Suchergebnisse

This article argues that a mix of different values guides contemporary scientists and engineers in their work. The conventional dichotomy between academic science and technological research and development is hereby transcended. However, on the analytical level distinctions between different kinds of research activities are considered helpful. Three sets of norms that define different categories of research activities are presented: The CUDOS ethos that defines academic science, the PLACE set of norms that defines industrial and military technological research, and the 'ISYP Ideal' that defines 'grassroots science' – a scientific endeavour that explicitly addresses the problems facing humanity. This analytical tool (i.e. the three sets of norms) is used to analyse the activities of International Student/Young Pugwash.

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by

International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which ...

Title Page -- Copyright -- Dedication -- Contents -- Preface -- Chapter 1: Overture -- Essential Preliminaries for the Road Ahead -- Debate and Confusion about Theology and Science -- Purpose, Meaning, and Value in Human Life -- The Relationship of Faith and Reason -- Reasons to be Skeptical about Scientific Naturalism -- The Bible and Science as Partners in Understanding Reality -- Overcoming Arrogance -- Conclusion -- Chapter 2: The Bible -- Introduction -- The Problem of Content -- The Problem of Interpretation -- Avoiding Extreme Views about the Bible -- Richard Dawkins

Climate science plays a central role in climate litigation, and cases under the Takings Clause of the United States' and many state constitutions are no exception. In the climate context, takings cases to date have involved claims that challenge the constitutionality of both adaptation and mitigation measures. For instance, real estate developers have claimed that land use and zoning regulations that seek to reduce exposure to climate change impacts constitute regulatory takings. Property owners have claimed that restrictions on the development of fossil fuel infrastructure upset their investment-backed expectations. And property owners adversely impacted by climate-related flood control measures have sought compensation for their harms. In these and other cases, the foreseeability of climate change impacts and the causal connections between local action and global climate change may or may not be explicit elements of a claim, but they remain critical issues for litigants and courts to address. This paper explicates the role of attribution science in climate-related takings cases. That science factors into plaintiffs' claims, government defenses, and judicial decisions. For the purposes of this analysis, this paper examines how marshalling the best available climate change attribution science could bolster governments' defenses of climate regulations. The next section reviews the legal framework for takings cases and provides a brief primer on attribution science. The paper then turns to three legal themes: (1) linking local mitigation to global impacts, (2) resetting expectations about how land can be used and, (3) relevant to flood control cases, the relative benefits conferred by imperfect flood control measures. As we shall see, attribution science has a clear and important role to play in how courts resolve climate change-related takings claims.

Looking at science, technology, engineering, and mathematics (STEM) fields across countries challenges the assumption that women in more economically and culturally modern societies enjoy greater equality. Rather, freedom to choose a career may paradoxically cause women in affluent Western democracies to construct and replicate stereotypically gendered self-identities.

Gaëtan Flocco interviewe Pierre Lantz, philosophe et sociologue, qui a fait partie des pionniers de la revue L'homme et la société . L'échange restitué ici est l'occasion de revenir sur les origines de la revue, ses objectifs politiques et théoriques, ses conditions de création et de fonctionnement ou encore ses figures marquantes. Le récit circonstancié de Pierre Lantz permet en particulier d'appréhender les évolutions notables subies par L'homme et la société au cours de ces cinquante années. D'abord, sur le plan institutionnel, en se dotant par exemple d'un comité de rédaction comprenant de nombreux membres ; mais aussi sur un plan plus théorique et thématique, en s'ouvrant notamment à d'autres influences que le marxisme. Ces multiples inflexions ont eu lieu sans pour autant renoncer à ce qui semble avoir été la marque de fabrique de la revue dès ses débuts, celle d'allier la science et le politique, c'est-à-dire d'orienter la compréhension du monde dans la perspective de son émancipation.

Many members of the scientific community attempt to convey information to policymakers and the public. Much of this information is ignored or misinterpreted. This article describes why these outcomes occur and how science communicators can achieve better outcomes. The article focuses on two challenges associated with communicating scientific information to such audiences. One challenge is that people have less capacity to pay attention to scientific presentations than many communicators anticipate. A second challenge is that people in politicized environments often make different choices about whom to believe than do people in other settings. Together, these challenges cause policymakers and the public to be less responsive to scientific information than many communicators desire. Research on attention and source credibility can help science communicators better adapt to these challenges. Attention research clarifies when, and to what type of stimuli, people do (and do not) pay attention. Source credibility research clarifies the conditions under which an audience will believe scientists' descriptions of phenomena rather than the descriptions of less-valid sources. Such research can help communicators stay true to their science while making their findings more memorable and more believable to more audiences.

Economists need to understand some fundamental aspects of science in order to measure and analyse the process of technological change. This book explores the interrelationships between economics, science and technology in order to find ways of improving economists' approaches to technical change. Dr Payson begins by offering a scientific critique of economic discourse and presents a unique, unconstrained and critical view of the behavioral differences between economists and scientists. The economic literature on technological change is analysed in order to assess economists' approach to science. The author then offers concrete solutions for the useful economic study of technological change including alternative methods of classifying data based on scientific principles, a characteristics approach to measuring physical capital, and a futuristic exploration into how artificial intelligence may improve economics