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Seit den 1990er Jahren erlebt Kinshasa eine Welle der Gewalt, die sich vor allem durch Kämpfe von Jugendbanden manifestiert. Der Autor versucht mit seiner kultursoziologischen Studie den Ursachen der Gewalt nachzugehen. Er stellt ausgewählte Jugendliche vor, analysiert ihre soziale Situation und beschreibt ihr Verhalten gegenüber anderen Jugendlichen und der übrigen Bevölkerung. Es entsteht ein differenziertes Bild verschiedener gewaltbereiter Jugendgruppen und von den Ursachen von Gewalt. (GIGA-Sbd)

International audience ; Intérêt scientifique partagé par un certain nombre de chercheurs, dans la mesure où ces cadres sont observés dans leur mise en application dans les territoires et par le biais des réactions et adaptations qu'ils suscitent de la part des groupes sociaux et acteurs locaux. Notre questionnement était alors de savoir si les normes environnementales, dans leurs dimensions réglementaires et techniques, font sens pour les acteurs locaux impliqués dans la gestion ou la préservation des espaces ou des ressources (I). Ce faisant, nous interrogeons aussi la capacité des acteurs à s'approprier ces normes, voire à en produire d'autres, et surtout à les mobiliser dans le cadre de controverses d'aménagement et d'environnement (II). Il reste que si l'application des normes s'inscrit souvent dans des périmètres et zonages, les rapports sociaux à l'espace local ne sont pas pris en compte dans leur mise en oeuvre, contrairement aux considérations techniques et économiques (III). Dans les interventions supports de cette réflexion (cf. encart ci-dessous), les types et les niveaux de normes évoqués sont hétérogènes, et le défi de cette tentative de compte rendu est bien de faire dialoguer ces différents niveaux d'appréhension, relatifs à des approches distinctes plus encore qu'à des approches disciplinaires différentes (sociologie, droit, aménage-ment, géographie…). L'objet de cet article est de livrer un compte rendu a posteriori, subjectif et dédisciplinarisé du séminaire tenu dans le cadre des séminaires d'ESO-Rennes sur les normes environnementales. L e groupe séminaire ESO-Rennes avait pro-posé en juin 2013 que soit posée une question relative au contexte de l'action publique en matière environnementale. L'environnement doit être compris au sens large non seulement comme l'ensemble des éléments composant le milieu physico-naturel, mais aussi comme le cadre de vie construit des sociétés. Or, dans des domaines aussi variés que l'urbanisme, les paysages ou les services urbains, la référence à des règles ...

International audience ; Intérêt scientifique partagé par un certain nombre de chercheurs, dans la mesure où ces cadres sont observés dans leur mise en application dans les territoires et par le biais des réactions et adaptations qu'ils suscitent de la part des groupes sociaux et acteurs locaux. Notre questionnement était alors de savoir si les normes environnementales, dans leurs dimensions réglementaires et techniques, font sens pour les acteurs locaux impliqués dans la gestion ou la préservation des espaces ou des ressources (I). Ce faisant, nous interrogeons aussi la capacité des acteurs à s'approprier ces normes, voire à en produire d'autres, et surtout à les mobiliser dans le cadre de controverses d'aménagement et d'environnement (II). Il reste que si l'application des normes s'inscrit souvent dans des périmètres et zonages, les rapports sociaux à l'espace local ne sont pas pris en compte dans leur mise en oeuvre, contrairement aux considérations techniques et économiques (III). Dans les interventions supports de cette réflexion (cf. encart ci-dessous), les types et les niveaux de normes évoqués sont hétérogènes, et le défi de cette tentative de compte rendu est bien de faire dialoguer ces différents niveaux d'appréhension, relatifs à des approches distinctes plus encore qu'à des approches disciplinaires différentes (sociologie, droit, aménage-ment, géographie…). L'objet de cet article est de livrer un compte rendu a posteriori, subjectif et dédisciplinarisé du séminaire tenu dans le cadre des séminaires d'ESO-Rennes sur les normes environnementales. L e groupe séminaire ESO-Rennes avait pro-posé en juin 2013 que soit posée une question relative au contexte de l'action publique en matière environnementale. L'environnement doit être compris au sens large non seulement comme l'ensemble des éléments composant le milieu physico-naturel, mais aussi comme le cadre de vie construit des sociétés. Or, dans des domaines aussi variés que l'urbanisme, les paysages ou les services urbains, la référence à des règles ...

International audience ; Intérêt scientifique partagé par un certain nombre de chercheurs, dans la mesure où ces cadres sont observés dans leur mise en application dans les territoires et par le biais des réactions et adaptations qu'ils suscitent de la part des groupes sociaux et acteurs locaux. Notre questionnement était alors de savoir si les normes environnementales, dans leurs dimensions réglementaires et techniques, font sens pour les acteurs locaux impliqués dans la gestion ou la préservation des espaces ou des ressources (I). Ce faisant, nous interrogeons aussi la capacité des acteurs à s'approprier ces normes, voire à en produire d'autres, et surtout à les mobiliser dans le cadre de controverses d'aménagement et d'environnement (II). Il reste que si l'application des normes s'inscrit souvent dans des périmètres et zonages, les rapports sociaux à l'espace local ne sont pas pris en compte dans leur mise en oeuvre, contrairement aux considérations techniques et économiques (III). Dans les interventions supports de cette réflexion (cf. encart ci-dessous), les types et les niveaux de normes évoqués sont hétérogènes, et le défi de cette tentative de compte rendu est bien de faire dialoguer ces différents niveaux d'appréhension, relatifs à des approches distinctes plus encore qu'à des approches disciplinaires différentes (sociologie, droit, aménage-ment, géographie…). L'objet de cet article est de livrer un compte rendu a posteriori, subjectif et dédisciplinarisé du séminaire tenu dans le cadre des séminaires d'ESO-Rennes sur les normes environnementales. L e groupe séminaire ESO-Rennes avait pro-posé en juin 2013 que soit posée une question relative au contexte de l'action publique en matière environnementale. L'environnement doit être compris au sens large non seulement comme l'ensemble des éléments composant le milieu physico-naturel, mais aussi comme le cadre de vie construit des sociétés. Or, dans des domaines aussi variés que l'urbanisme, les paysages ou les services urbains, la référence à des règles formelles et légales organise le champ des possibles, notamment en fonction des directives européennes et des lois nationales. Parmi ces règles, les normes (de qualité, de constructibilité, d'usages, de composition…) jouent un rôle central, en produisant de notre point de vue des définitions de ce qui est « beau, vrai ou bon ». Les règles normatives ont pour ambition de représenter un « idéal éthique », un appel à la « responsabilité « écocitoyenne » de tous les acteurs », et doivent atteindre un « certain degré d'universalité » (Roy, 2013). Dans le domaine de l'environnement, ces normes sont complexes à appréhender car elles relèvent de multiples cadrages, renvoyant à des connaissances spécifiques (écologiques, biologiques, sanitaires, économiques), à différents régimes (propriété privée, intérêt public), à différents contextes (risque, gestion quotidienne etc.), et à des enjeux de portées différentes (publics, professionnels, locaux, mais égale-ment nationaux, voire internationaux) (Mormont, Mougenot et Dasnoy, 2006).

International audience ; Intérêt scientifique partagé par un certain nombre de chercheurs, dans la mesure où ces cadres sont observés dans leur mise en application dans les territoires et par le biais des réactions et adaptations qu'ils suscitent de la part des groupes sociaux et acteurs locaux. Notre questionnement était alors de savoir si les normes environnementales, dans leurs dimensions réglementaires et techniques, font sens pour les acteurs locaux impliqués dans la gestion ou la préservation des espaces ou des ressources (I). Ce faisant, nous interrogeons aussi la capacité des acteurs à s'approprier ces normes, voire à en produire d'autres, et surtout à les mobiliser dans le cadre de controverses d'aménagement et d'environnement (II). Il reste que si l'application des normes s'inscrit souvent dans des périmètres et zonages, les rapports sociaux à l'espace local ne sont pas pris en compte dans leur mise en oeuvre, contrairement aux considérations techniques et économiques (III). Dans les interventions supports de cette réflexion (cf. encart ci-dessous), les types et les niveaux de normes évoqués sont hétérogènes, et le défi de cette tentative de compte rendu est bien de faire dialoguer ces différents niveaux d'appréhension, relatifs à des approches distinctes plus encore qu'à des approches disciplinaires différentes (sociologie, droit, aménage-ment, géographie…). L'objet de cet article est de livrer un compte rendu a posteriori, subjectif et dédisciplinarisé du séminaire tenu dans le cadre des séminaires d'ESO-Rennes sur les normes environnementales. L e groupe séminaire ESO-Rennes avait pro-posé en juin 2013 que soit posée une question relative au contexte de l'action publique en matière environnementale. L'environnement doit être compris au sens large non seulement comme l'ensemble des éléments composant le milieu physico-naturel, mais aussi comme le cadre de vie construit des sociétés. Or, dans des domaines aussi variés que l'urbanisme, les paysages ou les services urbains, la référence à des règles ...

International audience ; Intérêt scientifique partagé par un certain nombre de chercheurs, dans la mesure où ces cadres sont observés dans leur mise en application dans les territoires et par le biais des réactions et adaptations qu'ils suscitent de la part des groupes sociaux et acteurs locaux. Notre questionnement était alors de savoir si les normes environnementales, dans leurs dimensions réglementaires et techniques, font sens pour les acteurs locaux impliqués dans la gestion ou la préservation des espaces ou des ressources (I). Ce faisant, nous interrogeons aussi la capacité des acteurs à s'approprier ces normes, voire à en produire d'autres, et surtout à les mobiliser dans le cadre de controverses d'aménagement et d'environnement (II). Il reste que si l'application des normes s'inscrit souvent dans des périmètres et zonages, les rapports sociaux à l'espace local ne sont pas pris en compte dans leur mise en oeuvre, contrairement aux considérations techniques et économiques (III). Dans les interventions supports de cette réflexion (cf. encart ci-dessous), les types et les niveaux de normes évoqués sont hétérogènes, et le défi de cette tentative de compte rendu est bien de faire dialoguer ces différents niveaux d'appréhension, relatifs à des approches distinctes plus encore qu'à des approches disciplinaires différentes (sociologie, droit, aménage-ment, géographie…). L'objet de cet article est de livrer un compte rendu a posteriori, subjectif et dédisciplinarisé du séminaire tenu dans le cadre des séminaires d'ESO-Rennes sur les normes environnementales. L e groupe séminaire ESO-Rennes avait pro-posé en juin 2013 que soit posée une question relative au contexte de l'action publique en matière environnementale. L'environnement doit être compris au sens large non seulement comme l'ensemble des éléments composant le milieu physico-naturel, mais aussi comme le cadre de vie construit des sociétés. Or, dans des domaines aussi variés que l'urbanisme, les paysages ou les services urbains, la référence à des règles formelles et légales organise le champ des possibles, notamment en fonction des directives européennes et des lois nationales. Parmi ces règles, les normes (de qualité, de constructibilité, d'usages, de composition…) jouent un rôle central, en produisant de notre point de vue des définitions de ce qui est « beau, vrai ou bon ». Les règles normatives ont pour ambition de représenter un « idéal éthique », un appel à la « responsabilité « écocitoyenne » de tous les acteurs », et doivent atteindre un « certain degré d'universalité » (Roy, 2013). Dans le domaine de l'environnement, ces normes sont complexes à appréhender car elles relèvent de multiples cadrages, renvoyant à des connaissances spécifiques (écologiques, biologiques, sanitaires, économiques), à différents régimes (propriété privée, intérêt public), à différents contextes (risque, gestion quotidienne etc.), et à des enjeux de portées différentes (publics, professionnels, locaux, mais égale-ment nationaux, voire internationaux) (Mormont, Mougenot et Dasnoy, 2006).

[ES] En 1894 Cesar Lombroso va a culminar su determinismo político con la publicación de su libro Gli anarchici. Sin duda la obra del profesor de Turín se convierte, intencionadamente o no, en un eficaz instrumento coercitivo, esgrimido por una pujante clase burguesa, frente a las inquietudes revolucionarias promovidas por la clase obrera en la Europa de finales del siglo xrx g primeras décadas del >ü;. Ciencia y revolución parecían condenadas a enfrentarse. Este aspecto de la doctrina lombrosiana tuvo amplia incidencia en la España finisecular, tesis frente a la cual el movimiento ácrata español reacciono enérgica 7 contundentemente. Por su parte, el movimiento antropológico criminal español se mostró en esta ocasión displicente con los postulados deterministas, oponiéndose a una sociedad oligárquica que acudía al oráculo de la ciencia en demanda de justicia y protección frente al terrorismo anarquista. ; [EN] In 1894 Cesar Lombroso culminated his political determinism with the publication of his book Gli anarchici. The work of this Turin professor undoubtedly became, wheter intentionally or not, an effective coercive instrument, wielded by a powerful borgeois class against the revolutionary anxieties promoted by the working class in Europe at the end of the XIXth century an in the first decades of the XXth century. Science and revolution appeared condemned to confrontation this aspect of Lombrosian doctrine had a widespread influence in the Spain of the turn of the century, theses against which the Spanish acrasy movement reacted vigorously and decisively. For its part the Spanish criminal anthropological movement showed on this occasion its displeasure towards the determinist postulates and in opposition to an oligarchic society which resorted to the oracle of science in demand of justice and protection from anarchic terrorism. ; Peer reviewed

Pour ce numéro anniversaire de terrains & travaux , Élisabeth Claverie et Nicolas Dodier nous livrent leur vision des sciences sociales à partir de leurs parcours et terrains de recherche respectifs : anthropologie des apparitions et de la violence pour Élisabeth Claverie, sociologie de l'expertise et des dispositifs de réparation des victimes pour Nicolas Dodier. À rebours d'un discours pessimiste sur la prétendue crise des sciences sociales, les deux chercheur·e·s nous rappellent ici l'importance du travail de description et d'explication du monde social, tel qu'il se déploie au sein des collectifs scientifiques.