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ΠΡΟΠΑΓΑΝΔΑ ΚΑΙ ΑΠΕΛΕΥΘΕΡΩΣΗ. ΤΟ ΒΡΕΤΑΝΙΚΟ ΣΥΜΒΟΥΛΙΟ ΚΑΙ Ο ΕΛΛΗΝΟΣΟΒΙΕΤΙΚΟΣ ΣΥΝΔΕΣΜΟΣ ΣΤΗΝ ΑΘΗΝΑ ΣΤΙΣ ΠΑΡΑΜΟΝΕΣ ΤΟΥ ΕΜΦΥΛΙΟΥ ΠΟΛΕΜΟΥ (1945)
Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; The purpose of this paper is to examine the role of cultural propaganda in formulating and conducting foreign policy aiming at political supremacy and cultural penetration within the overall context of the ideological conflict between East and West during the Cold War era. Educational and cultural exchanges and other events of a nominali}'' nonpolitical nature are examined within their political context. In particular, the paper observes Anglo-Soviet relations over Greece. These relations turned increasingly hostile in mid-February 1945. Around that time a marked intensification of Soviet propaganda occurred. In July 1945, the Greek-Soviet League was established. It is interesting that, in response, the British Foreign Office concidered that the British Council in Athens should be reinforced and acquire a permanent representative. It was also decided to reopen the question of the Anglo-Greek Cultural Convention that was signed in 1940 but never ratified. This presentation seeks to examine the purpose of establishing these two cultural agencies, their staffing, the funding of their activities, the content of their cultural programmes, and the profile of their Greek supporters, both state officials and private individuals. How successful was the effort by the British Council and the Greek-Soviet League to promote their cultural programmes and what was the impact of these programmes on Greek public opinion? How did their cultural initiatives continue during the Greek Civil War? On the basis of the sources available, did each agency, and if so to what degree, enjoy the support of the country it represented? The comparative study of British and Soviet cultural propaganda in Greece will contribute to understanding the differences and similarities in the means used by each country to achieve its political ends in Greece.
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ΤΟ ΜΑΘΗΜΑ ΠΟΛΙΤΙΚΗΣ ΔΙΑΠΑΙΔΑΓΩΓΗΣΗΣ ΣΤΗ ΜΕΤΑΠΟΛΕΜΙΚΗ ΕΛΛΑΔΑ. Η «ΑΓΩΓΗ TOΥ ΠΟΛΙΤΟΥ»
Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer. ; Despina Karakatsani, La discipline de socialisation politique en Grèced'après-guerre: Γ ((Education du citoyenDans la cadre de cet article on essaie de dévoiler la manière dont lacrise idéologique et politique de la période post-guerre civile a été reflétéedans l'institution scolaire et en particulier dans la discipline principalede socialisation politique: l'éducation civique. Dans le climat anticommunistede cette époque l'école, un des principaux appareils idéologiquesde l'Etat, a été utilisée pour effacer toute idéologie communisteet pour promouvoir les valeurs de la Nation, de la Patrie, de l'Hellénismeet du Ghrisrianisme.Les différentes initiatives du pouvoir politique ainsi que des personnalitésdans le cadre de la politique éducative de la Grèce d'après-guerreafin de moraliser le citoyen et construire une citoyenneté conforme auxvaleurs de la civilisation greco-chrétienne font aussi objet de cet article.L'institutionnalisation de la discipline d'«Education du citoyen»dans l'enseignement primaire en 1957 a été dictée, d'après ceux qui ontfait cette proposition, par la nécessité de renforcer les liens entre le citoyenet le pouvoir politique après leur affaiblissement à cause de la propagandecommuniste. L'analyse des manuels de la forme principale d'éducationcivique de cette période prouve que les valeurs avancées étaient cellesde Nation-de Patrie, d'Hellénisme, de Famille et de Religion-Orthodoxie.L'éducation du citoyen exalte la beauté de la patrie grecque en larendant en même temps symbole de toute l'humanité, et impose auxfuturs citoyens comme devoirs l'amour de celle-là, l'obéissance par l'accomplissementdes devoirs militaires et le respect des monuments anciens.Une conception communautaire des différentes formes sociopolitiques estégalement adoptée qui reconnaît l'individu seulement en tant que membredes différentes équipes sociales et lui prescrit le devoir d'obéir aux normesde l'ensemble, ce qui signifie également l'anéantissement de ses droits, l'annulation de toute individualité, de toute forme de critique et decontestation.La autodiscipline en faveur de l'ordre et de l'harmonie sociale dansle cadre du «bon comportement», la charité, le travail et l'épargne constituentles caractéristiques d'un individu moral et civilisé, du citoyenidéal, que l'éducation civique et tout le système éducatif grec de cettepériode veut créer.
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ΕΡΜΗΝΕΥΤΙΚΕΣ ΠΡΟΣΕΓΓΙΣΕΙΣ ΤΗΣ ΦΙΛΑΝΘΡΩΠΙΑΣ. ΑΠΟ ΤΟΝ ΚΟΙΝΩΝΙΚΟ ΕΛΕΓΧΟ ΣΤΗΝ ΑΜΟΙΒΑΙΟΤΗΤΑ
Δεν παρατίθεται περίληψη στα ελληνικά. ; Vasso Théodorou, Approches interprétatives de la philanthropie. Du contrôle social à la réciprocité Cet article s'intéresse à suivre les déplacements théoriques de l'histoire sociale des trente dernières années en ce qui concerne l'interprétation du mouvement philanthropique. Dans une perspective comparative, on essaie de mettre en évidence les catégories analytiques utilisées au sein des traditions britannique, française et grecque, afin d'approcher les divers aspects de la pratique, les differentiations et les nuances qui s'inscrivent dans le contexte de l'évolution de chaque tradition intellectuelle. Puisque le phénomène de la philanthropie a été considéré comme un champ privilégié pour l'étude des relations sociales au cours du 19ème siècle, et surtout celle du processus d'insertion des couches inférieures aux valeurs bourgeoises pendant la période de l'industrialisation, la notion du contrôle social a présidé dans la plupart des travaux publiés dans les années '70 et '80. L'influence de M. Foucault a été évidente sur la tentative de compréhension du geste généreux dans le contexte de la normalisation des comportements des indigents jugés dangereux, tandis que la consolidation du capital social par le biais de la donation a trouvé un excellent champ d'investigation en sociologie. Dans ce cadre, on a tenté de faire le lien entre la participation philanthropique des milieux bourgeois et leur ascention au pouvoir politique, les rythmes d'accroissement des villes et la genèse des inquiétudes provenant des groupes marginaux, enfin les initiatives des femmes et leur émancipation. Or, l'enrichissement de la bibliographie tant française que britannique des années '90, et raffinement des outils analytiques empruntés aux autres sciences sociales, ont amené au réfléchissement sur les significations, la durée et le contenu de la pratique. D'ailleurs, la problématique des acteurs sociaux, militant pour la diminution du phénomène de l'exclusion sociale et l'émergence du mouvement volontariste actuel, ont sans doute influencé les tentatives interprétatives de l'action philanthropique du 19ème siècle, changeant leur orientation vers un contexte plus humanitaire. La contestation du contrôle social en tant que cadre d'interprétation exclusive de la philanthropie, a donné sa place à des approches qui prennent en considération le sens propre du mot: l'altruisme et la réciprocité. L'ouverture du dialogue à des outils théoriques des disciplines voisines, surtout ceux de la sociologie et de l'anthropologie, ont amené à la redéfinition du domaine de la philanthropie en tant que système de rapports matériels et culturels tenant en compte tant les structures intellectuelles de la période étudiée que les stratégies des acteurs sociaux.
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