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À qui profite le crime ?
In: Alternatives Économiques, Band 412, Heft 5, S. II-II
Médicaments falsifiés, le crime organisé
In: Revue du marché commun et de l'Union Européenne, Band 538, S. 295-301
ISSN: 0035-2616
World Affairs Online
« Comprendre » le crime de masse
In: Humanisme: revue des Francs-Maçons du Grand Orient de France, Band 273, Heft 2, S. 31-32
World Affairs Online
Le Crime et la presse
La Violence, la peur et le crime
In: Sciences sociales
violence - fear - crime - non-violence - criminal and social justice - La violence et la peur font tellement partie de nos vies que, parfois, elles se confondent avec elles. Elles s'insinuent aussi bien dans le social que dans l'individuel et déterminent l'histoire de l'un et de l'autre. Le crime, quant à lui, semble d'être devenu un acte privilégié non seulement pour dire la violence, mais aussi pour vivre la peur. Le criminel, à cet égard, a parfois pour fonction de permettre de défini son contraire, l'individu de bonne réputation. L'époque actuelle favorise un individualisme d'un genre nouveau : la personne menacée de toutes parts tente de se protéger en démonisant un groupe particulier. Heureusement, le monde d'aujourd'hui produit aussi des individus qui, du fait de l'affaissement des valeurs anciennes, se montrent plus tolérants à l'égard des autres. Cette acceptation d'autrui fait obstacles à certaines formes de violence et favorise la non-violence. Le présent ouvrage nous conduit à examiner quels sens revêtent la violence, la peur et le crime et quels sont leur rapports mutuels. Il s'adresse à tous ceux qui s'intéressent à la justice pénale et sociale. Il fait ressortir certains problèmes et indique certains moyens permettant de résoudre les conflits, y compris ceux vécus par l'exclu. Il touche les pratiques sociales et les personnes appelées à les gérer, à assurer la sécurité et à éliminer la peur. Il est d'un grand intérêt pour les criminologues, travailleurs sociaux, psychologues, éducateurs, sociologues et politicologues.
CriminElles: le crime à l'épreuve du féminin
"Il est des criminelles. Le constat seul mérite d'être rappelé, tant le crime semble parfois supposer le seul criminel. Les criminelles, nous en parlons, et ne cessons même d'en parler, jouant avec le fait divers comme avec les règles de la fiction, avec le récit comme avec le témoignage, avec la lettre comme avec l'image, dans la vie et sur la scène, renouvelant chaque fois nos hésitations et nos incertitudes : de nos criminelles, que faire et que dire? Car si notre culture des criminels s'appuie sur une sociologie qui assoit la place des hommes dans un crime devenu, chez Émile Durkheim, un 'phénomène normal', cette même sociologie rappelle depuis qu'elle s'y intéresse la sous-représentation des femmes au sein de la population criminelle. Ce régime d'exception n'empêche pas la multiplicité de figures désormais canoniques, de l'empoisonneuse à la femme fatale en passant par la faiseuse d'anges. La criminelle, aussi absente que protéiforme, occupe ainsi un champ à l'intersection du désir, de la transgression et du fantasme, favorisant la rencontre entre les lectures traditionnelles du féminin et les relectures renouvelées tant par le prisme du crime que par celui des théories du genre et des féminismes. La criminelle permet donc tout à la fois de penser le crime par le genre et d'interroger le genre dans le crime. Tel est l'élément structurant du présent ouvrage qui, tant dans la littérature que dans le cinéma, les arts de la scène ou la sociologie, s'engage sur les traces de personnages par lesquels une société se dédit, contredit ses discours, et se plaît à relativiser ses normes."--Back cover
Le Crime et le Suicide Passionenls.Louis Proal
In: The American journal of sociology, Band 6, Heft 5, S. 712-712
ISSN: 1537-5390
L'intentionnalité dans le crime de mafia
In: Cahiers d'anthropologie sociale, Band 13, Heft 1, S. 21-39
ISSN: 2728-3372
Depuis que la « participation à l'association mafieuse » a été reconnue comme un délit (1982, loi Rognoni-La Torre), l'intentionnalité du crime de mafia a fait l'objet de nombreuses controverses. La modalité d'action criminelle spécifique à l'organisation Cosa nostra – où l'ordre et l'exécution d'un meurtre sont dissociés – a longtemps constitué une entrave à la sanction des mandataires des crimes. Jusqu'à la fabrication d'un outillage juridique et judiciaire permettant aux juges de remonter à la matrice morale et à la décision d'un acte criminel, atteignant ainsi les frontières entre le monde légal et illégal. Chaque procès de mafia (est ici analysé le « Processo Aiello + 14 », intenté en 2006 à un médecin de renom et au Président de la région sicilienne) alimente des débats – qui, du prétoire, peuvent gagner la société tout entière – sur la « conscience du crime mafieux ». Cependant, l'étude anthropologique de la mafia nous met face à des individus dont les agissements se situent à la limite du langage (omerta), et donc de la sphère du conscient, montrant ainsi l'ampleur des dilemmes éthiques auxquels sont confrontés les magistrats antimafia.
Le crime de Tchernobyl: le goulag nucléaire
Le crime, le châtiment et les Écossais
In: Presses universitaires de Franche-Comté no 1465
In: Annales littéraires de l'Université de Franche-Comté no 1000
In: Caledonia. Regards sur L'Ecosse 2