In: Political research quarterly: PRQ ; official journal of Western Political Science Association, Pacific Northwest Political Science Association, Southern California Political Science Association, Northern California Political Science Association, Band 67, Heft 1, S. 183-196
Turkey's humanitarian activities toward Syrian refugees are part and parcel of its overall policy in the Syria conflict. Yet, it has become increasingly clear that the Turkish government has overestimated its capacities, and thus failed to deliver sufficient assistance to Syrian refugees on its territory. At the same time the government's handling of the refugee issue has led to stark tensions among Turkey's political and societal forces, as Turkey's border regions contend with increasing security and economic challenges. Germany and its European partners should support Turkey in maintaining and improving services to Syrian refugees in Turkey, and in delivering aid more effectively to internally displaced persons (IDPs) inside Syria. They should also push Turkey to adopt a long-term strategy for dealing with Syrian refugees. (SWP Comments)
La mobilité étudiante est une composante importante du flux migratoire de la RDC vers la Belgique. Cette recherche s'intéresse à l'insertion professionnelle de ces migrants étudiants, en comparaison avec ceux qui n'ont pas suivi d'études dans le pays d'accueil. Les profils des étudiants migrants sont hétérogènes. Leur migration et leurs études s'effectuent à des stades différents de leur vie et elles répondent à des motifs, des préoccupations et des objectifs différents. Cela s'observe dans le choix du type d'études et des filières de formation suivies. Les résultats montrent que les études effectuées en Belgique induisent une différence quant à l'insertion professionnelle des migrants. Elles permettent un meilleur accès à l'emploi et réduisent dans une certaine mesure la surqualification des migrants, mais pas de façon identique pour tous les groupes de migrants.
À l'été 1914, le Canada se mobilise aux côtés des Britanniques, envoyant en Europe les premières troupes qui formeront le corps expéditionnaire canadien. Dès avril 1915, la 1re division d'infanterie subit des pertes considérables à Ypres, au combat de Saint-Julien. L'année suivante, quatre divisions sont présentes dans les tranchées de la Somme. Les Canadiens se forgent alors une réputation de troupes de choc, notamment à la bataille de Vimy au printemps 1917, devenue un symbole. Ils combattent dans la boue de Passchendaele en Belgique, avant de se retrouver en première ligne des offensives britanniques de 1918 durant la campagne des Cent Jours. Au total, près de 650 000 Canadiens participent à la Grande Guerre, une implication qui, dépassant le cadre militaire, contribue à l'émergence de leur pays sur la scène mondiale.