La démocratie
In: http://hdl.handle.net/2027/ucm.5320547188
Antep. ; Suivie du texte des jugements rendus en France contre l'ouvrage. ; Mode of access: Internet.
In: http://hdl.handle.net/2027/ucm.5320547188
Antep. ; Suivie du texte des jugements rendus en France contre l'ouvrage. ; Mode of access: Internet.
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Membre du jury présent : Jean Donio, David Naccache, Bernard Denis-Laroque, Alain Germain-Thomas. Ce mémoire n'aurait jamais vu le jour sans la soutien pédagogique de Stéphane Cottin, Guy Prunier, Daniel Braytman et Noëlle Lenoir. La version de ce document a été réalisée avec la collaboration de Jean-Eric Schoettl. ; Une analyse critique de la démocratie participative à l'ère des TIC à travers deux concepts : l'e-démocratie et l'e-gouvernement. L'exploitation de l'information et ses sources sont analysées dans une perspective de participation du citoyen aux processus décisionnels politiques. L'évolution de la gourvernance, notamment via le vote électronique, est abordée. Enfin, une terminologie qualifiant les différentes relations et leurs conséquences est proposée, permettant ainsi de clarifier les différents concepts de "l'état électronique".
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In: http://hdl.handle.net/20.500.11794/24730
La démocratie est liée au temps de manière tout à fait particulière, car elle évolue d'une génération à l'autre et doit donc être sans cesse redéfinie. Elle est niée en même temps que créée. C'est la raison pour laquelle le fait de s'intéresser au passé est une manière de mieux comprendre ce qu'est la démocratie aujourd'hui. Or, si nous voulons savoir à quoi elle correspond, on doit chercher à comprendre ce qu'est le sens véritable de la démocratie dans son idéal. Ainsi, prenons pour exemple la liberté. La démocratie doit apporter la liberté à la communauté à laquelle elle appartient, sans quoi il ne s'agit plus d'une démocratie, mais d'une représentation erronée de celle-ci. Par ailleurs, cette forme de liberté au sein de la démocratie ne peut être complète, car elle est toujours créée au travers de ses limites. De nos jours, elle semble inexistante ou désabusée, comme s'il n'y avait plus de lieu pour discuter de cet idéal, d'un lieu commun à tous, c'est-à-dire d'un endroit où l'on se sent chez soi, comme si l'on ne faisait qu'un avec la culture intellectuelle dans l'espace public. Pis encore, faut-il avoir le temps et le désir de discuter de l'idéal de vie que l'on recherche en tant que société. La démocratie répond-elle toujours à nos besoins intellectuels et moraux? Doit-on rechercher autre chose que la démocratie pour répondre à ces besoins? La démocratie doit être représentative du lieu d'où l'on vient et donner une orientation que la société dans laquelle on vit doit prendre, pour être proche de ses valeurs intellectuelles et morales. Cette démocratie doit vivre dans l'espace civique qui existe et qui doit continuer d'être pour que les générations actuelles et à venir la ressentent comme un parent attentionné et soucieux du futur de ses enfants, car il s'agit de son avenir à elle aussi. Ce lieu a pour but de susciter des réflexions telles que celles qui ont forgé notre passé jusqu'à l'avènement des démocraties libérales modernes et à partir desquelles l'on doit chercher à comprendre avec prudence, quel modèle démocratique répond le mieux à nos besoins intellectuels et moraux actuels, afin d'être bien préparé quant à son avenir. Sans contredit, la démocratie, quelle que soit son époque, est limitée par des événements qui la dépassent sans que l'on puisse pour autant cerner les difficultés à venir afin de les repenser, même si elle ne contrôle point la vie de l'homme en général, car les limites de la démocratie sont toujours en évolution, comme l'est la condition humaine. Les idées politiques changent et évoluent d'une génération à l'autre. Enfin, il semble curieux de vouloir comparer les limites de la démocratie grecque avec la nôtre, mais le fait de s'interroger sur le sens et la valeur du mot démocratie limite l'usure de cet idéal si souvent employé, à tort ou à raison. Le but de cette étude sera modeste, puisqu'il cherchera à réintroduire cette idée à l'aide de l'étude des mouvements de la pensée politique du Ve siècle sous différentes perspectives politiques telles que celles de Platon, d'Aristote et des sophistes. L'objectif est donc de redécouvrir certains aspects des limites de la démocratie antique, afin de mieux s'interroger sur la nôtre, car elles sont à l'origine de nos problèmes humains actuels. Le propos de notre thèse est donc de démontrer que l'étude des limites morales et intellectuelles de la démocratie directe, en lien avec l'histoire de la philosophie politique, permet de réactualiser quelques difficultés théoriques et pratiques irrésolues des démocraties actuelles et à venir. Il faut d'abord comprendre d'où l'on vient si l'on veut saisir le sens réel dans la manière de choisir la direction idéale à prendre dans la recherche du bien commun. Mots-clés : Platon ; Aristote ; Protagoras ; philosophie politique ; démocratie ; antiquité
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Includes bibliographical references and index. ; Le dilemme de Marc Sangnier -- La politique religieuse -- L'Action française et la religion catholique. ; Mode of access: Internet.
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Les élections sont une composante importante de la démocratie politique et elles sont analysées avec beaucoup de soin. Pourtant, les élections et les processus électoraux sont critiqués et certains se demandent si cette démocratie reflète bien la diversité et la quantité d'opinions en politique publique. Dans le treizième chapitre, Vincent Jacquet, Benjamin Biard, Didier Caluwaerts et Min Reuchamps ont analysé les opinions des électeurs à ce sujet. Ils analysent les préférences pour plusieurs alternatives, comme la démocratie délibérative ou la technocratie. Les personnes les plus éduquées, et qui ont le plus de confiance dans la politique, sont plus à même de défendre la démocratie représentative. Les groupes sociaux les moins avantagés, qui sont sceptiques par rapport à la capacité du système à répondre aux besoins, sont ceux qui revendiquent du changement sans en préciser la direction, soit vers une démocratie délibérative soit vers une démocratie technocratique. Il n'y a donc pas de préférence, mais plutôt un rejet de ce qui existe.
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Les élections sont une composante importante de la démocratie politique et elles sont analysées avec beaucoup de soin. Pourtant, les élections et les processus électoraux sont critiqués et certains se demandent si cette démocratie reflète bien la diversité et la quantité d'opinions en politique publique. Dans le treizième chapitre, Vincent Jacquet, Benjamin Biard, Didier Caluwaerts et Min Reuchamps ont analysé les opinions des électeurs à ce sujet. Ils analysent les préférences pour plusieurs alternatives, comme la démocratie délibérative ou la technocratie. Les personnes les plus éduquées, et qui ont le plus de confiance dans la politique, sont plus à même de défendre la démocratie représentative. Les groupes sociaux les moins avantagés, qui sont sceptiques par rapport à la capacité du système à répondre aux besoins, sont ceux qui revendiquent du changement sans en préciser la direction, soit vers une démocratie délibérative soit vers une démocratie technocratique. Il n'y a donc pas de préférence, mais plutôt un rejet de ce qui existe.
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Starting from the questions raised by the designation of a class representative, the article wishes tostudy the role of the school in the learning of behavioral patterns liable to influence later politicalattitudes and behaviors ; the results show the importance and the limits of the school model. Judgingfrom the results (who is elected !), hearing the discourse (why that particular one ?) school achievementseems to impose itself as determinant. The comparison between the social characteristics of the electedcandidates with those of their electorate shows that they are only a facade which screens the intricatemechanisms of attraction and ideological and social exclusion. ; L'article entend, à partir de questions sur la désignation d'un chef de classe éventuel, étudier la place de l'école dans l'apprentissage des modèles de conduites pouvant ultérieurement influencer attitudes et comportements politiques ; l'ensemble des résultats montre l'importance et les limites du modèle scolaire. A ne juger que sur les résultats (qui est élu ?), à n'écouter que le discours (pourquoi cet élu-là ?) le critère de la réussite scolaire semble s'imposer. La confrontation des caractéristiques sociales des élus et de leurs électeurs montre que ce n'est souvent qu'une façade qui masque des mécanismes complexes d'affinités et d'exclusions idéologiques sociales.
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Starting from the questions raised by the designation of a class representative, the article wishes tostudy the role of the school in the learning of behavioral patterns liable to influence later politicalattitudes and behaviors ; the results show the importance and the limits of the school model. Judgingfrom the results (who is elected !), hearing the discourse (why that particular one ?) school achievementseems to impose itself as determinant. The comparison between the social characteristics of the electedcandidates with those of their electorate shows that they are only a facade which screens the intricatemechanisms of attraction and ideological and social exclusion. ; L'article entend, à partir de questions sur la désignation d'un chef de classe éventuel, étudier la place de l'école dans l'apprentissage des modèles de conduites pouvant ultérieurement influencer attitudes et comportements politiques ; l'ensemble des résultats montre l'importance et les limites du modèle scolaire. A ne juger que sur les résultats (qui est élu ?), à n'écouter que le discours (pourquoi cet élu-là ?) le critère de la réussite scolaire semble s'imposer. La confrontation des caractéristiques sociales des élus et de leurs électeurs montre que ce n'est souvent qu'une façade qui masque des mécanismes complexes d'affinités et d'exclusions idéologiques sociales.
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In: http://hdl.handle.net/2027/iau.31858048202588
Author's pseud. Probus, at head of title. ; Mode of access: Internet.
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Démocratie « directe », démocratie « représentative », démocratie « participative », démocratie « délibérative », démocratie « continue », une série d'adjectifs s'est accumulée ces dernières années pour venir bouleverser l'opposition trop commode entre démocratie représentative et démocratie directe souvent présentée comme une querelle des Anciens et des Modernes sur le régime politique le plus stable. Dans un monde où la demande sociale s'est complexifiée, il devient difficile de poser la question de la démocratie d'un point de vue normatif si ce n'est en se raccrochant à une définition générique et aux imaginaires politiques qui ont produit cette définition (la démocratie est le pouvoir d'un collectif, ce qui signifie que ce collectif ou cet ensemble social se donne sa propre limite). Ainsi se pose d'emblée la question du lieu de la démocratie, de son locus. En effet, la démocratie est localisée avant d'être diffusée : il ne s'agit pas de minorer l'expérience démocratique en la particularisant à outrance, mais au contraire de comprendre les conditions de son apparition, de ses modifications et de sa résurgence dans des sociétés différentes. Quels sont les espaces convoqués et les instruments qui favorisent l'émergence d'une institution démocratique ? ; http://www.sens-public.org/spip.php?article185
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Séminaire organisé conjointement par la Maison française d'Oxford et le « Department of Sociology of the University of Oxford », d'avril à juin 2001 ; International audience ; Abstention record, montée des extrêmes, mouvements sociaux à répétition, rejet des élites, autant d'indices d'une crise de la représentation en France. Signe-t-elle pour autant la faillite du politique ? Remet-elle en cause l'attachement des citoyens aux normes, aux procédures, aux valeurs de la démocratie représentative ? Pour mieux comprendre ce que signifie la démocratie pour les citoyens, il faut tester la solidité et la cohérence de leurs convictions, et mettre, au sens plein du terme, la démocratie « à l'épreuve ». [Premier paragraphe]
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Séminaire organisé conjointement par la Maison française d'Oxford et le « Department of Sociology of the University of Oxford », d'avril à juin 2001 ; International audience ; Abstention record, montée des extrêmes, mouvements sociaux à répétition, rejet des élites, autant d'indices d'une crise de la représentation en France. Signe-t-elle pour autant la faillite du politique ? Remet-elle en cause l'attachement des citoyens aux normes, aux procédures, aux valeurs de la démocratie représentative ? Pour mieux comprendre ce que signifie la démocratie pour les citoyens, il faut tester la solidité et la cohérence de leurs convictions, et mettre, au sens plein du terme, la démocratie « à l'épreuve ». [Premier paragraphe]
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http://www.sens-public.org/spip.php?article185 ; International audience ; Démocratie « directe », démocratie « représentative », démocratie « participative », démocratie « délibérative », démocratie « continue », une série d'adjectifs s'est accumulée ces dernières années pour venir bouleverser l'opposition trop commode entre démocratie représentative et démocratie directe souvent présentée comme une querelle des Anciens et des Modernes sur le régime politique le plus stable. Dans un monde où la demande sociale s'est complexifiée, il devient difficile de poser la question de la démocratie d'un point de vue normatif si ce n'est en se raccrochant à une définition générique et aux imaginaires politiques qui ont produit cette définition (la démocratie est le pouvoir d'un collectif, ce qui signifie que ce collectif ou cet ensemble social se donne sa propre limite). Ainsi se pose d'emblée la question du lieu de la démocratie, de son locus. En effet, la démocratie est localisée avant d'être diffusée : il ne s'agit pas de minorer l'expérience démocratique en la particularisant à outrance, mais au contraire de comprendre les conditions de son apparition, de ses modifications et de sa résurgence dans des sociétés différentes. Quels sont les espaces convoqués et les instruments qui favorisent l'émergence d'une institution démocratique ?
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International audience ; L'internet a soulevé de grands espoirs pour sa capacité supposée à revitaliser la démocratie, en faisant résonner la voix des citoyens en dehors des élections. En effet, il reconfigure trois grandes dimensions de la vie démocratique : la nature de l'espace public, les modalités de la délibération collective, et les formes de l'engagement citoyen. Mais ces transformations n'ont rien d'univoque. Elles peuvent même, à certains égards, porter atteinte aux fondements du débat public.
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International audience ; L'internet a soulevé de grands espoirs pour sa capacité supposée à revitaliser la démocratie, en faisant résonner la voix des citoyens en dehors des élections. En effet, il reconfigure trois grandes dimensions de la vie démocratique : la nature de l'espace public, les modalités de la délibération collective, et les formes de l'engagement citoyen. Mais ces transformations n'ont rien d'univoque. Elles peuvent même, à certains égards, porter atteinte aux fondements du débat public.
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