State Building. Governance and World Order in the Twentieth-First Century
In: Relacoes Internacionais, Heft 4, S. 196
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In: Relacoes Internacionais, Heft 4, S. 196
In: DGKSP-Diskussionspapiere 2022, April
Die militärische Lage im Ukraine-Konflikt vs. geostrategischer Informationskrieg ○ Einordnung eines komplexen Krieges in globaler Dimension; ○ Dokumentation (dt. Übers.): • Meinung aus Paris und Chikago zur militärischen Lage in der Ukraine; • Meinung aus Moskau, Redaktion 'MOST' zur Anfangsperiode des bewaffneten Ukraine-Konflikts (März 2022); • Strategie zur Wiedereingliederung Krim–Sewastopol in die Ukraine (2021); ○ Sämtliche Textoriginale (russ., franz., ukr.).:Die militärische Lage im Ukraine-Konflikt vs. geostrategischer Informationskrieg - Global Governance im Diskurs (VII) ○ Vorwort von Rainer Böhme und Wilfried Schreiber: Einordnende Vorbemerkungen über einen komplexen Krieg in globaler Dimension. ○ Dokumentation • Beitrag Jacques Baud, Paris: Die militärische Lage in der Ukraine (Übers. a.d. Französ.: Rainer Böhme); • Beitrag Jacques Baud, Paris/Chicago: Aktuelle Information zur militärischen Lage in der Ukraine vom 25. März 2022' (Übers. a.d. Französ.: Rainer Böhme); • Beitrag Redaktion MOST, Moskau: Ein durchdachter 'Plan B' für den Ukraine-Krieg' (Übers. a.d. Russ.: Rainer Böhme); • Strategie zur Beendigung des Besatzungsregimes und Wiedereingliederung der vorübergehend besetzten Territorien der Autonomen Republik Krim und der Stadt Sewastopol' (2021) – Bestätigt durch Präsident W. Selenskij mit Erlass №117/2021 vom 24. März 2021. (Übersetzt a.d. Ukrainischen von Rainer Böhme). ○ Textoriginale: • Beitrag (franz.) Jacques Baud, 'Militär. Lage Ukraine' vom 14. März 2022; • Beitrag (franz.) Jacques Baud, 'Aktuelle militär. Lage Ukraine' vom 28. März 2022; • Beitrag (russ.) Redaktion Zeitschrift 'MOST', 'Plan B' vom 30. März 2022; • Strategie Krim–Sewastopol-Wiedereingliederung' Präs.-Erlass №117/2021 (ukr.) vom 24. März 2021.
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In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 1, S. 199-200
ISSN: 0032-342X
In: Revue française de science politique, Band 64, Heft 2, S. 349-350
ISSN: 0035-2950
In: Revue française de science politique, Band 64, Heft 6, S. 1263-1264
ISSN: 0035-2950
In: Revue de l'Union Européenne, Heft 556
ISSN: 0035-2616
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 360, Heft 2, S. 59-78
ISSN: 2410-9231
Résumé L'Amérique et l'Europe sont face à d'importants défis en matière de compétitivité et de solidarité. Le crash financier a conduit au secours de banques, entreprises et dettes souveraines, mais les économies sont embourbées dans la perspective d'une longue récession, et les gouvernements reportent ajustements et réformes structurelles. Dans cet article sont analysés les déficits jumeaux américains, les quadruples déficits européens ainsi que les politiques à ce sujet. Les déséquilibres globaux ont tourné en déséquilibres européens. Les déficits européens en emploi, en compétitivité et en gouvernance économique ont favorisé les déficits extérieur et public, et prolongent la récession et ses coûts. Dans une zone monétaire non optimale, comme celle de l'euro, la performance économique est en rapport à la capacité d'être compétitif. La compétitivité, ainsi que la productivité et la qualité de la régulation qui sont à sa base, apparaissent alors comme le principal défi. Il existe un fort besoin de stabilisation, de réformes et de plus d'Europe. Aux États-Unis, malgré une gouvernance économique bien moins complexe ou plus développée que celle de l'Union européenne, le doute est important sur la capacité de maintenir la relance et renouer avec la croissance sans d'importants rééquilibrages. Dès lors, sur les deux rives de l'Atlantique, toutes les conditions sont données pour une longue récession.
Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation offre l'occasion de voyager dans les rouages complexes de la décentralisation et de l'action publique locale, et d'observer la " fabrique " des territoires autour d'un enjeu économique, social et environnemental localisé. En ce sens, déplacer la focale vers la société civile s'avère une perspective prometteuse, pour déceler la contribution des pratiques d'usagers et des relations de solidarités au renouvellement de l'action publique territorialisée.
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Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation ...
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Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation ...
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Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation offre l'occasion de voyager dans les rouages complexes de la décentralisation et de l'action publique locale, et d'observer la " fabrique " des territoires autour d'un enjeu économique, social et environnemental localisé. En ce sens, déplacer la focale vers la société civile s'avère une perspective prometteuse, pour déceler la contribution des pratiques d'usagers et des relations de solidarités au renouvellement de l'action publique territorialisée.
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Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation ...
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In: Politique africaine, Band 117, Heft 1, S. 127-148
Secteur minier, décentralisation et pouvoir étatique au Sénégal : un modèle de gouvernance? Cet article analyse l'économie politique du secteur minier et du processus de décentralisation au Sénégal. Dans les deux cas, l'État a confié sa responsabilité en matière de développement aux acteurs locaux, sans leur transférer ni les ressources matérielles ni l'autorité nécessaires. Cette contradiction se résout dans la mise en place de connexions entre espaces locaux et globaux, qui transforment radicalement le rapport de l'État à sa population. Ces reconfigurations du pouvoir d'État sont intimement liées aux changements idéologiques et institutionnels associés à la globalisation néolibérale.
Introduction to the thematic file on "Employee shareholding and corporate governance" in different countries of the European Union. ; International audience ; Introduction to the thematic file on "Employee shareholding and corporate governance" in different countries of the European Union. ; Article d'introduction du dossier thématique consacré à "L'actionnariat salarié et gouvernance de l'entreprise" dans différents pays de l'Union Européenne.
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