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International audience ; Dans le cas du Maheustre et du Manant comme dans celui de la Satyre ménippée, il s'agit donc de rejeter les legs féodaux au nom de traditions construites tout à fait inconciliables d'une théocratie populaire d'un côté et d'une monarchie absolue de l'autre. Il est intéressant de constater, pour terminer, que c'est en se référant à une sphère publique traditionnelle structurée par la représentation (celle qui est justement à l'œuvre dans les états généraux) que ces libelles produisent un discours de promotion de la théocratie ou de l'absolutisme et qu'ils le produisent pour agir sur les lecteurs dans le cadre d'une sphère publique moderne ou « bourgeoise » pour reprendre les distinctions d'Habermas : cet appel lancé aux individus pour qu'ils se fassent leur opinion dans les conflits de représentations qui accompagnent (ou structurent) les guerres civiles est sans doute le plus grand changement. Il est significatif de voir la situation, de ce point de vue, de toute une littérature militante « réactionnaire » ou de défense du système féodal, opposée à la fois au Maheustre et à la Satyre Menippee, structurée, en particulier dans le contexte des différentes assemblées d'états, autour du problème du favori. De nombreux pamphlets (en particulier autour de 1588 ou de 1614) ne participent pas seulement à un conflit civil ou religieux mais rendent compte d'une logique nouvelle qui est sociale, économique et politique, d'une façon de se réaliser dans et par l'argent et le pouvoir . Mieux, ils disent, à travers la guerre religieuse elle-même, la réalité des rapports économiques en devenir. Mais la position de ces libelles est tout à fait ambiguë vis-à-vis de l'émergence de cette forme d'individualité : ils condamnent le favori (bientôt le ministre) comme figure de réalisation de soi par soi ; mais en même temps, l'ensemble de ces écrits, comme accusations et réfutations successives tout à fait serrées montrant clairement la naissance d'une opinion, font appel dans ce nouvel espace public à un ...

Conclusioni Con la tesi ho cercato di illustrare se pur brevemente la normativa italiana in materia di edificio di culto, partendo dal cercare di definire il concetto di edificio di culto. Mettendo in rilievo le variazioni che la normativa ha subito nel corso delle varie fasi storiche. Con questa analisi si denota un notevole interesse del legislatore nei confronti di questa materia nei cui confronti vengono messi in atto numerosi interventi. Vengono presi in esame i diversi aspetti della materia analizzando la proprietà degli edifici, quali sono i criteri che fanno di un edificio, un edificio di culto. Analizzando poi la successione di esso, il fatto che non possa essere sottratto al suo scopo salvo eventi particolari. Si è passati poi ad esaminare le appendici dell'edificio di culto se pur brevemente, come il campanile, gli oratori e via dicendo. Tutta la normativa ruota intorno ad un unico oggetto e cioè l'edificio. Ma la nostra normativa diventa molto più lacunosa quando ci si allontana da quel fulcro che è l'edificio di culto, e si comincia a parlare invece di luogo di culto. Nella tesi faccio riferimento ad alcuni esempi i quali mostrano la complessità della materia in materia di luogo di culto, nella complessità di dare una definizione a questo concetto così astratto. Sia nell'ipotesi in cui vi sia un soggetto nel caso specifico La Suprema Corte chiamato a dare una sentenza come nel caso del monumento di Summun, sia nella reazione suscita in Svizzera in seguito al referendum sui minareti dove emerge una paura insita nella popolazione alla costruzione di un edificio. Il tentativo di definirlo del diritto Ebraico con Eruv. Questi esempi dimostrano come la normativa italiana dovrebbe definire meglio il concetto di luogo di culto, esso deve essere riadattato alla società attuale e deve svincolarsi da quel cardini, limite rappresentato dell'edificio di culto.