The Uses and Limits of the Model United Nations in an International Relations Classroom
In: International studies perspectives: ISP, Band 2, Heft 3, S. 269-280
ISSN: 1528-3585
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In: International studies perspectives: ISP, Band 2, Heft 3, S. 269-280
ISSN: 1528-3585
In: Annuaire français de relations internationales, Band 1, S. 415-428
World Affairs Online
In: Collection de Droit International 34
In: Ocean Development and International Law, Band 24, Heft 2, S. 123-154
SSRN
In: Yearbook of International Humanitarian Law, Band 4, S. 3-51
SSRN
In: Sicherheit und Frieden: S + F = Security and Peace, Band 27, Heft 2, S. 73-79
ISSN: 0175-274X
World Affairs Online
In: Quantitative finance series
In: Contemporary Asia Arbitration Journal, Band 13, Heft 1, S. 7-44
SSRN
In: Sant' Anna Legal Studies STALS Research Paper 3/2018
SSRN
Working paper
In: Central Asia and the Caucasus: journal of social and political studies, Band 12, Heft 2, S. 25-34
ISSN: 1404-6091
World Affairs Online
In: Zeitschrift für Luft- und Weltraumrecht: ZLW = German journal of air and space law = Revue allemande de droit aérien et spatial, Band 43, Heft 3, S. 268-292
ISSN: 0340-8329
World Affairs Online
In: (2013) 26 Leiden Journal of International Law 351
SSRN
Amnesty International's (AI) focus on civil and political rights has marked their work with a gender bias from the outset. In the first comprehensive look at AI's work on women's rights, the author illustrates the development of their activities regarding women's rights issues over twenty years. Through interviews with staff members and activists and unprecedented access to archive material from the Swiss and the German AI sections, she shows how women activists strategized to make AI increase its work on women's rights. Additionally, the book demonstrates that, despite the leadership's commitment to the Stop Violence Against Women campaign, internal resistance hampered the integration of women's rights into the organization's overall work.
Avec un volume cumulé d'environ 1650 milliards de dollars, soit à titre de comparaison la valeur duproduit intérieur brut (PIB) de l'Italie pour l'année 2004 – le chiffre d'affaires des 8 principales compagnies pétrolières internationales s'est établi, en moyenne, en hausse de près de 25 % entre 2004 et 2005. En outre, atteignant près de 141 milliards de dollars en 2005, soit une progression de près de 40 % par rapport à 2004, leurs profits ont poursuivi, l'année dernière, la courbe ascendante observée depuis 2002. Surfant sur l'envolée des prix du pétrole depuis le début des années 2000, les majors ont accumulé des cash-flows importants, dont l'utilisation suscite souvent l'incompréhension. S'il est important de noter que les dépenses d'investissement des majors pétrolières ont augmenté de plus de 10 %, pour se situer à près de 100 milliards de dollars en 2005, il convient d'ajouter que, dans le même temps, près de 90 milliards de dollars ont été affectés à leurs politiques de distribution de dividendes ou à leurs politiques de rachat d'actions. Cette dernière politique a pris une ampleur considérable depuis le début des années 2000. Il paraît difficile d'identifier le facteur prépondérant de la conduite d'une politique de rachat d'actions. De nombreuses hypothèses peuvent être posées. Elles dépendent, en partie, du caractère plus ou moins contraint de la mise en place de ce type de politique par les compagnies pétrolières.
BASE
Avec un volume cumulé d'environ 1650 milliards de dollars, soit à titre de comparaison la valeur duproduit intérieur brut (PIB) de l'Italie pour l'année 2004 – le chiffre d'affaires des 8 principales compagnies pétrolières internationales s'est établi, en moyenne, en hausse de près de 25 % entre 2004 et 2005. En outre, atteignant près de 141 milliards de dollars en 2005, soit une progression de près de 40 % par rapport à 2004, leurs profits ont poursuivi, l'année dernière, la courbe ascendante observée depuis 2002. Surfant sur l'envolée des prix du pétrole depuis le début des années 2000, les majors ont accumulé des cash-flows importants, dont l'utilisation suscite souvent l'incompréhension. S'il est important de noter que les dépenses d'investissement des majors pétrolières ont augmenté de plus de 10 %, pour se situer à près de 100 milliards de dollars en 2005, il convient d'ajouter que, dans le même temps, près de 90 milliards de dollars ont été affectés à leurs politiques de distribution de dividendes ou à leurs politiques de rachat d'actions. Cette dernière politique a pris une ampleur considérable depuis le début des années 2000. Il paraît difficile d'identifier le facteur prépondérant de la conduite d'une politique de rachat d'actions. De nombreuses hypothèses peuvent être posées. Elles dépendent, en partie, du caractère plus ou moins contraint de la mise en place de ce type de politique par les compagnies pétrolières.
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