OMC et Union européenne
In: Revue politique et parlementaire, Volume 105, Issue 1022, p. 105-112
ISSN: 0035-385X
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In: Revue politique et parlementaire, Volume 105, Issue 1022, p. 105-112
ISSN: 0035-385X
In: Politique européenne, Volume 67-68, Issue 1, p. 158-186
ISSN: 2105-2875
L'article analyse les réformes des cadres formels de l'action parlementaire dans le domaine des affaires européennes à l'Assemblée nationale et au Bundestag depuis 1979. Il met en lumière une évolution qui peut paraître surprenante : les pratiques parlementaires nationales ne jouent que très tard un rôle de modèle pour ces réformes. Jusqu'au début des années 2000, celles-ci étaient le fruit de visions idéologiques et de querelles de pouvoir auxquelles les affaires européennes servaient de champs de bataille. Les experts du quotidien dans le domaine européen ne deviennent des protagonistes 'typiques' de la préparation des réformes qu'après l'augmentation importante de la législation européenne au cours des années 1990.
In: Romanian journal of international affairs, Volume 2, Issue 4, p. 3-240
ISSN: 1224-0958
Iliescu, I.: Romania and the European integration. - S. 3-5. Berindei, D.: Les Roumains et l'Europe au cours de l'histoire. - S. 6-11. Ene, C.: Accession to the European Union: Concepts and procedures. - S. 12-18. Nastase, A.: The parliamentary dimension of the European integration. - S. 19-25. Melescanu, T.: The accession to the European Union: The fundamental option of Romania's foreign policy. - S. 26-30. Prisacaru, G.: The national strategy preparing Romania's accession to the European Union. - S. 31-55. Radocea, A.: Economic revival - perequisite of Romania's integration into European structures. - S. 56-82. Georgescu, F.: Economic and financial reform - premise for Romania's partenerial integration into the European Union. - S. 83-99. Isarescu, M.:Monetary and banking reform in Romania and European integration. - S. 100-112. Comanescu, L.: The structured dialogue and the preparation of the associated countries of Central Europe for accession into the European Union. - S. 113-118. Popescu, D.: La strategie du developpement de l'industrie dans le processus de preparation de l'adhesion de la Roumanie a l'Union europeenne. - S. 119-134. Rauta, C.: L'impact de l'adhesion a l'Union europeenne sur l'agriculture de la Roumanie. - S. 135-142. Mihailescu, S.: European integration and directions of transport re-structuring. - S. 143-152. Constantinescu, V.: The Romanian Academy, its research strategy and the integration of Romania into the European Union. - S. 153-163. Berinde, M.: The European agreement - an important stage in the development of mutual trade relations. - S. 164-172. Guran, M.: A strategy towards setting up a national information infrastructure. - S. 173-180. Jelev, I.: Environmental issues in Romania and its European integration. - S. 181-192. Idu, N.: European Union PHARE assistance programme: An important support t prepare Romania for accession. - S. 193-215. Duhaneanu, S.: Le trinome cooperation-creativite-competitivite dans l'actuel environnement concurrentiel du marche europeen et international. - S. 216-234
World Affairs Online
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 370, Issue 4, p. 171-181
ISSN: 2410-9231
Crise dans la zone euro et l'annexion russe de la Crimée a relancé les discussions sur la pertinence du modèle d'intégration européenne aujourd'hui. En particulier: comment relancer, les valeurs européennes encore valides en sortant de l'impasse Économique; comment assurer une prévoyance sous la pression des difficultés à court terme tout en évitant la perte infondée – mais compréhensible – de confiance dans l'avenir du projet européen parmi les élites et parmi certaines parties de la population dans la plupart d' anciens pays membres et, enfin, comment prévenir la désillusion des nouveaux États membres de l'UE, toujours très favorable à l'intégration européenne. Le subissant de la solidarité européenne montre que l'UE est arrivée à la croisée des chemins: entre renaissance et de la faillite. Une Europe forte et unie est nécessaire pour maintenir un bon équilibre sur cette scène. Dans les circonstances de l'interdépendance et de la mondialisation croissante, éviter une rivalité destructrice entre les principaux groupes de l'État, ainsi qu'une résolution conjointe des problèmes globaux rencontrés, est une condition préalable à un avenir de paix et de bien-être de la planète. L'Europe rajeuni devrait prendre une part de responsabilité envers ses citoyens, et dans le même temps, la société internationale devrait continuer avec l'intégration croissante et la réaffirmation de ses valeurs qui ont amené et gardé les pays européens ensemble tout en renforçant l'identité européenne.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Volume 79, Issue 4, p. 229
ISSN: 0032-342X
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Issue 2, p. 195-196
ISSN: 0032-342X
In: Revue française de science politique, Volume 62, Issue 1, p. 140-143
ISSN: 0035-2950
In: Swiss political science review: SPSR = Schweizerische Zeitschrift für Politikwissenschaft = Revue suisse de science politique, Volume 9, Issue 3, p. 164-166
ISSN: 1424-7755
In: Politique européenne, Volume 36, Issue 1, p. 194-197
ISSN: 2105-2875
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 364, Issue 2, p. 59-90
ISSN: 2410-9231
Résumé Dans cet article, nous étudions : (1) la qualité de la régulation dans les nouveaux États membres de l'Union européenne, leurs composants, leurs dynamiques et leurs lacunes ; (2) l'impact de l'Union européenne dans le développement d'un système de gouvernance multiniveaux, qui favorise la qualité de la régulation ; et (3) les liens entre la qualité de la régulation et la compétitivité et la performance. Les principales constatations sont que les nouveaux États membres de l'union européenne (1) ont eu de meilleurs résultats dans la qualité de la gouvernance que dans les performances sociales ou dans la qualité de la régulation économique ; (2) montrent un rapprochement dans la convergence entre eux et les plus anciens états membres ; et (3) ont eu une large marge de manœuvre pour européaniser l'environnement des entreprises et pour améliorer leur compétitivité. Pour de nombreux pays l'Europe est un socle pour la mise en œuvre de la démocratie, de l'état de droit et de la compétitivité. Elle garantit des standards de qualités minimaux et limite l'interventionnisme. Ainsi il y a un grand intérêt pour les nouveaux États membres à avoir adopté l'Union et ses acquis. Il y a un besoin d'Europe.
In: Revue française de science politique, Volume 60, Issue 5, p. 1047-1049
ISSN: 0035-2950
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 349 - 350, Issue 3, p. 147-157
ISSN: 2410-9231
Résumé Cet article traitera des problèmes clés de la voie à l'adhésion à l'UE depuis 2000. Il se base essentiellement sur des rapports de la Commission sur la Serbie. Le processus de rapprochement de la Serbie avec l'UE, a commencé après la décision de l'UE d'ouvrir des négociations sur un Accord de Stabilisation et Association (ASA) en octobre 2005. Néanmoins, les négociations entre la Serbie et l'UE sur l'ASA ont été stoppées par la Commission en mai 2006 après les mauvais résultats de la coopération serbe avec le Tribunal Pénal Internationale pour l'ex-Yougoslavie. Elles ont repris en juin 2007, un mois après la formation d'un gouvernement de coalition en Serbie, comprenant le Parti démocratique, le Parti démocratique de Serbie et le G17+. Les négociations ont été finalisées en septembre 2007. Cependant, les relations diplomatiques entre Serbie et UE se sont de nouveau dégradées début 2008 après que l'indépendance du Kosovo fut reconnue le 17 février 2008 par la majorité des états membres de l'UE. La Serbie décida de rappeler ses ambassadeurs de tous les pays ayant reconnu cette indépendance. La décision des États membres reconnaissant l'indépendance du Kosovo provoqua une vague d'euroscepticisme ce qui a eu une influence négative sur l'attitude de certaines parties politique en Serbie par rapport à l'Accord de Stabilisation et Association (ASA). De plus, l'UE a hésité à signer l'Accord de Stabilisation et Association avec la Serbie, insistant sur une pleine coopération avec le TPIY, c'est-à-dire l'extradition de tous les suspects de crimes de guerre restants. Cet article rappellera brièvement les éléments les plus importants des relations économiques et politiques de la Serbie et l'UE de 2000 à 2008. Il analysera en autre, les évaluations de la Commission sur les résultats de la mise en place des critères européens durant cette période. Il se concentrera sur la réforme des institutions et du système judiciaire, les droits de l'homme, les réformes économiques et la lutte contre la corruption et le crime organisé en Serbie.
In: Politique européenne, Volume 30, Issue 1, p. 187-224
ISSN: 2105-2875
Identité et citoyenneté européennes dans trois « Eurocités ». Une approche sociologique de l'Union Européenne. Ce texte complète le livre Eurostars and Eurocities dans lequel sont analysées les pratiques et les sentiments de ceux qu'on peut considérer comme l'archétype des nouveaux Européens, à savoir, les Européens mobiles partis s'installer dans un autre pays de l'UE. La recherche repose notamment sur soixante entretiens avec des résidents des trois points centraux de la mobilité européenne que sont les trois « Eurocités » : Amsterdam, Londres et Bruxelles. L'article analyse les opinions sur l'Europe de ceux qui sont partis, le plus souvent dans le désir d'échapper au cadre étroit de leur nation d'origine. Il montre la faible consistance des attitudes des Eurostars à l'égard de l'UE, qui contraste avec la réalité de l'usage intensif qui est le leur des possibilités nouvelles qu'elle offre à ses citoyens. Sauf pour ce qui touche aux droits politiques ouverts par le Traité de Maastricht : les Eurostars ne votent pas dans les villes où ils sont installés, et s'ils s'intéressent à la politique, c'est pour la majorité d'entre eux celle de leur pays d'origine. C'est dans leur vie quotidienne, en tant que consommateurs, voisins, usagers des services publics locaux et entrepreneurs culturels qu'ils exercent leur citoyenneté européenne. C'est ainsi qu'ils légitiment le projet européen, plutôt qu'en développant une soi-disant « identité européenne », mettant ainsi en question le fameux « déficit démocratique » de l'Union européenne.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Issue 1, p. 217-218
ISSN: 0032-342X
In: Politique européenne, Volume 37, Issue 2, p. 178-182
ISSN: 2105-2875