Bulletin de la Société d'économie politique
Title from cover. ; Mode of access: Internet. ; 1888-97 in 1897.
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Repr.: Bad Feilnbach : Schmidt Periodicals, 1995 ; Zählung d. Repr. 1888/90(1888) - 1935/36(1935) ; Mode of access: Internet. ; Index 1888/97 in: 1897
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Mode of access: Internet. ; Organ of the Société d'économie politique.
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"Fondée le 1er juin 1888 par la Société d'économie politique" ; Mode of access: Internet.
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In: http://hdl.handle.net/2027/mdp.39015026729759
Préface signed: Le Bureau politique du Parti communiste français. ; Mode of access: Internet.
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Numbering continuous. ; 1909-March 1932 also called Serie 2. ; Suspended publication July 1914-June 1921. ; Mode of access: Internet. ; "Fondée le 1er juin 1888 par la Société d'économie politique".
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Numbering continuous. ; 1909-March 1932 also called Serie 2. ; Suspended publication July 1914-June 1921. ; Mode of access: Internet. ; "Fondée le 1er juin 1888 par la Société d'économie politique".
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In: Congrès quadri-annuel de l'AFSP, Aix-en-Provence, FRA, 1996-04-23-1996-04-26
La réforme de la politique agricole commune (PAC) a incontestablement ouvert une ère nouvelle dans la conduite des politiques publiques dans le domaine agricole. L'objet de cette communication est d'éclairer les processus institutionnels à l'œuvre au sein de l'État français pendant la négociation de la réforme entre février 1991 et mai 1992. Constatant que ce changement fondamental de politique publique s'est produit contre la volonté d'un de ses acteurs majeurs qu'est l'acteur corporatiste, on posera la question de la pertinence du modèle de la cogestion, cadre d'analyse classique et consacré de la politique agricole en France. Il semble en effet que cette grille d'analyse s'avère en grande partie inadéquate pour expliquer les événements qui intéressent ici. L'esquisse d'une reformulation d'un modèle de l'action publique dans le domaine agricole semble devoir passer par un élargissement du champ de politique publique étudié ainsi que des acteurs considérés tout d'abord, et par une connaissance plus précise des enjeux de pouvoirs à l'intérieur du secteur ensuite. D'un point de vue plus formalisé, l'objet de cette communication est d'exposer comment un système national de politique publique peut être totalement désorganisé par des enjeux d'origine externe, de décrire les formes prises par ce bouleversement, et de montrer que cette désorganisation transitoire du système peut représenter la concrétisation de sa capacité d'adaptation et d'apprentissage social, la preuve de sa capacité à "gérer" le changement.
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A fait l'objet d'une communication au colloque SFER : Représentation politique et sociologique de monde agricole et rural français, les 22-23/05/1996 à Paris, sous le titre "La réforme de la politique agricole commune au sein du système politico-administratif français", 13 p. Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 65 rue de Saint-Brieuc 35042 Rennes Cedex (FRA) ; La réforme de la politique agricole commune (PAC) a incontestablement ouvert une ère nouvelle dans la conduite des politiques publiques dans le domaine agricole. L'objet de cette communication est d'éclairer les processus institutionnels à l'œuvre au sein de l'État français pendant la négociation de la réforme entre février 1991 et mai 1992. Constatant que ce changement fondamental de politique publique s'est produit contre la volonté d'un de ses acteurs majeurs qu'est l'acteur corporatiste, on posera la question de la pertinence du modèle de la cogestion, cadre d'analyse classique et consacré de la politique agricole en France. Il semble en effet que cette grille d'analyse s'avère en grande partie inadéquate pour expliquer les événements qui intéressent ici. L'esquisse d'une reformulation d'un modèle de l'action publique dans le domaine agricole semble devoir passer par un élargissement du champ de politique publique étudié ainsi que des acteurs considérés tout d'abord, et par une connaissance plus précise des enjeux de pouvoirs à l'intérieur du secteur ensuite. D'un point de vue plus formalisé, l'objet de cette communication est d'exposer comment un système national de politique publique peut être totalement désorganisé par des enjeux d'origine externe, de décrire les formes prises par ce bouleversement, et de montrer que cette désorganisation transitoire du système peut représenter la concrétisation de sa capacité d'adaptation et d'apprentissage social, la preuve de sa capacité à "gérer" le changement.
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Variante(s) de titre : Bulletin de la Société d'économie politique nationale ; Avec mode texte
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In: http://hdl.handle.net/2027/uiug.30112054895401
Articles extraits du Globe. ; Religion Saint-Simonienne. ; Mode of access: Internet.
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In: Colloque interdisciplinaire AFSP : Protester XIX°-XX°. Histoire et sociologie des mouvements sociaux, Paris, FRA, 2006-09-28-2006-09-29
Dans le cadre d'une prise en compte des processus d'homogénéisation partisane à l'oeuvre dans la mobilisation communiste, on s'est particulièrement intéressé aux rôles des récits tournés vers le passé. Alors que la problématique en terme d' " invention des traditions " peut tendre à porter essentiellement le regard vers l'histoire des représentations collectives en laissant de côté les conditions sociales de leur diffusion, on cherche à souligner l'intérêt d'étudier l'articulation entre les discours mémoriels et les pratiques sociales qui les portent. Pour éviter un " constructivisme discursif ", il s'agit tout d'abord de mettre au jour les enjeux d'une approche en terme d'usages sociaux du passé, puis de souligner l'importance des jeux d'échelles pour ne pas appréhender les " mémoires individuelles " ou le " discours institutionnel " hors du contexte social de leurs interactions. Enfin, le regard est porté sur certaines conditions socio-politiques qui expliquent le succès et l'évolution du travail mémoriel du PCF.
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in Borraz (O.), Guiraudon (V.), dir., Politiques publiques 2. Des politiques pour changer la société ?, Presses de Sciences-po.
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International audience ; To put up with politics. Economy and uses of political information From an investigation conducted in a village population on a social time streched sequence (covering two municipal elections), this article proposes another way to make electoral sociology. The choosed observation method allows to question the different political interaction levels by refunding the multiple social links that they engage and put in game. The shapes and rhythms analysis of local political information exchanges shows how much the conceptualization of the electoral stakes in party takes root in the sociability structures and in the common work on the "memory" of the previous political episodes. However, beyond patterns shared with other similar contexts, this inquiry feeds more largely the voters' sociology and more particulary the matter of their statement about politics. Through the village sociability, all the technics of accommodation to a political event (the previous campaign, the campaign itself and the ballot) come to light. By this way, the politization of the social conflictuality, the resizing the political stakes, and the personalization of the electoral competition bend the rather abstract "political order" into a very concrete social issue. These ways of acting are part of the repertory of the ordinary tactics to put up with politics. ; A partir d'une enquête menée auprès d'une population villageoise sur une séquence étirée du temps social (couvrant deux élections municipales), cet article propose une autre façon de faire de la sociologie électorale. La méthode d'observation choisie permet d'interroger les différents niveaux d'interaction politique en restituant les multiples pans du lien social qu'ils engagent et mettent en jeu. L'analyse des formes et des rythmes de l'échange des informations politiques locales montre à quel point la conceptualisation des enjeux électoraux présents s'enracine dans les structures de la sociabilité et dans le travail commun sur la " mémoire " des épisodes ...
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In recent years, most OECD countries have altered the aims of economic policy and the means used to attain them. Inflation is considered to be the main source of déstabilisation and tight monetary policy the only suitable instrument for dealing with it. This paper questions the theoretical and factual evidence brought in support of this position. Merely setting out the arguments reveals their weakness. The rationality of expectations plays an important role in the analysis. However, this does not, as those upholding monetary conservatism would have it, justify giving up a policy of active intervention. There follows an alternative programme concerning growth and production costs. There are fundamental reasons, based on investment behaviour and yields, for thinking that such a policy would have a favourable effect on prices and employment. Tight monetary policy would then be seen to be counter-productive. It would aggravate the problem it is trying to deal with (inflation), without of course resolving the problem whose existence or social relevance it ignores (viz. unemployment). ; Dans les années récentes, la politique économique dans la plupart des pays de l'OCDE semble avoir modifié à la fois ses objectifs et les moyens utilisés pour les atteindre. L'inflation est considérée comme le déséquilibre majeur et une politique monétaire restrictive comme le seul instrument qui permette de la réduire. Dans cet article, on s'interroge sur le bien-fondé d'une telle position, sur les hypothèses théoriques et les faits d'expérience qui servent à la justifier. La seule explication des unes et des autres permet d'en mesurer la fragilité. La rationalité des anticipations des agents économiques occupe une place importante dans l'analyse, mais elle ne constitue pas, comme le soutiennent les tenants du conservatisme monétaire, une raison suffisante pour renoncer à une politique active. Un programme alternatif est alors proposé, fondé sur une double action, concernant la croissance et le coût de production. Il existe en effet des raisons fondamentales, liées au comportement d'investissement des entreprises, et à la nature des rendements, qui permettent de penser qu'une telle politique aurait des effets favorables sur les prix et l'emploi. Une politique monétariste restrictive se révélerait alors contre-productive, aggravant dans le court ou moyen terme le problème qu'elle cherche à résoudre (l'inflation), sans bien sûr résoudre le problème dont elle nie l'existence ou la pertinence sociale (le chômage).
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