Das Elend der Philosophie: Antwort auf Prudhon's "Philosophie des Elends"
In: Internationale Bibliothek, Band 12
In: Internationale Bibliothek, Band 12
In: Warum noch Philosophie?
Blick ins Buch Was ist das Ziel guter Philosophie, wie wird man ein guter Philosoph? Dieses Buch gibt die Antwort, dass nur der ein guter Philosoph ist, der zugleich ein "wahrer Mensch" (Wittgenstein) ist. Welchen philosophischen Standpunkten sich unsere Vernunft anschließt, entscheidet sich letztlich im Einklang mit dem Temperament, mit den Emotionen, die zum wahren Menschen gehören. Und dann kommt es darauf an, dass man auch nach der so gewonnenen philosophischen Einstellung lebt, um sie zu bestätigen. Ein Buch, das zentrale philosophische Fragen nach Willensfreiheit, Objektivität der Moral, Sinn des Lebens, Identität des Selbst und religiöser Wahrheit auf präzisem, aber verständlich-transparentem Niveau verhandelt: Gerahmt von dem fiktiven Briefwechsel der Philosophen Bill Headstrong und Wilhelm Kornblum werden diese existentiellen Fragen an Leben und Werk des Philosophen William James exemplifiziert.
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
BASE
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
BASE
In: Kohlhammer Urban Taschenbücher 352,1
Stärker als vorangehende Epochen ist das Zeitalter der Renaissance (ca. 1350 bis ca. 1650) durch zahlreiche wirtschaftliche, künstlerische, politische, technische, literarische, theologische, soziale und philosophische Neuorientierungen geprägt. Kaum etwas ist am Ende dieses Zeitabschnitts so wie es am Anfang war. Die 11 Kapitel dieser ""Philosophie der Renaissance"" (Prag 1356, Padua 1408, Florenz 1434, Wien 1489, Florenz 1519, Wittenberg 1560, Ingolstadt 1577, Montaigne 1588, Ciudad de Mexico 1599, Peking 1601, Paris 1625 / München 2013) gehen von einer spezifischen örtlichen und geistesgesc
In: Ratio Juris, Band 1, Heft 1, S. 119-130
las pretensiones del autor son: (1) Clarificar los conceptos, objetivos y criteriología de la teoría política. (2) Señalar las diferencias fundamentales de dos concepciones opuestas de la historia: modernidad e historicismo. (3) Subrayar la unidad que tales diferencias ocultan y mostrar sus deficiencias y oscuridades. ( 4) Proponer una nueva unidad de medida de las actuaciones públicas, que concuerde con la estructura de la acción y con la práctica ordinaria. Para ello se emplea un método crítico y constructivo: el análisis de la contraposición actitud ética-actitud política permitirá constatar los endebles cimientos de esta dicotomía, obligando a la fijación de coordenadas que no la incluyan, coordenadas según las cuales la evaluación política no será el juicio de las motivaciones de la acción, sino de sus resultados previsibles.
Das Freiheitspotential moderner Gesellschaften, vor allem die Rechtfertigung politischer Herrschaft, wird heute mit einer demokratisch verfassten Ordnung verknüpft. Was eine demokratische Ordnung ausmacht, was also die Idee des Demokratischen meint, scheint aber alles andere als klar zu sein. Soll es nur um Fragen der Repräsentation des Volkes durch Wahlen, Abstimmungen und Parteien oder darüber hinaus auch um die institutionelle Kultur, die Gewaltenteilung und das Rechtsregime innerhalb eines Gemeinwesens gehen? Eine »Philosophie der Republik«, wie sie in den Beiträgen dieses Bandes entwickelt wird, zeigt, dass die aktuelle »Dominanz des Demokratischen« keine eigenständige Bedeutung der republikanischen Selbstorganisation von Staat und Gesellschaft beimisst. Das Republikanische geht im »Universalkonzept« des Demokratischen auf, womit aber zugleich die Spannungen ausgeblendet werden, die zwischen egalitär-mehrheitsorientierten und institutionell abgesicherten Machtbalancen bestehen. Zeigen kann eine »Philosophie der Republik« dagegen, dass moderne Gemeinwesen mit ihrem Anspruch, Freiheit zu garantieren, eine Vielzahl von Legitimationsnarrativen aufgenommen und innovativ miteinander verbunden haben. Demokratie und Republik sind komplementäre Perspektiven, die beide eine gerechte Ordnung im Blick haben.InhaltsübersichtEinleitung: Ambivalenzen im Diskurs um Demokratie und Republik I. Gewaltengliederung und Repräsentation Marc André Wiegand: Demokratische Narrative und Republikanische Ordnung – Horst Dreier: Das Problem der Volkssouveränität – Bernd Grzeszick: Gewaltenteilung im Demokratischen Rechtsstaat – Andreas Anter: Repräsentation und Demokratie II. Institutionen und Autonomie Matthias Kaufmann: Das Verhältnis von Recht und Pflicht – Andrea M. Esser: Freiheit und Autonomie im Republikanismus – Überlegungen in Anschluss an Philip Pettit, Immanuel Kant und John Dewey – Pirmin Stekeler-Weithofer: Eigentum und Selbstbestimmung. Hegels Idee personaler Freiheit in Republikanischen Institutionen – Jochen Bung: Sicherheit, Verantwortung und Demokratie – Thomas Schmidt-Lux: Anspruch und Glauben. Vigilantismus als Herausforderung staatlicher Legitimität III. Republikanische Infrastrukturen Trevor Wedman: The Rule of Law Toward a Positive Conception of State – Oliver W. Lembcke: This Party Sucks? Ansätze zu einer politischen Theorie politischer Parteien – Wolfgang Schild: Erbmonarch oder Wahlpräsident. Eine Differenz zwischen Hegel und den Hegelschülern Gans und Michelet – Hannes Siegrist: Republik und Eigentum. Historische Perspektiven – Benno Zabel: Schuld und Strafe in Freien Gesellschaften. Über den Zusammenhang von Gewalt, Gesetz und Demokratie IV. Gerechtigkeit und Differenz David Abraham: Circumcision: Immigration, Religion, History, and Science in the German and U.S. Republics – Helmut Goerlich: Säkulare Republik, religiöse Pluralität und Menschenrechte in verfassungsrechtlicher Perspektive – Susanne Beck: Minderheit wider Willen? Die Grenzen des Minderheitenschutzes in einer Republikanischen Demokratie – Sabrina Zucca-Soest: Gerechtigkeit und Differenz im Republikanismus V. Werte und Lebensformen Jean-François Kervegan: Unsittliche Sittlichkeit? Überlegungen über 'Böckenfördes Theorem' und seine kritische Übernahme bei Habermas und Honneth – Christian Schmidt: Institutionen der Freiheit? Republikanische Ordnung und bürgerschaftliche Entfremdung – Rochus Leonhardt: Religiöser Pluralismus und säkulare Rechtsordnung – Thomas Khurana: Politics of Second Nature. On the Democratic Dimension of Ethical Life VI. Menschenwürde und Menschenrechte Kurt Seelmann: Das Dilemma einer Begründung von Menschenrechten – Georg Lohmann: Echo des Naturrechts? Menschenwürde, Menschenrechte und Demokratie – Stephan Kirste: Das Menschenrecht auf Demokratie – Daniela Demko: Zur Entwicklung einer kosmopolitisch-pluralistischen Weltrepublik
In: Beiträge zur Schelling-Forschung 7
In: Basiswissen Philosophie
In: utb-studi-e-book
In: UTB 5234
In: Philosophie, Politikwissenschaft
Diese Einführung in die Politische Philosophie macht Studierende mit Grundbegriffen, Argumenten und historischen Entwicklungen der Politischen Philosophie vertraut. Sie fragt, welchen Niederschlag die diskutierten Werte und Prinzipien in heutigen politischen Institutionen und unserem Verständnis politischen Handelns haben. Zahlreiche Beispiele und ein Glossar erleichtern den Einstieg.
In: Mouvements: des idées et des luttes, Band 14, Heft 2, S. 160
ISSN: 1776-2995
In: Wissenschaftliche Abhandlungen und Reden zur Philosophie, Politik und Geistesgeschichte Bd. 77
Die Idee der öffentlichen Philosophie geht von der Überzeugung aus, dass die antike Frage nach dem guten Leben durch die moderne politische Philosophie diskreditiert und in den Bereich des Privaten verdrängt worden ist und Fragen der öffentlichen Moral als private Fragen verstanden werden, die in die Öffentlichkeit getragen werden. Die gesellschaftlichen Entwicklungen seit Ende der 1960er Jahre – Studentenrevolten und Neoliberalismus – haben trotz scheinbarer Gegensätze diesen Grundsatz durch die einseitige Betonung des Individualismus weiter verstärkt. Dies drückt sich in den Bildungsinstitutionen aus, deren Aufgabe infolge der PISA-Studie im Wesentlichen in der Umsetzung individueller Lernstrategien und der Förderung von Selbstverwirklichung gesehen wird. Diese Entwicklungen führen dazu, dass Fragen nach Lebensführung, Geschmack, Tugenden als Zwang gedeutet werden, wenn sie als öffentliche Frage gestellt werden. Im Rückgriff auf Hannah Arendt und Hans-Georg Gadamer erhebt eine öffentliche Philosophie den Anspruch, diese Fragen wieder als öffentliche zu begreifen, um insbesondere in den Diskussionen über Bildungseinrichtungen unsere Aufmerksamkeit darauf zu richten, dass es in ihnen um mehr geht als um Lerneffizienz und Selbstverwirklichung.
In: Wissenschaftliche Abhandlungen und Reden zur Philosophie, Politik und Geistesgeschichte, v. 77
Die Idee der öffentlichen Philosophie geht von der Überzeugung aus, dass die antike Frage nach dem guten Leben durch die moderne politische Philosophie diskreditiert und in den Bereich des Privaten verdrängt worden ist und Fragen der öffentlichen Moral als private Fragen verstanden werden, die in die Öffentlichkeit getragen werden. Die gesellschaftlichen Entwicklungen seit Ende der 1960er Jahre - Studentenrevolten und Neoliberalismus - haben trotz scheinbarer Gegensätze diesen Grundsatz durch die einseitige Betonung des Individualismus weiter verstärkt. Dies drückt sich in den Bildungsinstitut.
In: Handwörterbuch zur politischen Kultur der Bundesrepublik Deutschland, S. 302-305