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World Affairs Online
Le retour de la philosophie politique
In: Politique et sociétés, Band 22, Heft 3, S. 179-195
ISSN: 1703-8480
Le xxe siècle a vu le dépérissement de la philosophie politique. L'une des raisons de ce dépérissement fut l'adoption presque générale de la distinction wébérienne entre faits et valeurs. En s'appuyant uniquement sur cette distinction, il est impossible de porter un jugement sur l'expérience politique par excellence du siècle dernier, soit le totalitarisme. L'échec des tentatives philosophiques les plus autorisées (Hannah Arendt) pour rendre intelligible ce phénomène s'explique aussi par l'abandon de la notion traditionnelle de régime politique. Seul Leo Strauss a tenté de ressaisir le sens authentique de la philosophie politique en maintenant vivante cette notion et en refusant l'historicisme. Le dialogue de L. Strauss avec Alexandre Kojève ouvre en outre la voie à une réflexion sur le lien énigmatique entre la démocratie moderne et le totalitarisme. Ce lien énigmatique touche la question de la volonté du peuple et de son incarnation dans un corps politique. Comment le principe spirituel démocratique peut-il donner forme et vie à un corps politique ? La tâche de la philosophie politique est d'éclairer cette dialectique entre le « corps » de la société prédémocratique et l'» âme » de la politique démocratique.
Essais de philosophie, de politique et de littérature
v. 1-2. Philosophie -- v. 3. Politique -- v. 4. Littérature. ; Mode of access: Internet.
BASE
Das Wissen um die Staatskunst im Kontext der politischen Philosophie Platons und ihrer Rezeptionsgeschichte
In: Beiträge zur Politischen Wissenschaft, 195
Die an der Wohlfahrt aller Bürger orientierte »Staatskunst«, welche von Platon als die »königliche Kunst« angesehen wird, setzt sich für ihn aus der Trias von Wissen, Tugend im Sinne von »Gutsein« und Erziehung zusammen. Dabei gehen Metaphysik, Ethik und Politik eine untrennbare Verbindung ein, da für ihn die Höchste Idee des Guten, des wahrhaft Seienden, ein unbedingt gegenseitiges Verhältnis zwischen Staat und Individuum begründet. Das heißt, das Gute für den Staat verkörpert zugleich das Gute für den Einzelnen; denn es ist einer Einzelperson nicht möglich, vollkommen gerecht zu sein, wofern der Staat es nicht gleichergestalt selbst ist. Unweigerlich wird man sich fragen, ob die heutigen Politiker diesem Anspruch tatsächlich gerecht werden. Phänomene wie der Aufstieg von politischen »Amateuren« wie Bodybuildern, Filmschauspielern und Geschäftsleuten zu hohen und höchsten Staatsämtern lassen in diesem Kontext den Terminus »Staatskunst« als recht schillernd erscheinen. Die Untersuchung versucht Antworten auf die Frage zu finden, wie es zu der völligen Abkehr des platonischen Staatskunstkonzepts, in welchem Praxis und Theorie noch unscheidbar als eins gedacht wurden, und zu einer in unseren Tagen vorherrschenden »Staatsverwaltung« nach fast ausschließlich wirtschaftlichen Gesichtspunkten als Erfolgsbemessungsgrundlage kam. Sonderheitlich die Gesichtspunkte, wie die »Staatskunst« nach Platon erlangbar sei und ob Politik im Sinne von »Staatskunst« lehr- und damit erlernbar ist, stehen dabei im Fokus der Betrachtung. »The Knowledge of Statecraft in the Context of Plato's Political Philosophy and Its Reception History« Plato's »royal art« or skillful »statesmanship«, intended for the benefit of citizens, comprises of a triad: knowledge, education and virtue (which equivalents to »goodness« for Plato). According to Plato, for a reciprocal relationship between a state and an individual to occur, metaphysics, ethics and politics must closely intertwine to give rise to an ultimate good or a »truly existing being«. Indeed, a state's »goodness« intrinsically exudes »goodness« to individuals; in turn accounting for just individuals. It follows therefore, that individuals' righteousness derives from that of the state's. Today however, such pertinent assertions are in active conflict with the emergence of layman politicians whose governing may be seen as far from being »royal art«. Accordingly, the discourse hereinafter seeks to address the question of how this »royal art« and its triad – a theory of governance once considered indivisible from the practice of thereof, have come to be discarded by current public administrations in favour of economic indicators. Could Plato's »royal art« and »statesmanship« be acquired, and if so, how could this craft be taught? Die Untersuchung versucht Antworten auf die Frage zu finden, wie es zu der völligen Abkehr des platonischen Staatskunstkonzepts, in welchem Wissen, Tugend im Sinne von »Gutsein« und Erziehung zusammenfielen sowie Praxis und Theorie noch unscheidbar als eins gedacht wurden, hin zu einer heutigentags vorherrschenden »Staatsverwaltung« nach fast ausschließlich wirtschaftlichen Gesichtspunkten als Erfolgsbemessungsgrundlage kam. Sonderheitlich die Gesichtspunkte, wie die »Staatskunst« nach Platon erlangbar sei und ob Politik im Sinne von »Staatskunst« lehr- und damit erlernbar ist, stehen dabei im Fokus der Betrachtung. Charles Philippe Graf Dijon de Monteton studierte an der Universität Heidelberg Politikwissenschaft, Mittlere und Neue Geschichte sowie Judaistik an der Hochschule für Jüdische Studien. Nach erfolgtem Abschluss 2005 war er als Lehrbeauftragter und wissenschaftlicher Mitarbeiter am Institut für Politische Wissenschaft der Universität Heidelberg tätig. Dort erfolgte 2013 die Promotion im Fach Geschichte. Zwei Jahre später wurde er daselbst in Politikwissenschaft promoviert. Seine Forschungsschwerpunkte liegen im Bereich der politischen Philosophie und der Sozial- und Regionalgeschichte, vorzüglich mit Bezug auf den Südwesten Frankreichs.
Le Monde. Dossiers et documents. Vie sociale et politique
ISSN: 0395-2045, 0395-1243
Démocratie et éthique: émancipation politique et sociale de l'Afrique
In: Études africaines. Série Philosophie
L' État nouveau et la philosophie politique et juridique occidentale
In: Bibliothèque de droit de sciences politiques et économiques 2
In: Publication du Centre d'études, de recherches et de publication de la Faculté de Droit et des Sciences Politiques et Économiques de Tunis
L'état et le droit: essais de philosophie politique
In: Collection "Philosophie du droit" 9
L'excellence menacée: sur la philosophie politique d'Aristote
In: ˜Lesœ anciens et les modernes - études de philosophie 32
"Le philosophe doit fournir au législateur les moyens théoriques d'établir dans les cités des constitutions droites, seules à même de rendre les citoyens vertueux, et donc heureux, en les faisant obéir à de bonnes lois. Plutôt que d'instaurer une fois pour toutes une cité "parfaite", il faut, le plus souvent, réformer les institutions existantes et notamment mélanger les aspects positifs des différentes constitutions déviées. Même s'il entend promouvoir la concorde entre les citoyens, Aristote reconnaît le caractère à la fois naturel et parfois bénéfique de la lutte des classes qui empêche une faction de devenir hégémonique. En permettant au législateur d'analyser la réalité sur laquelle il doit travailler, Les Politiques sont le premier traité de science politique."--Page 4 of cover
L'anarchie de la paix: Levinas et la philosophie politique
In: CNRS philosophie
Violence originaire et paix immémoriale --1.En mémoire de la paix --Levinas et Freud face à la guerre --2.L'autre peur --Guerre originaire et paix anarchique chez Hobbes et Levinas --Politique et au-delà --3.Préparer la révolution dans le déchirement de la conscience --Levinas face à Marx --Diagnostiquer l'aliénation --L'eschatologie prophétique --Politique : internationalisme et sionisme --4."Devant la Loi" ou face à Autrui --La violence de la Loi à l'épreuve de la violence de l'éthique --L'art à l'épreuve de la guerre --5.Témoin de l'immobile --Le face-à-face avec l'art.
Dieu et démocratie: [essai de philosophie socio-politique]
Essais de philosophie, de science politique et d'économie
In: Bibliothèque classique de la liberté 10