Hormones
In: Neuroeconomics; Studies in Neuroscience, Psychology and Behavioral Economics, S. 463-480
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In: Neuroeconomics; Studies in Neuroscience, Psychology and Behavioral Economics, S. 463-480
In: Cahiers du genre, Band 34, Heft 1, S. 39-56
ISSN: 1968-3928
Résumé Les hormones sexuelles ont été inventées à la fin du XIX e siècle comme un élixir de vie d'origine masculine. Mais ce sont les effets thérapeutiques d'autres hormones qui validèrent aux yeux de la communauté scientifique l'existence de ces nouvelles molécules. Obéissant au modèle culturel dominant de l'existence de deux sexes bien distincts, les biologistes affirmèrent qu'il existait des hormones « masculines » agissant sur les organes considérés comme masculins, et des hormones « féminines » agissant sur les caractères « féminins ». Quand on s'aperçut que les hormones masculines pouvaient avoir des effets « féminisants » sur certains organes féminins et réciproquement, on préféra mettre en doute le sexe des sujets testés plutôt que de remettre en cause le modèle binaire des sexes. Ce n'est que vers les années 1980 que certaines féministes et minorités sexuelles remirent en question le modèle biologique binaire des sexes. La pilule contraceptive fut inventée comme un outil de « libération des femmes », mais aussi de régulation des taux de naissance destiné aux pays surpeuplés et pauvres. Des hormones sexuelles sont utilisées chez des sujets sains, comme les sportifs, pour améliorer leurs performances physiques. Les hormones furent donc inventées comme agents doubles, destinés à soigner des malades, mais aussi à transformer des sujets sains.
In: Hoppe-Seyler´s Zeitschrift für physiologische Chemie, Band 355, Heft 2, S. 1526-1534
In: The women's review of books, Band 17, Heft 7, S. 8
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 53, Heft 4-5, S. 775-793
ISSN: 1953-8146
Il est difficile aujourd'hui de concevoir un univers sans hormones. Il nous faut remonter le temps pour trouver des mondes auxquels elles soient inconnues. Imaginons un paisible dimanche après-midi, à la fin du 19e siècle. Des femmes sont en train de commenter les derniers événements marquants. Si nous pouvions surprendre leur conversation, nous aurions un aperçu détaillé, intime, de la manière dont elles affrontaient la vie de tous les jours. Peut-être aurions-nous la chance de saisir des confidences sur leurs grossesses, leurs accouchements. Nous ne saurons jamais quels mots précis elles employaient alors, mais une chose est sûre : elles ne parlaient pas d'hormones pour expliquer leur existence car le terme n'existait pas. Le concept d'hormone fut forgé en 1905 et ce n'est qu'une vingtaine d'années plus tard que l'industrie pharmaceutique se lança dans la production massive de ces substances. De nos jours, des millions de femmes suivent des traitements hormonaux et bien des gens se réfèrent au modèle hormonal pour expliquer la physiologie et le comportement féminins. Actuellement, des hormones comme les oestrogènes et la progestérone sont les médicaments les plus utilisés de toute l'histoire de la médecine (Wolffers et al., 1989).
In: Sexual Abuse: A Journal of Research and Treatment, Band 1, Heft 3, S. 443-454
In: Annals of sex research, Band 1, Heft 3, S. 443-454
In: Wasserwirtschaft, Wassertechnik: wwt ; Praxismagazin für Trink- und Abwassermanagement, Band 70, Heft 6, S. 33-33
ISSN: 1438-5716
In: The aging male: the official journal of the International Society for the Study of the Aging Male, Band 7, Heft 1, S. 50-52
ISSN: 1473-0790
In: University of Illinois Law Review Online, Forthcoming
SSRN
In: Man Is by Nature a Political Animal, S. 247-260
In: Swiss Medical Forum ‒ Schweizerisches Medizin-Forum, Band 4, Heft 38
ISSN: 1424-4020
In: Hoppe-Seyler´s Zeitschrift für physiologische Chemie, Band 227, Heft 1-4, S. 84-98