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This book serves three basic purposes: (1) a tutorial-type reference for complex systems engineering (CSE) concepts and associated terminology, (2) a recommendation of a proposed methodology showing how the evolving practice of CSE can lead to a more unified theory, and (3) a complex systems (CSs) initiative for organizations to invest some of their resources toward helping to make the world a better place. A wide variety of technical practitioners--e.g., developers of new or improved systems (particularly systems engineers), program and project managers, associated staff/workers, funders and overseers, government executives, military officers, systems acquisition personnel, contract specialists, owners of large and small businesses, professional society members, and CS researchers--may be interested in further exploring these topics. Readers will learn more about CS characteristics and behaviors and CSE principles and will therefore be able to focus on techniques that will better serve them in their everyday work environments in dealing with complexity. The fundamental observation is that many systems inherently involve a deeper complexity because stakeholders are engaged in the enterprise. This means that such CSs are more difficult to invent, create, or improve upon because no one can be in total control since people cannot be completely controlled. Therefore, one needs to concentrate on trying to influence progress, then wait a suitable amount of time to see what happens, iterating as necessary. With just three chapters in this book, it seems to make sense to provide a tutorial introduction that readers can peruse only as necessary, considering their background and understanding, then a chapter laying out the suggested artifacts and methodology, followed by a chapter emphasizing worthwhile areas of application.

Nous allons examiner dans cet article quelques-uns des enjeux des pratiques sociales du réseau Internet en lien avec les formes prises par la démocratie dans un contexte marqué par la globalisation du capitalisme et par la transformation de l'État. Pour ce faire, nous aborderons le réseau informatique en considérant celui-ci comme un lieu d'échanges communicationnels puis comme un lieu de diffusion d'informations susceptibles d'être mobilisés par les composantes de la société civile. Nous conclurons que le rôle d'Internet à des fins politiques dépend non seulement de la configuration sociotechnique de celui-ci, mais aussi du contexte sociohistorique dans lequel il prend place.

Les prestations familiales sont d'une rare complexité. Dotées de multiples objectifs, elles ont des impacts, pas toujours aisément repérables, sur des domaines éloignés du fait familial. Par ailleurs, leur nombre, leurs règles d'attribution et de calcul, opaques à force de foisonnement, rendent le système illisible. Les familles ne le comprennent plus, ce qui risque à terme d'avoir des effets dévastateurs sur la cohésion sociale. Il est donc impératif de le simplifier. En même temps, l'idéal d'un système de prestations qui soit d'une extrême simplicité et à caractère purement familial, non seulement est illusoire, mais aussi dangereux car il perturberait profondément l'efficacité, l'équité et la cohérence de la politique sociale. C'est donc sur une voie moyenne qu'il faut s'engager, réformer le système en en gommant la complication pour rendre visibles et lisibles ses diverses composantes et leurs modes d'articulation.

Les problèmes qui ont motivé la théorie et la pratique de la bioéthique dans les années 1960 et 1970 ont changé de nature. Les enjeux en bioéthique relèvent désormais de macro problèmes complexes, interreliés, qui touchent à la fois des populations entières et de nombreuses institutions sociales. L'auteure nous invite à une exploration méthodologique en bioéthique permettant de faire ressortir la complexité d'enjeux éthiques tels que l'euthanasie, le clonage et le commerce du gène et nous propose des moyens d'aborder cette complexité. Les écrits d'Edgar Morin sur la méthode et la complexité gu

La société technicienne dans laquelle nous vivons tend à faire de l'accès du plus grand nombre à l'information, si possible en temps réel, et à la connexion au réseau, qu'il soit informatique ou social, la condition nécessaire et suffisante de la connaissance et de l'autonomie. Or la littérature, parce qu'elle introduit une relation à l'autre et ne se limite pas à une conception strictement utilitariste du langage, invite à une pensée complexe du monde et de nous-mêmes. Elle n'a donc jamais été aussi nécessaire.

On montre comment un procédé machinal basé sur la répétition cyclique de quatre lettres ijkl à la machine à écrire ou de signes sténographiques correspondants pour le travail à la main rend possible de calculer en évitant la servitude et la fatigue que nous impose la nécessité de nous rappeler par cœur la table de Pythagore.