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The revival of Muslim values and ideas in Central Asia is perceived primarily through the lens of security, both among local regimes and by the West. The focus on extreme forms of Islam, however, prevents a balanced assessment of the religious discourse itself and obscures the reasons for the growing attraction of Islam and its potential as a force for order in the post-Soviet states. This study explores the social and political background to the revival of Islamic discourses, networks and practices in Tajikistan since the end of the Soviet Union, identifying the central actors, and laying out the intellectual and social coordinates of the symbolic struggles they are involved in. The growing significance of Islam as a source of moral and practical guidance is associated with a differentiation and pluralisation of the landscape of actors and discourses. The interpretative monopoly of the Hanafite clergy, who cultivate a tradition of tolerance towards culture-specific ritual practice and secular lifeworlds, is now challenged by reformist and universalist doctrines that reject the pragmatic consensus of the religious establishment. The state responds by suppressing the influence of religion through increasingly pervasive surveillance, but this cannot prevent the dissemination of the unwanted teachings. Reversing the tide would demand pro-active investment in good religious education. (Autorenreferat)

Njegosh's works are the subject of many disputes arising in science and journalism in former Jugoslavija. The most important dispute in this regard is the image of Islam given by Njegosh in his works . All discussions related to this parts of works of Njegosh belong to the domain of politics . Politics, arising on the basis of religious motives. All of this belong to the young scientific discipline Politology of religion. Having this in mind, our work will use the subject and method of Politology of religion analyzing the image of Islam which Njegosh gave in his works . In that way it will be seen if the allegations that he have been islamophobe are true or not . ; Nјegoševa delo predmet je mnogih sporova nastalih u nauci i publicistici bivše Jugoslavije.Najvažniji spor u tom smislu jeste slika islama koju je Nјegoš prikazo u svojim delima. Sve rasprave koje se tiču ovog dela Nјegoševog stvaralaštva spadaju u domen politike. Politike koja nastaje na osnovu verskih pobuda. Sve to spada u polјe mlade naučne discipline Politikologije religije. S obzirom na to u ovom radu će se, polazeći od predmeta i metoda Politikologije religije, analizirati slika islama koju Nјegoš daje u svom delu. Tako će se videti lo da li su optužbe da je bio islamofob tačne ili ne.

The book discusses Everyday life and practices in the Islamic sub-culture of Sudan; Islam in South Africa; Islamic associations and the Islamist press in Senegal; Conversion to Islam in 19th century Tanzania; Islam, charismatic preachers in colonial Casamance; German colonial policies towards Muslim communities in German East Africa; The spread of Islam in Adamawa; Islamic higher education in West Africa; The graduates of the Islamic Universities in Benin.

International audience ; A moins d'adopter un point de vue substantialiste et culturaliste, il est impossible de parler en toute généralité de « justice en islam » ou de « conception islamique de la justice ». Il faut en effet constater que les théories, les dogmes et les catégories qu'ils instituent sont nuancés, voire divergents, et qu'ils n'ont cessé d'évoluer. Au-delà du discours religieux, il faut aussi prendre la mesure de ce que la justice est une pratique dont la réalité historique échappe le plus souvent à tout cadre rigide. On distinguera ainsi la question de la justice dans la production discursive, les catégories doctrinales dans lesquelles s'inscrivent ce que l'on fait aujourd'hui relever du domaine pénal, la justice comme pratique propre à des institutions, entre autres judiciaires, et la justice internationale contemporaine quand elle est confrontée à des conflits dont tout ou partie des protagonistes se revendiquent d'une conception plus ou moins radicale de l'islam. Justice et normes pénales comme thèmes de la prédication coranique et de la tradition prophétique

Der Bericht beinhaltet die Diskussionen und Ergebnisse des Workshops 'Öffentliche Bereiche, öffentlicher Islam und Modernitäten', der im Oktober 2002 an der Universität Bielefeld stattfindet. Das Ziel des Austausches ist die Auflösung der klassischen Dichotomie von Tradition und Modernität im Kontext der Religion und hier insbesondere des Islams, der regelmäßig mit Tradition und prä-modernem Leben in Verbindung gebracht wird. Statt dessen gilt es, die wachsende Bedeutung religiöser Organisationen als Akteure im öffentlichen Bereich in Bezug zu den inneren Dynamiken der Globalisierung und somit der Modernität anzusehen. Die Präsentationen der Teilnehmer basieren auf empirischen Feldforschungen in muslimischen Gesellschaften und werfen Fragen über die spezifische Konstitution des öffentlichen Bereiches im Rahmen der Bedeutung politischer Religion in einer globalisierten Welt auf. Methodologische Aspekte wie die vergleichende Soziologie und theoretische Fragen nach den klassischen Konzepten des öffentlichen Bereichs bzw. des sozialen Raums werden hierbei aus einem kritischen post-kolonialen Blickwinkel diskutiert. Auf diese Weise finden auch die historischen Bedingungen des Prozesses der Wissensproduktion, die diesen Konzepten zugrunde liegen, Berücksichtigung. Dem gemäß gliedern sich die Ausführungen in die folgenden Themen: (1) die gegenwärtigen Debatten in der Entwicklungssoziologie zu den Untersuchungsgegenständen öffentlicher Bereich, Zivilgesellschaft und Gender, (2) die Konstruktion des sozialen Raumes seitens der Frauen im Sudan, (3) öffentliche Bereiche in muslimischen Gesellschaften, (4) der Islam und transnationale Migration sowie (5) die islamische Translokalität in Eurasien. (ICG2)

International audience ; L'islam occupe une place croissante dans notre vocabulaire. Des populations auparavant désignées par des catégories nationales, socio-économiques ou légales (Algériens, Maghrébins, travailleurs immigrés, étrangers) sont désormais souvent renvoyées à leur appartenance religieuse réelle ou supposée : on parle de plus en plus de « musulmans ». Cette centralité discursive de l'islam est le fruit de plusieursévolutions. Une partie de ces populations, en particulier leurs enfants et petits-enfants nés et socialisés en France, investit de plus en plus le référent religieux comme catégorie positive d'identification. Par ailleurs, à la faveur des paniques morales autour de l'islam qui rythment l'actualité depuis les années 1980, ces personnes sont de plus en plus interpellées en tant que musulmanes et tenues responsables des actes et propos des autres musulmans à l'échelle mondiale. Les chercheurs en sciences sociales ne sont pas étrangers à ces processus : ils y contribuent à travers la production de connaissances sur les « musulmans ». Longtemps parent pauvre des sciences sociales françaises, l'islam s'impose aujourd'hui comme un objet de recherche incontournable. Cette nécessaire prise en compte du religieux présente toutefois un risque, que le sociologue américain Rogers Brubaker nomme « islamisme méthodologique » : faire de l'islam l'unique matrice explicative des comportementsdes personnes identifiées comme musulmanes, au détriment d'autres facteurs (classe sociale, ancrage résidentiel, histoire migratoire, contexte politique, etc.).

International audience ; L'islam occupe une place croissante dans notre vocabulaire. Des populations auparavant désignées par des catégories nationales, socio-économiques ou légales (Algériens, Maghrébins, travailleurs immigrés, étrangers) sont désormais souvent renvoyées à leur appartenance religieuse réelle ou supposée : on parle de plus en plus de « musulmans ». Cette centralité discursive de l'islam est le fruit de plusieursévolutions. Une partie de ces populations, en particulier leurs enfants et petits-enfants nés et socialisés en France, investit de plus en plus le référent religieux comme catégorie positive d'identification. Par ailleurs, à la faveur des paniques morales autour de l'islam qui rythment l'actualité depuis les années 1980, ces personnes sont de plus en plus interpellées en tant que musulmanes et tenues responsables des actes et propos des autres musulmans à l'échelle mondiale. Les chercheurs en sciences sociales ne sont pas étrangers à ces processus : ils y contribuent à travers la production de connaissances sur les « musulmans ». Longtemps parent pauvre des sciences sociales françaises, l'islam s'impose aujourd'hui comme un objet de recherche incontournable. Cette nécessaire prise en compte du religieux présente toutefois un risque, que le sociologue américain Rogers Brubaker nomme « islamisme méthodologique » : faire de l'islam l'unique matrice explicative des comportementsdes personnes identifiées comme musulmanes, au détriment d'autres facteurs (classe sociale, ancrage résidentiel, histoire migratoire, contexte politique, etc.).