Le discours direct qui fait l'objet de notre analyse est étudié dans le corpus comparable spécialisé d'une taille dė 500 000 d'occurrences, constitué d'articles de la presse politique lituanienne ("Lietuvos rytas", "Lietuvos žinios") qui datent de 2001-2004. Ce corpus ne contient ni interviews, ni débats, ni entretiens. Il est constitué d'articles politiques de la presse écrite du genre information et du commentaire. Dans cet article nous avons pour but de décrire les particularités syntaxiques du discours direct qui prouvent la présense du style parlé dans des textes du style journalistique. Le corpus comparable spécialisé est analysé par le moyen des méthodes déscriptive, comparative ainsi que la méthode de l'analyse automatique assistée par ordinateur.[.]
Le discours direct qui fait l'objet de notre analyse est étudié dans le corpus comparable spécialisé d'une taille dė 500 000 d'occurrences, constitué d'articles de la presse politique lituanienne ("Lietuvos rytas", "Lietuvos žinios") qui datent de 2001-2004. Ce corpus ne contient ni interviews, ni débats, ni entretiens. Il est constitué d'articles politiques de la presse écrite du genre information et du commentaire. Dans cet article nous avons pour but de décrire les particularités syntaxiques du discours direct qui prouvent la présense du style parlé dans des textes du style journalistique. Le corpus comparable spécialisé est analysé par le moyen des méthodes déscriptive, comparative ainsi que la méthode de l'analyse automatique assistée par ordinateur.[.]
Le discours direct qui fait l'objet de notre analyse est étudié dans le corpus comparable spécialisé d'une taille dė 500 000 d'occurrences, constitué d'articles de la presse politique lituanienne ("Lietuvos rytas", "Lietuvos žinios") qui datent de 2001-2004. Ce corpus ne contient ni interviews, ni débats, ni entretiens. Il est constitué d'articles politiques de la presse écrite du genre information et du commentaire. Dans cet article nous avons pour but de décrire les particularités syntaxiques du discours direct qui prouvent la présense du style parlé dans des textes du style journalistique. Le corpus comparable spécialisé est analysé par le moyen des méthodes déscriptive, comparative ainsi que la méthode de l'analyse automatique assistée par ordinateur.[.]
En 1768–1772, sur le territoire de la République de Deux Peuples, les luttes entre la Confédération de Bar et les armées de l'empire de Russie avec le souverain Stanislovas Augustas Poniatovskis ont eu lieu. Le but de l'article – parcourir l'activité de l'armée de la Lituanie pendant la Confédération de Bar en 1768–1772. Les objets de l'article : 1. Évaluer le comportement politique des dirigeant supérieurs et des commandants des unités 2. Faire l'analyse quantitative et qualitative de l'armée 3. Parcourir l'activité militaire de l'armée de la Lituanie et de ses unités, en analysant les batailles et les confrontations 4. Évaluer l'influence des batailles de la Confédération de Bar sur l'armée. L'armée de la Lituanie a eu la position politique neutre pendant la Confédération de Bar en 1768–1770, mais quelques unités de l'armée ont participé dans les batailles. Cette position reflète stratégie du commandant Mykolas Kazimieras Oginskis, qui a eu l'intention de protéger l'armée lituanienne et de défendre ses propres priorités. Les unités de l'armée lituanienne les plus appréciés étaient les régiments des Tatars de Bielakas et de Koryckis qui participaient dans les batailles pour toutes les deux parties en guerre. Dans les années 1968 – 1772, les régiments des étrangers ont été plus petits que prévoyait les règlements, surtout, ils n'avaient pas assez de chevaux. La plus grande partie des officiers ont été en vacances, et cela a vraiment influencé le niveau de préparation des. [toliau žr. visą tekstą]
En 1768–1772, sur le territoire de la République de Deux Peuples, les luttes entre la Confédération de Bar et les armées de l'empire de Russie avec le souverain Stanislovas Augustas Poniatovskis ont eu lieu. Le but de l'article – parcourir l'activité de l'armée de la Lituanie pendant la Confédération de Bar en 1768–1772. Les objets de l'article : 1. Évaluer le comportement politique des dirigeant supérieurs et des commandants des unités 2. Faire l'analyse quantitative et qualitative de l'armée 3. Parcourir l'activité militaire de l'armée de la Lituanie et de ses unités, en analysant les batailles et les confrontations 4. Évaluer l'influence des batailles de la Confédération de Bar sur l'armée. L'armée de la Lituanie a eu la position politique neutre pendant la Confédération de Bar en 1768–1770, mais quelques unités de l'armée ont participé dans les batailles. Cette position reflète stratégie du commandant Mykolas Kazimieras Oginskis, qui a eu l'intention de protéger l'armée lituanienne et de défendre ses propres priorités. Les unités de l'armée lituanienne les plus appréciés étaient les régiments des Tatars de Bielakas et de Koryckis qui participaient dans les batailles pour toutes les deux parties en guerre. Dans les années 1968 – 1772, les régiments des étrangers ont été plus petits que prévoyait les règlements, surtout, ils n'avaient pas assez de chevaux. La plus grande partie des officiers ont été en vacances, et cela a vraiment influencé le niveau de préparation des. [toliau žr. visą tekstą]
En 1768–1772, sur le territoire de la République de Deux Peuples, les luttes entre la Confédération de Bar et les armées de l'empire de Russie avec le souverain Stanislovas Augustas Poniatovskis ont eu lieu. Le but de l'article – parcourir l'activité de l'armée de la Lituanie pendant la Confédération de Bar en 1768–1772. Les objets de l'article : 1. Évaluer le comportement politique des dirigeant supérieurs et des commandants des unités 2. Faire l'analyse quantitative et qualitative de l'armée 3. Parcourir l'activité militaire de l'armée de la Lituanie et de ses unités, en analysant les batailles et les confrontations 4. Évaluer l'influence des batailles de la Confédération de Bar sur l'armée. L'armée de la Lituanie a eu la position politique neutre pendant la Confédération de Bar en 1768–1770, mais quelques unités de l'armée ont participé dans les batailles. Cette position reflète stratégie du commandant Mykolas Kazimieras Oginskis, qui a eu l'intention de protéger l'armée lituanienne et de défendre ses propres priorités. Les unités de l'armée lituanienne les plus appréciés étaient les régiments des Tatars de Bielakas et de Koryckis qui participaient dans les batailles pour toutes les deux parties en guerre. Dans les années 1968 – 1772, les régiments des étrangers ont été plus petits que prévoyait les règlements, surtout, ils n'avaient pas assez de chevaux. La plus grande partie des officiers ont été en vacances, et cela a vraiment influencé le niveau de préparation des. [toliau žr. visą tekstą]
En 1768–1772, sur le territoire de la République de Deux Peuples, les luttes entre la Confédération de Bar et les armées de l'empire de Russie avec le souverain Stanislovas Augustas Poniatovskis ont eu lieu. Le but de l'article – parcourir l'activité de l'armée de la Lituanie pendant la Confédération de Bar en 1768–1772. Les objets de l'article : 1. Évaluer le comportement politique des dirigeant supérieurs et des commandants des unités 2. Faire l'analyse quantitative et qualitative de l'armée 3. Parcourir l'activité militaire de l'armée de la Lituanie et de ses unités, en analysant les batailles et les confrontations 4. Évaluer l'influence des batailles de la Confédération de Bar sur l'armée. L'armée de la Lituanie a eu la position politique neutre pendant la Confédération de Bar en 1768–1770, mais quelques unités de l'armée ont participé dans les batailles. Cette position reflète stratégie du commandant Mykolas Kazimieras Oginskis, qui a eu l'intention de protéger l'armée lituanienne et de défendre ses propres priorités. Les unités de l'armée lituanienne les plus appréciés étaient les régiments des Tatars de Bielakas et de Koryckis qui participaient dans les batailles pour toutes les deux parties en guerre. Dans les années 1968 – 1772, les régiments des étrangers ont été plus petits que prévoyait les règlements, surtout, ils n'avaient pas assez de chevaux. La plus grande partie des officiers ont été en vacances, et cela a vraiment influencé le niveau de préparation des. [toliau žr. visą tekstą]
En 1768–1772, sur le territoire de la République de Deux Peuples, les luttes entre la Confédération de Bar et les armées de l'empire de Russie avec le souverain Stanislovas Augustas Poniatovskis ont eu lieu. Le but de l'article – parcourir l'activité de l'armée de la Lituanie pendant la Confédération de Bar en 1768–1772. Les objets de l'article : 1. Évaluer le comportement politique des dirigeant supérieurs et des commandants des unités 2. Faire l'analyse quantitative et qualitative de l'armée 3. Parcourir l'activité militaire de l'armée de la Lituanie et de ses unités, en analysant les batailles et les confrontations 4. Évaluer l'influence des batailles de la Confédération de Bar sur l'armée. L'armée de la Lituanie a eu la position politique neutre pendant la Confédération de Bar en 1768–1770, mais quelques unités de l'armée ont participé dans les batailles. Cette position reflète stratégie du commandant Mykolas Kazimieras Oginskis, qui a eu l'intention de protéger l'armée lituanienne et de défendre ses propres priorités. Les unités de l'armée lituanienne les plus appréciés étaient les régiments des Tatars de Bielakas et de Koryckis qui participaient dans les batailles pour toutes les deux parties en guerre. Dans les années 1968 – 1772, les régiments des étrangers ont été plus petits que prévoyait les règlements, surtout, ils n'avaient pas assez de chevaux. La plus grande partie des officiers ont été en vacances, et cela a vraiment influencé le niveau de préparation des. [toliau žr. visą tekstą]
Straipsnyje poeto, mistiko, diplomato Oskaro Milasiaus (1877-1939) palikimas nagrinejamas is politiniu ideju perspektyvos. Keliamas klausimas, kaip autorius supranta Europos vienybe, siekiama vienijimosi prielaidas isvesti is publicistiniu rastu politinemis temomis bei metafiziniu poemu 'Ars Magna' ir 'Slepiniai'. Milasiaus izvalgos galimo Europos saliu susivienijimo klausimu analizuojamos to meto idejiniame lauke, pabreziant bendrumus ir isryskinant Milasiaus savituma. Svarstoma, ar ir kokiu laipsniu poeto, rasiusio apie Jungtines Europos Valstijas, idejos galetu buti priskiriamos kuriai nors tarpukariu egzistavusiai federalistu stovyklai - liberalams paneuropistams ar katalikams. Milasiaus Europos vienybes samprata analizuojama trimis aspektais - tikslo, budo ir pagrindo. Daroma isvada, jog Milasius kritikuoja faktine Europos bukle po Pirmojo pasaulinio karo ir kaip alternatyva siulo vienybe ir dvasiniu, ir politiniu poziuriu. Teigiama, kad poetas siekia atsakyti i savo epochos klausimus savitu budu, pasitelkdamas ne tik geopolitinius, bet ir mitologinius bei mesianistinius argumentus The article examines the heritage of poet, mystic and diplomat Oscar Milosz (1877-1939) from the point of politically significant ideas. The aim is to grasp the understanding of the unity of Europe from the selected political articles 'Deux messianismes politiques' as well as metaphysical poems 'Ars Magna' and 'Les Arcanes'. The premises of Milosz are situated in the intellectual context of European unity ideas of his contemporaries. The analysis shows that Milosz is critical about the situation of interwar Europe that he faces. As an alternative to this he suggests the unity in spiritual and political sense. It is argued in the paper that poet tries to capture the main questions of his epoch, although in a very exclusive manner, by lumping together geopolitical, mythological, messianistic arguments. Adapted from the source document.
The aim of the paper is to grasp the understanding of the unity of Europe from the selected political articles "Deux messinismes politiques" and metaphysical poems "Ars Magna" and "Les Arcanes" of Milosz and situate it in the context of the ideas of his contemporaries, in particular catholic pro-federalists and the Paneuropean movement. The analysis shows that Milosz is critical about the situation of interwar Europe which he faces. On the one hand, the countries are too interested in material goals and politics is not based on moral principles. On the other hand, poet reflects the wrong metaphysics of his time, because the people are sceptical towards the faith. Nevertheless Milosz should not be considered as a pessimist, because he proposes ideas how to save Europe. His premises on the unity of Europe can be divided in three parts: goal, manner and foundation. The first one is a goal of European unity. From the Milosz point of view, the unity is natural situation, which is going to be reached together with the moral evolution of European people. This differs from mostly pragmatic approach to this question by his contemporaries paneuropists. The second one is about a manner of the unification. Milosz criticizes attemps to unite on the basis of one exceptional country, rather he favours the collaboration of nations. It does not mean that nations are all the same – poet notes – they can prosper because of differences among them. For example ancient nations such as Lithuanians can renew other ones due to their exceptional history and spirit. On the political grounds as well as his contemporaries catholic pro-federalists he was favourable of federalism which respects the differences among nations and does not try to melt them away. In addition to this, Milosz as well as mentioned thinkers stresses the role of the Catholic Church which can create spiritual affinity among the nations of Europe.
The aim of the paper is to grasp the understanding of the unity of Europe from the selected political articles "Deux messinismes politiques" and metaphysical poems "Ars Magna" and "Les Arcanes" of Milosz and situate it in the context of the ideas of his contemporaries, in particular catholic pro-federalists and the Paneuropean movement. The analysis shows that Milosz is critical about the situation of interwar Europe which he faces. On the one hand, the countries are too interested in material goals and politics is not based on moral principles. On the other hand, poet reflects the wrong metaphysics of his time, because the people are sceptical towards the faith. Nevertheless Milosz should not be considered as a pessimist, because he proposes ideas how to save Europe. His premises on the unity of Europe can be divided in three parts: goal, manner and foundation. The first one is a goal of European unity. From the Milosz point of view, the unity is natural situation, which is going to be reached together with the moral evolution of European people. This differs from mostly pragmatic approach to this question by his contemporaries paneuropists. The second one is about a manner of the unification. Milosz criticizes attemps to unite on the basis of one exceptional country, rather he favours the collaboration of nations. It does not mean that nations are all the same – poet notes – they can prosper because of differences among them. For example ancient nations such as Lithuanians can renew other ones due to their exceptional history and spirit. On the political grounds as well as his contemporaries catholic pro-federalists he was favourable of federalism which respects the differences among nations and does not try to melt them away. In addition to this, Milosz as well as mentioned thinkers stresses the role of the Catholic Church which can create spiritual affinity among the nations of Europe.
The aim of the paper is to grasp the understanding of the unity of Europe from the selected political articles "Deux messinismes politiques" and metaphysical poems "Ars Magna" and "Les Arcanes" of Milosz and situate it in the context of the ideas of his contemporaries, in particular catholic pro-federalists and the Paneuropean movement. The analysis shows that Milosz is critical about the situation of interwar Europe which he faces. On the one hand, the countries are too interested in material goals and politics is not based on moral principles. On the other hand, poet reflects the wrong metaphysics of his time, because the people are sceptical towards the faith. Nevertheless Milosz should not be considered as a pessimist, because he proposes ideas how to save Europe. His premises on the unity of Europe can be divided in three parts: goal, manner and foundation. The first one is a goal of European unity. From the Milosz point of view, the unity is natural situation, which is going to be reached together with the moral evolution of European people. This differs from mostly pragmatic approach to this question by his contemporaries paneuropists. The second one is about a manner of the unification. Milosz criticizes attemps to unite on the basis of one exceptional country, rather he favours the collaboration of nations. It does not mean that nations are all the same – poet notes – they can prosper because of differences among them. For example ancient nations such as Lithuanians can renew other ones due to their exceptional history and spirit. On the political grounds as well as his contemporaries catholic pro-federalists he was favourable of federalism which respects the differences among nations and does not try to melt them away. In addition to this, Milosz as well as mentioned thinkers stresses the role of the Catholic Church which can create spiritual affinity among the nations of Europe.
The aim of the paper is to grasp the understanding of the unity of Europe from the selected political articles "Deux messinismes politiques" and metaphysical poems "Ars Magna" and "Les Arcanes" of Milosz and situate it in the context of the ideas of his contemporaries, in particular catholic pro-federalists and the Paneuropean movement. The analysis shows that Milosz is critical about the situation of interwar Europe which he faces. On the one hand, the countries are too interested in material goals and politics is not based on moral principles. On the other hand, poet reflects the wrong metaphysics of his time, because the people are sceptical towards the faith. Nevertheless Milosz should not be considered as a pessimist, because he proposes ideas how to save Europe. His premises on the unity of Europe can be divided in three parts: goal, manner and foundation. The first one is a goal of European unity. From the Milosz point of view, the unity is natural situation, which is going to be reached together with the moral evolution of European people. This differs from mostly pragmatic approach to this question by his contemporaries paneuropists. The second one is about a manner of the unification. Milosz criticizes attemps to unite on the basis of one exceptional country, rather he favours the collaboration of nations. It does not mean that nations are all the same – poet notes – they can prosper because of differences among them. For example ancient nations such as Lithuanians can renew other ones due to their exceptional history and spirit. On the political grounds as well as his contemporaries catholic pro-federalists he was favourable of federalism which respects the differences among nations and does not try to melt them away. In addition to this, Milosz as well as mentioned thinkers stresses the role of the Catholic Church which can create spiritual affinity among the nations of Europe.