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This article extends the economic-sociological concept of embeddedness to encompass not only social networks of, for example, friendship or kinship ties, but also economic networks of ownership and control relationships. Applying these ideas to the case of digital platform labour pinpoints two possible scenarios. When platforms take the role of market intermediaries, economic ties are thin and workers are left to their own devices, in a form of 'disembeddedness'. When platforms partake in intricate inter-firm outsourcing structures, economic ties envelop workers in a 'deep embeddedness' which involves both stronger constraints and higher rewards. With this added dimension, the notion of embeddedness becomes a compelling tool to describe the social structures that frame economic action, including the power imbalances that characterize digital labour in the global economy.

Models and Methods in Social Network Analysis, first published in 2005, presents the most important developments in quantitative models and methods for analyzing social network data that have appeared during the 1990s. Intended as a complement to Wasserman and Faust's Social Network Analysis: Methods and Applications, it is a collection of articles by leading methodologists reviewing advances in their particular areas of network methods. Reviewed are advances in network measurement, network sampling, the analysis of centrality, positional analysis or blockmodelling, the analysis of diffusion through networks, the analysis of affiliation or 'two-mode' networks, the theory of random graphs, dependence graphs, exponential families of random graphs, the analysis of longitudinal network data, graphical techniques for exploring network data, and software for the analysis of social networks.

A l'aube du deuxième millénaire, les maitres du réseau firent don à l'humanité du " Web 2.0 " et la face du monde en fut changée et tous virent que cela était bon. Chacun put s'exprimer sur ses blogs (Skyblog en France, Blogger et autres), puis diffuser des contenus et les tagger à volonté (delicious et Flickr), puis encore rester en relation avec ses amis, anciens amis, futurs amis, amis des amis dans des réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, Orkut, Viadeo, etc.), poster des vidéos en masse et être célèbre en quelques instants (Youtube), enfin, rester en alerte en permanence pour " suivre " quelqu'un sur le web (Twitter). Les sites web " traditionnels " (ils avaient au moins dix ans déjà, c'est dire !) furent révisés eux-mêmes de fond en comble pour devenir des CMS (Content Management Systems) permettant toutes les contributions et des administrations plus souples. Sans parler de toutes les applications qui permirent de produire des données, des cartes, d'en faire des mash-ups, de produire de nouveaux contenus inédits. Sans oublier le peer-to-peer qui entra dans les mœurs bien au-delà des téléchargements puisqu'il prétendit remplacer rien moins que l'architecture client-serveur classique. Si l'on présente cette liste de changements de cette façon, sur une période de 6 ans quasiment (2000-2006), les changements sont impressionnants et la nouvelle culture à laquelle nous avons affaire n'a plus du tout les mêmes propriétés que celle des années 90 qui avaient pourtant représenté un choc avec l'émergence du Web lui-même. Bref, c'est une nouvelle architecture au sens de Lessig (2001) qui a ainsi fait son apparition et qui semble réjouir tous les utilisateurs que nous sommes mais aussi permettre un nouveau business à l'innovation sans limites. L'engouement est tel qu'il est souvent mal venu d'interroger ces choix techniques faits par des firmes privées qui ont réussi à capter notre temps d'attention et nos activités de façon aussi intime. Pourtant, sans adopter une posture critique a priori, qui se dispense souvent d'examiner les détails de ces choix, il est nécessaire de tenter de comprendre (après coup) " ce que font " les architectures choisies. Elles ne sont pas toutes puissantes, certes, mais elles nous orientent, elles nous font agir autrement, elles sont des " agencies " qui formatent nos façons de penser ou de nous relier. Cette discussion n'est pas tant issue d'un volontarisme citoyen ou scientifique que descontroverses bien réelles que l'on peut observer, principalement à propos de Facebook, sur divers aspects de sa politique d'exploitation des données personnelles notamment. Mais ces controverses peuvent parfois masquer certains enjeux plus transversaux que nous souhaitons mettre en évidence ici. C'est notamment le cas de l'effet monopolistique extrêmement rapide d'un réseau social donné, Facebook, malgré la diversité des réseaux sociaux observable à partir de 2005. La domination écrasante de Facebook sur ses concurrents (encore à venir mais la tendance est lourde puisque Facebook a atteint les 500 millions de comptes) semble mimer celle de Google sur les autres moteurs ou celle de Youtube sur les autres fournisseurs de vidéo. En analysant ce qui est en jeu dans cette captivité de tous les utilisateurs vis-à-vis d'une seule plate-forme, nous ne visons pas seulement à comprendre les enjeux des réseaux sociaux mais aussi à permettre le débat politique sur le statut de ces plates-formes techniques. Elles finissent par constituer notre cadre de vie commun sans qu'à aucun moment, les utilisateurs et citoyens ordinaires aient eu les moyens de décider leurs formats, si ce n'est en adoptant une posture de " voice " (Hirschmann), protestation provisoire et de peu d'effets dans ce cas, ou surtout une solution " d'exit ", en abandonnant une plate-forme avec les conséquences importantes que cela peut avoir (.).

This paper proposes a reflection on the concept of social network in three dimensions: as an intersubjective binding process, as practices of cooperation and support for those making social advocacy, and as a way to interweave meanings that interpret and explain the daily life of individuals, groups and organizations. Likewise, we present the political dimension of social networks within the framework of participative democracy from which Social Work clarifies and sustains the notion of network as an interpretative framework for some methodologies of social intervention. ; Este artículo propone una reflexión sobre el concepto de red social en tres dimensiones: como proceso vincular intersubjetivo, como prácticas de colaboración y apoyo a quienes hacen gestión social, y como entrelazamiento de los significados que interpretan y explican la cotidianidad de individuos, grupos y organizaciones. Así mismo, presenta la dimensión política de las redes sociales en el marco de la democracia participativa a partir de la cual el trabajo social esclarece y sustenta la noción de red como marco interpretativo de algunas metodologías de intervención social.

An extensively revised and expanded third edition of the successful textbook on analysis and visualization of social networks integrating theory, applications, and professional software for performing network analysis (Pajek). The main structural concepts and their applications in social research are introduced with exercises. Pajek software and datasets are available, so readers can learn network analysis through application and case studies. In the end readers will have the knowledge, skills, and tools to apply social network analysis across different disciplines. A fundamental redesign of the menu structure and the capability to analyze much larger networks required a new edition. This edition presents several new operations including community detection, generalized main paths searches, new network indices, advanced visualization approaches, and instructions for installing Pajek under MacOSX. This third edition is up-to-date with Pajek version 5 and it introduces PajekXXL for very large networks and Pajek3XL for huge networks

Argues that the growth of social networking and increased openness online is beneficial in the digital age and can lead to increased collaboration and changes in the way people organize, govern, teach, and learn