissance, la responsabilité, l'impérieuse nécessité de la conscience individuelle ? Pour traiter ce problème, j'ai choisi de convoquer deux films : L'Authentique Procès de Carl-Emmanuel Jung de Marcel Hanoun (1967) et Un spécialiste de Rony Brauman et Eyal Sivan (1999). Fort différentes l'une de l'autre dans leur facture, ces oeuvres ont en commun d'être des films « de prétoire » au mode d'énonciation hybride, entre le documentaire et le cinéma de fiction ; d'où l'appellation de courtroom documentary-drama, que je propose en reprenant la catégorie du courtroom drama forgée dans le cinéma anglo-saxon pour désigner les fictions judiciaires. Dans ces deux films, à trente ans d'écart, l'enjeu principal est de dresser le portrait d'un bourreau ordinaire au service d'une machine d'extermination, et de contribuer, par les moyens du cinéma, à la compréhension du phénomène politique et historique qui produit des criminels de cette sorte. Avant de passer à l'analyse comparée des solutions formelles proposées par ces oeuvres, il sera nécessaire d'apporter quelques précisions sur le réglage proposé entre fiction et documentaire : au regard de ...
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Qu'est-ce qu'un procès mémoriel authentique au cinéma ? La "banalité du mal" dans le courtroom documentary-drama
Sous la direction de Jean-Pierre Bertin-Maghit ; International audience ; Comment le cinéma se situe-t-il par rapport aux dispositifs judiciaires qui ont été mis en place, après 1945, pour examiner la culpabilité des « criminels bureaucratiques », ces exécutants du plan d'extermination nazi qui s'abritaient derrière le sens du devoir et le respect de la hiérarchie pour nier toute responsabilité personnelle ? Les techniques d'enregistrement des images mouvantes ont-elles pour seul but de constituer des archives, de nous transmettre la « mémoire » de tels procès ? Ou bien peuvent-elles aussi et surtout les « réécrire », permettre une approche spécifique de ces figures criminelles par la mise en scène et le montage, par la mise en forme d'un regard ? L'art cinématographique peut-il ainsi s'emparer de l'histoire pour nous amener à concevoir « au présent » un ensemble de questions sur l'obéissance, la responsabilité, l'impérieuse nécessité de la conscience individuelle ? Pour traiter ce problème, j'ai choisi de convoquer deux films : L'Authentique Procès de Carl-Emmanuel Jung de Marcel Hanoun (1967) et Un spécialiste de Rony Brauman et Eyal Sivan (1999). Fort différentes l'une de l'autre dans leur facture, ces oeuvres ont en commun d'être des films « de prétoire » au mode d'énonciation hybride, entre le documentaire et le cinéma de fiction ; d'où l'appellation de courtroom documentary-drama, que je propose en reprenant la catégorie du courtroom drama forgée dans le cinéma anglo-saxon pour désigner les fictions judiciaires. Dans ces deux films, à trente ans d'écart, l'enjeu principal est de dresser le portrait d'un bourreau ordinaire au service d'une machine d'extermination, et de contribuer, par les moyens du cinéma, à la compréhension du phénomène politique et historique qui produit des criminels de cette sorte. Avant de passer à l'analyse comparée des solutions formelles proposées par ces oeuvres, il sera nécessaire d'apporter quelques précisions sur le réglage proposé entre fiction et documentaire : au regard de la « tradition » du film de procès, mais également des enjeux historiques et moraux de la représentation de la Shoah. Je commencerai toutefois par présenter brièvement les deux films dont il est question.
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Qu'est-ce qu'un procès mémoriel authentique au cinéma ? La "banalité du mal" dans le courtroom documentary-drama
Sous la direction de Jean-Pierre Bertin-Maghit ; International audience ; Comment le cinéma se situe-t-il par rapport aux dispositifs judiciaires qui ont été mis en place, après 1945, pour examiner la culpabilité des « criminels bureaucratiques », ces exécutants du plan d'extermination nazi qui s'abritaient derrière le sens du devoir et le respect de la hiérarchie pour nier toute responsabilité personnelle ? Les techniques d'enregistrement des images mouvantes ont-elles pour seul but de constituer des archives, de nous transmettre la « mémoire » de tels procès ? Ou bien peuvent-elles aussi et surtout les « réécrire », permettre une approche spécifique de ces figures criminelles par la mise en scène et le montage, par la mise en forme d'un regard ? L'art cinématographique peut-il ainsi s'emparer de l'histoire pour nous amener à concevoir « au présent » un ensemble de questions sur l'obéissance, la responsabilité, l'impérieuse nécessité de la conscience individuelle ? Pour traiter ce problème, j'ai choisi de convoquer deux films : L'Authentique Procès de Carl-Emmanuel Jung de Marcel Hanoun (1967) et Un spécialiste de Rony Brauman et Eyal Sivan (1999). Fort différentes l'une de l'autre dans leur facture, ces oeuvres ont en commun d'être des films « de prétoire » au mode d'énonciation hybride, entre le documentaire et le cinéma de fiction ; d'où l'appellation de courtroom documentary-drama, que je propose en reprenant la catégorie du courtroom drama forgée dans le cinéma anglo-saxon pour désigner les fictions judiciaires. Dans ces deux films, à trente ans d'écart, l'enjeu principal est de dresser le portrait d'un bourreau ordinaire au service d'une machine d'extermination, et de contribuer, par les moyens du cinéma, à la compréhension du phénomène politique et historique qui produit des criminels de cette sorte. Avant de passer à l'analyse comparée des solutions formelles proposées par ces oeuvres, il sera nécessaire d'apporter quelques précisions sur le réglage proposé entre fiction et documentaire : au regard de la « tradition » du film de procès, mais également des enjeux historiques et moraux de la représentation de la Shoah. Je commencerai toutefois par présenter brièvement les deux films dont il est question.
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Common fate, common future: a documentary history of monetary and financial cooperation in Europe, 1947 - 1974
The creation of the euro area in 1999 and the subsequent introduction of the euro as a common currency in 2002 were results of a long process of preparation that went back as far as 1947. On the basis of original documents stored in archives in several European countries, this book traces and explains the discussions in the formative years of both the ideas for a monetary union and of the European integration process as such. Its contents reveals that the basic issue to be resolved has remained the same over time: how to organize effective monetary cooperation between ultimately sovereign states. The result of an international cooperative effort of two research institutes, Huygens ING from the Netherlands and the Centre Virtuel de la Connaissance sur l'Europe from Luxembourg, this is the first book to appear on this topic that combines official documents with in-depth archival sources