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L'article caractérise les modèles de base de la politique publique dans le domaine de l'enseignement supérieur de la Fédération de Russie (libéral, centriste), qui se diffèrent par le rapport de l'administration publique et l'autonomie des universités

L'article justifie que le passage à la troisième génération de normes éducatives de l'Etat a été effectué sur la base des principes du processus de Bologne. Les nouveaux standards éducatifs sont fondés sur une approche en termes de compétences. Les nouvelles normes éducatives affirment l'approche par compétences comme une approche dominante par rapport à l'organisation du processus de l'éducation et à l'évaluation des résultats.

This research undertakes an explorative study into the manipulative potential of colloquialisms within the discourse of English-language business media. The premise of the research is grounded in the increasing infiltration of informal language into formal business media, postulating that such usage can be attributed to the manipulative capacity of colloquialisms. The study aims to answer critical questions such as the role of manipulative rhetoric in business media discourse, how colloquialisms can act as potent tools for manipulation, and the specific functions of these colloquialisms in their manipulative capacity. A quantitative linguistic analysis was performed on a corpus of 100 tokens of colloquialisms, sourced from leading business publications. The results revealed four main functions of colloquialisms: creating vivid imagery (45%), eliciting emotional responses (25%), creating a sense of familiarity (20%), and building rapport (10%). The implications of this research are substantial, as it unravels the strategic use of language in media discourse, thereby contributing to a deeper understanding of linguistic manipulation. The findings also offer avenues for further research in the evolving field of media discourse manipulation, particularly in the context of business communication.

This article considers the history of the unrealised project of the establishment of "free mining towns" in Russia (in the Urals) in the first half of the nineteenth century. Only free people were to live and work in such towns. In 1802, the outstanding mining figure A. S. Yartsov filed a note addressed to Emperor Alexander I, in which he proposed several measures to improve the domestic mining industry. The creation of mining towns inspired by European Bergstдdte was one of these measures. A special committee on the reform of the mining part was established under the influence of Yartsov's note.In 1804, the French architect Claude-Nicolas Ledoux published a treatise L'Architecture considérée sous le rapport de l'art, des mœurs et de la legislation (Architecture Considered in Relation to Art, Morals, and Legislation) in Paris. The work was preceded by a dedication to the Russian emperor. The project of the ideal mining city of Chaux was presented in the publication. With the help of architectural forms, Ledoux dreamed of creating an ideal environment for the moral development of people. Could the French architect have known that at the very same time in St Petersburg work was being carried out for a legal justification of the establishment of "free cities" in Russia, a country where serfdom was still a reality? This assumption does not look improbable.A special committee prepared a draft of new mining legislation, which was approved by Alexander I on July 13, 1806. Ekaterinburg received the status of a mining city on May 1, 1807. However, afterwards the emperor lost interest in liberal projects. Ekaterinburg remained the only mining city in Russia. The content of the concept of a "free mining city" also changed: the dream of free labour was replaced by the idea of independence of such a city from the governor's power. ; В статье рассматривается история нереализованного проекта «вольных горных городов» в России (на Урале) в первой половине XIX в. Предполагалось, что в таких городах будут жить и работать только ...

This paper aims to examine Japanese publications on Nicholas Roerich and to consider how he has been received in Japan. Since the 1920s, three of Roerich's books have been translated into Japanese, and books and articles on him have been published in Japan. Although Roerich is not widely known among Japanese people nowadays, a number of sources, such as a May 1934 article in Yomiuri Shinbun and Numano Mitsuyoshi's essay in IS (March 2002), make it clear that Roerich was welcomed as a national guest when he visited Japan in 1934. Also, according to comments by Roerich's translators, it can be surmised that Roerich has been appreciated among Japanese mystics and occultists since around the 1930s. In order to unveil unknown facts, including details of Roerich's sojourn in Japan and the manner in which Japanese authorities interfered politically with his plans in the mid-1930s, it is a matter of urgency to research unpublished archives in Japan. ; Cet article recense et présente les traductions des écrits de Nicolas Roerich au Japon ainsi que les publications qui lui ont été consacrées en japonais à partir des années 1920 jusqu'à 2006. Il traite également de l'accueil réservé à Roerich en mai 1934 lors de son séjour dans ce pays à partir des articles parus dans la presse japonaise de l'époque et des rapports de police établis à cette occasion. En se fondant sur des documents conservés dans les archives du ministère japonais des Affaires étrangères, il évoque également la brochure Nihon Raisan (La Gloire du Japon) que Roerich diffusa lors de sa venue dans l'archipel. L'auteur revient sur les articles du slaviste Mitsuyoshi Numano (Université de Tokyo) parus entre 1997 et 2002 dans la revue IS (Intellect and Sensitivity) qui envisagent Roerich " non pas sous l'angle de ses idées mystico-religieuses, mais comme un phénomène culturel et artistique unique ". Il constate qu'aucune publication japonaise sur Nicolas Roerich ne fait part du projet du peintre d'organiser une Conférence bouddhique en Asie ni de son projet ...

International audience ; Pour le sens commun, entretenu par un lectorat très typé, Joseph de Maistre représente bien évidemment l'apôtre de la Contre-Révolution la plus intransigeante. Au risque du poncif puisqu'avec lui peut être plus nettement encore qu'avec tout autre polémiste de pareille envergure, se pose le problème de la réception d'une œuvre paradoxale, à travers laquelle d'aucuns s'emploient depuis près de deux siècles avec une belle obstination à reconnaître l'une des sources homogène, flagrante, de théories politiques ou d'idéologies totalitaires parmi les moins recommandables.Parmi d'autres, ces dernières années, le politiste Jean Zaganiaris s'est fort heureusement astreint à l'exercice de dénonciation de telles lectures systématiquement partiales ou biaisées du corpus maistrien. Dans essai publié en 2005 il s'efforce même de rappeler comment le Maistre apparemment figé à jamais dans cette sombre posture a cependant pu être étonnamment associé à de tout autres courants de pensée, jadis, y compris de manière incidente et fugace. Il s'y attache notamment à reconstituer l'argumentaire de nos jours totalement tombé dans l'oubli visant, par exemple, à reconnaître en Joseph de Maistre non seulement un précurseur de certaines idées libérales mais aussi, avec des arguments discutables et, de ce fait assez peu convaincants, de certaines propositions politiques revendiquées avec constance depuis près de deux siècles par la tradition républicaine accommodée à la mode française et parlementaire.Maistre libéral ? Vraie fausse révélation pour celui que nombre de biographes ont souvent surnommé le Montesquieu savoyard afin de rendre compte avec justesse de la posture intellectuelle, au cours d'une morne première partie d'existence de notable provincial, selon ses propres dires. Il convient pourtant d'être clair : Maistre n'est pas et n'a jamais été libéral au sens aujourd'hui parlementaire et connoté du terme. Pas plus avant 1789 qu'après ! Quand bien même il incarne sa vie durant une espèce de prototype de penseur des Lumières en magistrat éclairé dédaigneux de cet amas d'institutions d'un autre âge, issues de « lois gothiques » parasitant le fonctionnement idoine des monarchies d'Ancien Régime. Si Joseph de Maistre devient un temps la fugace égérie de militants libéraux, ce n'est donc que très indirectement, ainsi que l'a fort bien compris Jean Zaganiaris. Au surplus dans le contexte très particulier de la dissolution dans l'acide corrosif du Risorgimento, au milieu du XIXe siècle, de ce Royaume de Sardaigne dont il fut au-delà du raisonnable un serviteur fidèle et loyal, aux heures pénibles de l'exil. Curieusement, celui qui a entretenu sa vie durant des rapports particulièrement complexes — pour ne pas dire ambigus — avec son prince, voire avec sa contrée natale d'un duché de Savoie plus excentré que jamais à l'Ouest des Alpes au sein des possessions sardes dites de « Terre ferme », le cœur d'Etats de Savoie en sursis depuis 1815 et de plus en plus déroutants dans leur facture ou, tout au moins, leur logique géopolitique révélatrice de l'Ancien Régime, devient en effet sur le tard la soudaine coqueluche des courtisans ou affidés de la figure incontournable du personnel gouvernemental turinois, au cours de la décennie 1850-1860, en la personne haute en couleur du Comte Benso Camillo di Cavour. Se fondant sur la correspondance de nature diplomatique officielle, de très loin la part la plus méconnue de l'œuvre maistrienne, cette poignée de jeunes gens proposent ainsi une lecture iconoclaste de « vieux papiers » de prime abord sans grands liens, il faut le reconnaître, avec la somme devenue classique de la production spéculative légitimement passée à la postérité. C'est sur cet épisode oublié, longtemps oblitéré par la confiscation anhistorique d'un Joseph de Maistre désincarné, presque éthéré par la vénération partiale de ses dévots lecteurs de la droite légitimiste du XIXe siècle puis par son héritière nationaliste d'Entre-deux-Guerres, principalement en France, qu'il convient cependant de revenir à l'heure où, à la célébration du cent cinquantième anniversaire en Savoie de la disparition des Etats éponymes répond, sur l'autre versant des Alpes occidentales, celle de l'Unità italiana. Sans prétendre évidemment concurrencer la globalité d'une analyse éclairante à plus d'un titre, puisse ainsi le cadre monographique limité de cette étude parvenir à enrichir le propos imprécis de Jean Zaganiaris sur ce point, en dépit de son mérite d'avoir exhumé, loin de ces considérations anniversaires transalpines, le débat suscité il y a cent cinquante ans par l'interprétation polémique d'un pan toujours aussi sous-estimé de la prose maistrienne.

International audience ; Pour le sens commun, entretenu par un lectorat très typé, Joseph de Maistre représente bien évidemment l'apôtre de la Contre-Révolution la plus intransigeante. Au risque du poncif puisqu'avec lui peut être plus nettement encore qu'avec tout autre polémiste de pareille envergure, se pose le problème de la réception d'une œuvre paradoxale, à travers laquelle d'aucuns s'emploient depuis près de deux siècles avec une belle obstination à reconnaître l'une des sources homogène, flagrante, de théories politiques ou d'idéologies totalitaires parmi les moins recommandables.Parmi d'autres, ces dernières années, le politiste Jean Zaganiaris s'est fort heureusement astreint à l'exercice de dénonciation de telles lectures systématiquement partiales ou biaisées du corpus maistrien. Dans essai publié en 2005 il s'efforce même de rappeler comment le Maistre apparemment figé à jamais dans cette sombre posture a cependant pu être étonnamment associé à de tout autres courants de pensée, jadis, y compris de manière incidente et fugace. Il s'y attache notamment à reconstituer l'argumentaire de nos jours totalement tombé dans l'oubli visant, par exemple, à reconnaître en Joseph de Maistre non seulement un précurseur de certaines idées libérales mais aussi, avec des arguments discutables et, de ce fait assez peu convaincants, de certaines propositions politiques revendiquées avec constance depuis près de deux siècles par la tradition républicaine accommodée à la mode française et parlementaire.Maistre libéral ? Vraie fausse révélation pour celui que nombre de biographes ont souvent surnommé le Montesquieu savoyard afin de rendre compte avec justesse de la posture intellectuelle, au cours d'une morne première partie d'existence de notable provincial, selon ses propres dires. Il convient pourtant d'être clair : Maistre n'est pas et n'a jamais été libéral au sens aujourd'hui parlementaire et connoté du terme. Pas plus avant 1789 qu'après ! Quand bien même il incarne sa vie durant une espèce de prototype de penseur des Lumières en magistrat éclairé dédaigneux de cet amas d'institutions d'un autre âge, issues de « lois gothiques » parasitant le fonctionnement idoine des monarchies d'Ancien Régime. Si Joseph de Maistre devient un temps la fugace égérie de militants libéraux, ce n'est donc que très indirectement, ainsi que l'a fort bien compris Jean Zaganiaris. Au surplus dans le contexte très particulier de la dissolution dans l'acide corrosif du Risorgimento, au milieu du XIXe siècle, de ce Royaume de Sardaigne dont il fut au-delà du raisonnable un serviteur fidèle et loyal, aux heures pénibles de l'exil. Curieusement, celui qui a entretenu sa vie durant des rapports particulièrement complexes — pour ne pas dire ambigus — avec son prince, voire avec sa contrée natale d'un duché de Savoie plus excentré que jamais à l'Ouest des Alpes au sein des possessions sardes dites de « Terre ferme », le cœur d'Etats de Savoie en sursis depuis 1815 et de plus en plus déroutants dans leur facture ou, tout au moins, leur logique géopolitique révélatrice de l'Ancien Régime, devient en effet sur le tard la soudaine coqueluche des courtisans ou affidés de la figure incontournable du personnel gouvernemental turinois, au cours de la décennie 1850-1860, en la personne haute en couleur du Comte Benso Camillo di Cavour. Se fondant sur la correspondance de nature diplomatique officielle, de très loin la part la plus méconnue de l'œuvre maistrienne, cette poignée de jeunes gens proposent ainsi une lecture iconoclaste de « vieux papiers » de prime abord sans grands liens, il faut le reconnaître, avec la somme devenue classique de la production spéculative légitimement passée à la postérité. C'est sur cet épisode oublié, longtemps oblitéré par la confiscation anhistorique d'un Joseph de Maistre désincarné, presque éthéré par la vénération partiale de ses dévots lecteurs de la droite légitimiste du XIXe siècle puis par son héritière nationaliste d'Entre-deux-Guerres, principalement en France, qu'il convient cependant de revenir à l'heure où, à la célébration du cent cinquantième anniversaire en Savoie de la disparition des Etats éponymes répond, sur l'autre versant des Alpes occidentales, celle de l'Unità italiana. Sans prétendre évidemment concurrencer la globalité d'une analyse éclairante à plus d'un titre, puisse ainsi le cadre monographique limité de cette étude parvenir à enrichir le propos imprécis de Jean Zaganiaris sur ce point, en dépit de son mérite d'avoir exhumé, loin de ces considérations anniversaires transalpines, le débat suscité il y a cent cinquante ans par l'interprétation polémique d'un pan toujours aussi sous-estimé de la prose maistrienne.

Introduction. The variety of approaches and topics in the study of terrorism, as well as the obvious difference in axiological grounds for assessing terrorist activity, allows the authors to raise the question of an interdisciplinary study of this problem. The authors understand terrorism as an illegal political confrontation in the struggle for power with the use of violence in order to intimidate or physically eliminate the enemy.Methodology and sources. The methodological basis of the work is the world-system concept of I. Wallerstein. The authors reveal the advantages of the world-system approach by comparing it with the paradigm of political realism in the theory of international relations. They indicate the boundaries of the paradigm of political realism, which operates at the level of the concepts of "States" and "International Coalitions", while the phenomenon of terrorism includes structures at the level of groups and organizations. The world-systems approach allows researchers to see terrorism as an anti-system movement generated by the contradictions in the development of the system itself, to distinguish between pro-system and anti-system terrorism, to analyze this phenomenon at all societal levels. One of the essential advantages of the world-systems approach is its ability to accumulate different approaches and related disciplines in order to describe the dynamics of modern societies. In their theoretical constructions, the authors rely on the typology of terrorist organizations by O. Lizardo and A. Bergesen, as well as on the concept of waves of terrorism by D. Rapport. The authors conduct a critical analysis of the typology of terrorism by O. Lizardo, A. Bergesen and note that this typology helps to see the structural source (core, semi-periphery, periphery) and the main structural goal of terrorist organizations, but leaves behind such a phenomenon as state terrorism.Results and discussion. The authors describe terrorism in its interrelation with processes in the world system at different societal levels. At the super-macro level, the world-systems conditions for the emergence of waves of terrorist activity are described, and the links between terrorism and the struggle to establish a global order are indicated. At the macro level (the level of political confrontation for the establishment of some form of order within the state), the authors investigate the differences between terrorism in "closed" and "open" societies. They note the connection between bursts of terrorist activity and the transition from a "closed" to an "open" state and vice versa. The authors consider the connection of terrorism with the processes of the peripheralization of societies as a meso-level phenomenon. Such terrorism, as a rule, is local and is inspired by the national liberation slogans of the societies of the internal periphery, the authors note that the struggle with the state here can go for both sovereignty and disputed territories. The authors refer to the meso-level the activities of terrorist organizations aimed at migrants who come from the outer periphery. The authors note that the subject of terrorism research at the micro level is, as a rule, the personality of the terrorist.Conclusion. The use of a world-systems approach to consider terrorism seems promising, and allows researchers to consider structural relations that are not available to other approaches. The authors express the hope that the interdisciplinary capabilities of the world-systems approach, its methodological potential woul be able to form a reliable basis for subsequent studies of terrorism as one of the means of illegitimate political violence in the modern world. ; Введение. Многогранность подходов и тематик исследования терроризма, а также очевидные различия аксиологических оснований в оценках террористической активности позволяют авторам поставить вопрос о междисциплинарном исследовании данной проблемы. Под терроризмом они понимают нелегитимное политическое противостояние в борьбе за власть с применением средств насилия в целях устрашения или физического устранения противника.Методология и источники. Методологической основой работы является миросистемная концепция И. Валлерстайна. Авторы раскрывают преимущества миросистемного подхода посредством его сравнения с парадигмой политического реализма в теории международных отношений. Они указывают на границы парадигмы политического реализма, которая оперирует на уровне понятий «государство» и «международные коалиции», а явление терроризма включает в себя структуры на уровне групп и организаций. Миросистемный подход позволяет увидеть терроризм как антисистемное движение, порождаемое противоречиями развития самой системы, различать просистемный и антисистемный терроризм, проводить анализ данного явления на всех социетальных уровнях. Одним из существенных достоинств миросистемного подхода является его способность аккумулировать разные подходы и смежные дисциплины в целях описания динамики современных обществ. В своих теоретических построениях авторы опираются на типологию террористических организаций О. Лизардо и А. Бергесена, а также на концепцию волн терроризма Д. Раппорта. Они проводят критический анализ типологии терроризма О. Лизардо, А. Бергесена и отмечают, что данная типология помогает увидеть структурный источник (ядро, полупериферия, периферия) и основную структурную цель террористических организаций, однако оставляет за рамками такое явление, как государственный терроризм.Результаты и обсуждение. В статье описывается терроризм в его взаимосвязи с процессами в миросистеме на разных социетальных уровнях. На супермакроуровне описаны миросистемные условия возникновения волн террористической активности, указаны связи терроризма с борьбой за установление глобального порядка. На макроуровне (уровне политического противостояния за установление некоторой формы порядка внутри государства) авторы исследуют различия терроризма в «закрытых» и «открытых» обществах, отмечают связь всплесков террористической активности с процессом перехода от «закрытого» состояния к «открытому» и наоборот. Связь терроризма с процессами периферизации обществ рассматривается как явление мезоуровня. Такой терроризм, как правило, локальный и вдохновлен национально-освободительными лозунгами обществ внутренних периферий. Авторы считают, что борьба с государством здесь может идти и за суверенитет, и за спорные территории. К мезоуровню в статье относится деятельность террористических организаций, направленная на мигрантов – выходцев из внешних периферий. Авторы отмечают, что предметом исследований терроризма на микроуровне является, как правило, личность террориста.Заключение. Использование миросистемного подхода при рассмотрении терроризма видится перспективным и позволяет рассмотреть структурные взаимосвязи, недоступные другим подходам. Авторы выражают надежду, что междисциплинарные возможности миросистемного подхода, его методологический потенциал сможет составить надежные основания последующих исследований терроризма как одного из средств нелегитимного политического насилия в современном мире.