Psychology, Politics, and Hegetology
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique, Band 13, Heft 4, S. 675-690
Abstract
Jusqu'à récemment, l'aspect le plus négligé de la science politique a été la psychologie. Malgré les emprunts que les politicologues ont fait à d'autres disciplines telles laphilosophie, le droit, l'histoire et la sociologie, ils n'ont tenu aucun compte de la psychologie jusqu'après la deuxième guerre mondiale. Depuis tors, les politicologues américains ont abordè le domaine avec enthousiasme mais les canadiens traînent toujours loin derrière. Aux Etats-Unis, la psychanalyse a apporté une contribution importante aux études politiques et des travaux de grande portée ont été réalisés dans les domaines de la personnalité et des attitudes, dans celui de la perception qu'ont les enfants de la politique, dans les affaires internationales, les besoins humains et le leadership.L'étude du leadership peut également être coiffé du titre d'« hégétologie ». Aux Etats-Unis, c'est devenu un sous-champ de la science politique couvrant une variété de sujets. Au Canada, le travail est à peine amorcé. Malgré que l'hégétologie soil un domaine légitime d'étude politique, cen'est pas encore une science. Les preuves empiriques sont de qualité inégale et dispersée et il est bien difficile de faire des prédictions justes. L'avenir le plus prometteur de la recherche en hégétologie repose sur la coopération interdisciplinaire.
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