O presente artigo surge como síntese das reflexões que foram desenvolvidas na pesquisa de iniciação científica intitulada "Serviço Social e Saúde: um olhar para a formação profissional". Nesta, foram realizados estudos bibliográficos, levantamento documental e pesquisa de campo, através dos quais foi possível compreender as determinações que perpassam pela formação do assistente social, especificamente para o trabalho profissional nos serviços de saúde. A pesquisa permitiu particularizar este debate na realidade do curso de Serviço Social da Universidade Federal do Triângulo Mineiro, que historicamente tem se destacado na formação de profissionais em saúde.
O artigo constrói reflexões referentes à pesquisa para o Serviço Social direcionado a área da saúde. No primeiro momento, trabalha com as categorias desigualdade social e saúde, problematiza as mediações do processo saúde – doença e constrói uma definição ampliada de saúde. Em seguida, analisa possibilidades e apresenta indicações para a pesquisa no Serviço Social a partir da discussão anterior. Por fim, indica que a pesquisa pode se tornar instrumento estratégico para atuação profissional, sugerindo a necessidade de romper os marcos do academicismo e até mesmo trabalhando em uma perspectiva multidisciplinar.
This article argues that Thailand's 2023 parliamentary election was the first election where social media played a decisive factor in the electoral outcomes. Prior to this election, social media was an important campaign tool, but it was unclear whether it made a difference in the electoral results. Based on our original post-election survey data (n = 1,249), social media was the most important media in governing vote choice. Social media was a crucial space for activation and conversion—motivating the undecided to become partisans and converting partisan voters to shift their allegiances. Thailand's 2023 election was also marked by rising personalization of political campaigning, wherein citizens felt free to decide how and what their political participation would look like, and parties that encouraged inclusive and open engagement with politics were best poised to win in the electoral arena. Drawing on social network analysis of social media data, this article demonstrates how the Move Forward Party's (MFP) loosely structured and inclusive social media campaigns allowed both their candidates and supporters to mobilize individualized large-scale collective action, in contrast to their rivals who focused on traditional top-down style campaigning. Despite the MFP's winning social media campaigning that produced electoral victories, the party was unable to come to power due to an entrenched authoritarian political system designed to maintain the power of the country's autocratic elites. The Thai case demonstrates powerfully how autocrats might lose an election due to social media, but still manage to hang on to power through entrenched authoritarian institutions. (Pac Aff/GIGA)
In a game theoretic framework it can be argued that a gender sensitive institution is an offshoot of certain social conditions, which in most cases need to be acted upon by some anti-establishment catalytic agent. Given the fact that among about half of the population there is a need for such an institution, the main function of a catalytic agent is to engineer a conversion of that need into an active demand. In a society characterized by gender exploitation, catalytic agent can only come exogenously. For a sub-society it is easier to come across such an exogenous catalytic agent. The specific community conditions prevailing in such a sub-society may also prove to be congenial for a catalytic agent to act upon, or even to emerge from. In a larger canvas, however, as the exogenous force transforms into mere endogenous entity, and the society takes on the general character of male-dominance, the space for exogenous agency shrinks. A democratic Government, insofar as it represents the society, cannot be looked upon as a prospective catalytic agent for the country as a whole. There are, however, three possible escape routes from this closure. Firstly, external effects of women's empowerment in one subsociety on another may snowball. Secondly, the awareness campaign presently underway on a global scale is itself a potent exogenous catalytic agent. Thirdly, general development programs undertaken within a patriarchal order may unwittingly create conditions conducive to feminist struggle.
International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.
International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.
International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.
International audience ; Né à la fin des années 80, l'Epistémologie Sociale (traduction de Social Epistemology) est un courant théorique qui s'intéresse à la construction des connaissances et qui souligne, dans cette entreprise, le rôle des " facteurs sociaux ". Ses auteurs, pour la plupart philosophes ou sociologues, sont impliqués dans le développement d'une théorie dite sociale de la connaissance. Tous la définissent comme croyance et font porter leurs analyses sur autrui ou le groupe dans la genèse de son acquisition. Une optique néopositiviste et pragmatique est défendue par la plupart : l'objectif est alors aussi d'évaluer les connaissances produites, dans le but de favoriser les pratiques sociales jugées les plus fructueuses. Il s'agit selon Steve Fuller et d'Alvin Goldman, principaux initiateurs de l'Epistémologie Sociales, de parvenir à identifier les " sentiers sociaux " empruntés par le savoir (" social path to knowledge ") pour définir des " politiques de connaissance " les plus vertueuses, en passant ainsi de la description à la prescription. L'Epistémologie Sociale ouvre un vaste domaine d'interrogation, notamment concernant la valeur qu'il convient d'attribuer aux témoignages, à l'argumentation, aux médias sociaux, mais aussi aux institutions et aux règles sociales impliquées dans la distribution sociale de la connaissance. Cet article a pour terrain le projet ANR ISICIL portant sur la veille 2.0 (http://isicil.inria.fr). L'objet de conception d'ISICIL - les outils de veille 2.0 - porte d'emblée sur les activités collectives de connaissance. En adoptant ce courant, nous formulons l'hypothèse que l'Epistémologie Sociale offre un cadre théorique adéquat pour aborder de plain-pied les phénomènes de production collective de savoirs supposés facilités par les technologies web 2.0.
Purpose The explosion of social media use such as Facebook among higher education students is deemed to have great potential in widely disseminating environmental sustainability awareness. The paper aims to capture, summarise, synthesise and comment on the role of social media to garner interest of students and staff on environmental sustainability issues.
Design/methodology/approach Systematic literature review technique is adopted, and three selected online databases were searched for relevant papers for review. Specific data were extracted from each paper, and the discussion section was based on the developed research questions.
Findings Higher education needs to fully leverage the ubiquity of social media to extend how environmental sustainability is viewed by the students and staff. Sustainability practices conducted at the university level such as recycling, reduction of electricity and water consumptions and paper reduction in classroom and used to engage students on environmental matters. For staff, social media can be leveraged as to convey the university policy and assist in their quest to become full-fledged green universities.
Research limitations/implications Some of the limitations of this research include the lack of keyword search using synonyms or related terms equivalent to the term "awareness", lack of forward and backward searches, and the papers were searched until end of 2013 only. Future research needs to take advantage of the current limitations to investigate this topic and be empirically supported by theories using quantitative, qualitative or mixed-method-based research. Future studies could also develop relevant frameworks to propose an effective use of social media for creating environmental sustainability awareness in higher education.
Practical implications Propagations of environmental sustainability awareness in higher education would be more effective with the use of social media.
Social implications In principle, the increase of environmental awareness level would increase the students' good behavioural conduct on environmental sustainability.
Originality/value While the broad topic of environmental sustainability in higher education is widely discussed, the role of social media in shaping environmental sustainability awareness is still under researched. This situation provides a significant potential for exploration by sustainability researchers to craft their investigation on the effective role of social media in creating environmental awareness in higher education.
This article aims to investigate the similarities between social policies on disability and integration policies. The similarities are particularly noticeable at an organisational level, especially after the changes brought about by the Law of 2005 for equal rights and opportunities, the participation and citizenship of disabled individuals. However, differences can be observed ; the status of beneficiaries and their organisations, a more advanced single-window system and the organisation role of a central authority. Recently, reflection on the employability of individuals receiving disabled adults benefits, which aims to encourage the employment of the latter, putting an end to the benefits they receive, seem to be an early indication of new similarities between these policies.
In: The journal of modern African studies: a quarterly survey of politics, economics & related topics in contemporary Africa, Band 18, Heft 4, S. 627-656
El artículo propone al espacio como una categoría analítica en cuatro movimientos sociales que se han desarrollado en el centro y sur de México, a partir de 1990. Este estudio se realiza desde la geografía política crítica. Se inicia con un recorrido del espacio como categoría desde esta ciencia desde siglo XIX hasta llegar a la visión crítica de la misma. Posteriormente, se identifica al espacio rural producido bajo el régimen priista. Se analizan los megaproyectos como un tipo de espacio que transforma de manera sustancial al espacio rural, y por último se examinan los cuatro movimientos sociales que manifiestan las transformaciones políticas que el espacio rural ha presentado.
Purpose This paper aims to develop an interpretative framework of the evolution of social impact investment (SII) in different countries. SII is a strategy of asset allocation, which combines financial profitability with a measurable social and environmental impact.
Design/methodology/approach Through a thematic analysis of 75 documents, i.e. reports, experts' considerations, reflections on practitioners' experience, meetings' minutes, written by the SII Taskforce of the Group of Eight and the relative National Advisory Boards, the authors identify the main themes connected to the topic of SII development and recognize four main elements useful to segment the market, namely, information asymmetry, financial instruments, source of capital and market intermediation.
Findings They map the ongoing practices in the Group of Eight's members and distinguish two speeds in the evolution of SII: on one hand, there is a group of roadrunners, which pave the way to SII and in which SII activities have being institutionalized; on the other hand, there is a wider group of chasers, where the SII infrastructures lack any systematization.
Originality/value Although some authors provide preliminary interpretations of the SII evolution, they mainly focus on the national level and do not provide any cross-countries analysis. The findings of the present work contribute to overcome the lack of evidence characterizing the SII field and the absence of comparable and consistent data at the global level by filling the academic literature about SII, through a structured interpretative framework.