Changing welfare states
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 3, S. 200-201
ISSN: 0032-342X
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In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 3, S. 200-201
ISSN: 0032-342X
In: Cahiers du féminisme, Band 79, Heft 1, S. 44-45
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Band 6, Heft 2, S. 93
ISSN: 1950-6708
Since the late 1980s, US social assistance has changed. The rise in charge of the tax credit, EITC (Earned Income Tax Credit) 1, which combines entitlement to state aid with the duty to work, triggered the transition from Welfare to Workfare. The vote of the Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act (PRWORA) on 22 August 1996 endorsed this transition. The foundations of social assistance have been upset, Bill Clinton calling for the end of the Welfare as we know it. Social measures, some dating back to the 1930s, have given way to others, which require beneficiaries to be involved in the labour market. Ten years after its vote, there is controversy over the state of play of the new arrangements. Some see these welfare state guidelines as the cornerstone of an effective anti-poverty policy. Others are more sceptical about the perverse effects of a social policy that leaves people out of work and whose good performance depends on the dynamism of the labour market. This debate opens up avenues for reflection for France (.). ; Depuis la fin des années 1980, l'aide sociale américaine a changé. La montée en charge du crédit d'impôt, EITC (Earned Income Tax Credit)1, qui associe le droit à l'aide publique au devoir de travailler, a enclenché le passage du Welfare au Workfare. Le vote du Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act (PRWORA), le 22 août 1996, a entériné cette transition. Les fondements de l'aide sociale ont été bouleversés, Bill Clinton en appelant à la fin du Welfare traditionnel (" The end of the Welfare as we know it "). Les dispositifs sociaux, qui pour certains dataient des années 1930, ont laissé place à d'autres, qui exigent des bénéficiaires une implication sur le marché du travail. Dix ans après son vote, le bilan du nouveau dispositif est l'objet de controverses. Certains voient dans ces orientations de l'État providence la clé de voûte d'une politique efficace de lutte contre la pauvreté. D'autres, plus sceptiques, dénoncent les effets pervers d'une ...
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In: Revue française de science politique, Band 32, Heft 4, S. 703-719
ISSN: 1950-6686
La faveur de l'opinion publique britannique pour une sorte de Welfare State, attestée par les sondages Gallup des années 1940, a poussé les conservateurs à accepter, pour l'essentiel, les mesures travaillistes de l'après-guerre. Les attentes de l'opinion ont été satisfaites en matière d'emploi, d'aide sociale et surtout de santé, beaucoup moins en matière de logement. Le Welfare State, en revanche, marque un certain retard sur l'opinion s'agissant de la condition féminine et de la famille.
In: Revue d'économie politique, Band 121, Heft 1, S. 59-72
ISSN: 2105-2883
Comparer le bien-être d'économies émergentes Des économies qui ont les mêmes capacités productives peuvent mettre en œuvre des taux de croissance différents. Ceci implique qu'il est insuffisant de baser les comparaisons internationales de bien-être seulement sur le bien-être courant, ou d'introduire le potentiel de croissance future d'une façon arbitraire. Les mesures de type PNN (produit national net) tiennent compte du bien-être courant et du potentiel de croissance d'une façon cohérente. Cet article montre qu'il est important de savoir si différents taux de croissance dans des économies différentes sont dus à des opportunités techniques différentes ou bien à des préférences sociales différentes pour le développement. L'analyse illustre la similitude entre les comparaisons internationales de bien-être et les comparaisons interpersonnelles de bien-être.
In: Revue européenne des migrations internationales: REMI, Band 2, Heft 3, S. 135-150
ISSN: 1777-5418
Los inmigrantes originarios de Bangladesh en Londres : Las concentración residencial, desafio a los politicos en materia de salud y de ayuda social.
S. E. CURTIS. P. E. OGDEN
Los inmigrantes originarios de Bangladesh establecidos en Gran Bretaña son una proporción relativamente limitada de la populación procedente del Nuevo Commonwealth. Sin embargo, constituyen un grupo extremamente distintivo, particularmente por su concentración geográfica en ciertos barrios de Londres. Esta ponencia tiene dos propósitos : primero, apoyándose en los datos del censo de 1981, de trazar la distribución de estos inmigrantes en el contexto national y dentro de la región de Londres ; segundamente, de examinar algunas de las consecuencias de dicha concentración para el suministro de servicios sociales, especialmente de servicios médicos, en uno de los distritos más pobres de Londres.
In: Revue française de science politique, Band 32, Heft 4, S. 730-742
ISSN: 1950-6686
Dix ans après la mise en place du Welfare State par le gouvernement travailliste de l'après-guerre, les observateurs qualifient volontiers de «société d'abondance» la Grande-Bretagne des années cinquante. Des voix discordantes s'élèvent pourtant, dans des revues qui deviennent rapidement la voix d'un mouvement plus large, la «nouvelle gauche». Les inégalités et la pauvreté n'ont pas disparu, et le Welfare State ne peut pas être considéré comme une étape décisive vers une transformation socialiste de la société: c'est ce que la «nouvelle gauche» cherche à démontrer en examinant les réalisations du Welfare State dans les domaines du logement, de l'éducation, de la santé et de la lutte contre la pauvreté, et dans le financement même de ces mesures. Au mieux, le Welfare State ne peut qu'être la manifestation d'un capitalisme amélioré.
Depuis la fin des années 1980, l'aide sociale américaine a changé. La montée en charge du crédit d'impôt, EITC (Earned Income Tax Credit)1, qui associe le droit à l'aide publique au devoir de travailler, a enclenché le passage du Welfare au Workfare. Le vote du Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act (PRWORA), le 22 août 1996, a entériné cette transition. Les fondements de l'aide sociale ont été bouleversés, Bill Clinton en appelant à la fin du Welfare traditionnel (" The end of the Welfare as we know it "). Les dispositifs sociaux, qui pour certains dataient des années 1930, ont laissé place à d'autres, qui exigent des bénéficiaires une implication sur le marché du travail. Dix ans après son vote, le bilan du nouveau dispositif est l'objet de controverses. Certains voient dans ces orientations de l'État providence la clé de voûte d'une politique efficace de lutte contre la pauvreté. D'autres, plus sceptiques, dénoncent les effets pervers d'une politique sociale qui laisse de côté des personnes inemployables et dont les bons résultats dépendent du dynamisme du marché du travail. Ce débat permet d'ouvrir des pistes de réflexion pour la France (.).
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