Concerning science and society
In: Clinical social work journal, Band 2, Heft 4, S. 299-306
ISSN: 1573-3343
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In: Clinical social work journal, Band 2, Heft 4, S. 299-306
ISSN: 1573-3343
In: CPC Outline Series, Conservative Political Centre 5
In: CPC 421
In: Religion and the University Ser.
In: European Commission / European Research Area
In: Research policy
International audience ; La recherche académique en France dont l'objet porte sur le surf début dans les années 1990 à la faveur des travaux de Jean-Pierre Augustin (Surf Atlantique, les territoires de l'éphémère, paru en 1994-MSHA). Si, progressivement, les recherches se multiplient et les regards disciplinaires sont de plus en plus variés (géographie, sociologie, anthropologie, économie notamment), il est utile de « faire le point », plus de deux décennies après les travaux initiatiques précités. Actuellement dispersée, que ce soit en termes de thématiques ou d'équipe plus ou moins formalisée de chercheurs, la recherche en sciences sociales portant sur le surf est néanmoins dynamique et les collaborations à l'international se développent de manière régulière. À l'aune d'enquêtes de terrains variées (c'est le parti-pris ce cette publication collective) et de méthodologies de recherche panachées, cet ouvrage dirigé par Christophe Guibert entend questionner les systèmes de représentations qui entourent le surf – qui, justement dépasse la simple activité sportive –, rendre compte des usages sociaux et des modes d'engagement ou encore faire le point sur les régulations politiques et économiques. C'est donc interroger Les mondes du surf dont il est question dans cet ouvrage, tant il est difficile et illusoire d'uniformiser ce « fait social total ».
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International audience ; La recherche académique en France dont l'objet porte sur le surf début dans les années 1990 à la faveur des travaux de Jean-Pierre Augustin (Surf Atlantique, les territoires de l'éphémère, paru en 1994-MSHA). Si, progressivement, les recherches se multiplient et les regards disciplinaires sont de plus en plus variés (géographie, sociologie, anthropologie, économie notamment), il est utile de « faire le point », plus de deux décennies après les travaux initiatiques précités. Actuellement dispersée, que ce soit en termes de thématiques ou d'équipe plus ou moins formalisée de chercheurs, la recherche en sciences sociales portant sur le surf est néanmoins dynamique et les collaborations à l'international se développent de manière régulière. À l'aune d'enquêtes de terrains variées (c'est le parti-pris ce cette publication collective) et de méthodologies de recherche panachées, cet ouvrage dirigé par Christophe Guibert entend questionner les systèmes de représentations qui entourent le surf – qui, justement dépasse la simple activité sportive –, rendre compte des usages sociaux et des modes d'engagement ou encore faire le point sur les régulations politiques et économiques. C'est donc interroger Les mondes du surf dont il est question dans cet ouvrage, tant il est difficile et illusoire d'uniformiser ce « fait social total ».
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International audience ; La recherche académique en France dont l'objet porte sur le surf début dans les années 1990 à la faveur des travaux de Jean-Pierre Augustin (Surf Atlantique, les territoires de l'éphémère, paru en 1994-MSHA). Si, progressivement, les recherches se multiplient et les regards disciplinaires sont de plus en plus variés (géographie, sociologie, anthropologie, économie notamment), il est utile de « faire le point », plus de deux décennies après les travaux initiatiques précités. Actuellement dispersée, que ce soit en termes de thématiques ou d'équipe plus ou moins formalisée de chercheurs, la recherche en sciences sociales portant sur le surf est néanmoins dynamique et les collaborations à l'international se développent de manière régulière. À l'aune d'enquêtes de terrains variées (c'est le parti-pris ce cette publication collective) et de méthodologies de recherche panachées, cet ouvrage dirigé par Christophe Guibert entend questionner les systèmes de représentations qui entourent le surf – qui, justement dépasse la simple activité sportive –, rendre compte des usages sociaux et des modes d'engagement ou encore faire le point sur les régulations politiques et économiques. C'est donc interroger Les mondes du surf dont il est question dans cet ouvrage, tant il est difficile et illusoire d'uniformiser ce « fait social total ».
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International audience ; La recherche académique en France dont l'objet porte sur le surf début dans les années 1990 à la faveur des travaux de Jean-Pierre Augustin (Surf Atlantique, les territoires de l'éphémère, paru en 1994-MSHA). Si, progressivement, les recherches se multiplient et les regards disciplinaires sont de plus en plus variés (géographie, sociologie, anthropologie, économie notamment), il est utile de « faire le point », plus de deux décennies après les travaux initiatiques précités. Actuellement dispersée, que ce soit en termes de thématiques ou d'équipe plus ou moins formalisée de chercheurs, la recherche en sciences sociales portant sur le surf est néanmoins dynamique et les collaborations à l'international se développent de manière régulière. À l'aune d'enquêtes de terrains variées (c'est le parti-pris ce cette publication collective) et de méthodologies de recherche panachées, cet ouvrage dirigé par Christophe Guibert entend questionner les systèmes de représentations qui entourent le surf – qui, justement dépasse la simple activité sportive –, rendre compte des usages sociaux et des modes d'engagement ou encore faire le point sur les régulations politiques et économiques. C'est donc interroger Les mondes du surf dont il est question dans cet ouvrage, tant il est difficile et illusoire d'uniformiser ce « fait social total ».
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International audience ; La recherche académique en France dont l'objet porte sur le surf début dans les années 1990 à la faveur des travaux de Jean-Pierre Augustin (Surf Atlantique, les territoires de l'éphémère, paru en 1994-MSHA). Si, progressivement, les recherches se multiplient et les regards disciplinaires sont de plus en plus variés (géographie, sociologie, anthropologie, économie notamment), il est utile de « faire le point », plus de deux décennies après les travaux initiatiques précités. Actuellement dispersée, que ce soit en termes de thématiques ou d'équipe plus ou moins formalisée de chercheurs, la recherche en sciences sociales portant sur le surf est néanmoins dynamique et les collaborations à l'international se développent de manière régulière. À l'aune d'enquêtes de terrains variées (c'est le parti-pris ce cette publication collective) et de méthodologies de recherche panachées, cet ouvrage dirigé par Christophe Guibert entend questionner les systèmes de représentations qui entourent le surf – qui, justement dépasse la simple activité sportive –, rendre compte des usages sociaux et des modes d'engagement ou encore faire le point sur les régulations politiques et économiques. C'est donc interroger Les mondes du surf dont il est question dans cet ouvrage, tant il est difficile et illusoire d'uniformiser ce « fait social total ».
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In: PS: political science & politics, Band 37, Heft 1, S. 47-50
ISSN: 0030-8269, 1049-0965
The existence of Kuhnian paradigm shifts in the US political science tradition is contemplated. It is contended that the proliferation of political scientific theories (eg, rational choice theory & institutionalism) does not constitute paradigm shifts; nevertheless, it is asserted that one paradigm shift has taken place within US political science. The transition between theories of the state & the emergence of the theory of democratic pluralism that arose during the 1920s & 1930s is interpreted as the only paradigm shift within US political scientific thought since the mid-19th century. After asserting that theories of the state had become stagnant in US political science by the early 1900s, scholarship that contributed to the rise of theories of democratic pluralism during the 1920s is identified. Even though theories of democratic pluralism were reworked prior to & immediately following WWII, it is argued that the behavioral revolution in political science during the 1950s does not represent a Kuhnian paradigm shift. Indeed, it is concluded that present-day political science scholarship continues to use the conceptions of political reality & democratic pluralism that were established during the interwar period. 20 References. J. W. Parker
This thesis examines the ways in which representations of orientalised and gendered 'others' are manipulated and deployed in the Bush Administration's 'War on Terror' discourse, enabling military interventions in Afghanistan and Iraq. International politics is characterised by practices of representation that, through their production of dominant regimes of 'truth' and 'knowledge', work to allow certain possibilities and actions whilst excluding or limiting others. Drawing on poststructural, postcolonial and feminist IR, this thesis identifies and challenges assumptions concerning the apparent naturalness of identities of race, gender and sex and their deployment in official 'War on Terror' discourse. This discourse utilises a range of binaries that situate the 'West' in opposition to the 'East' – for example, good/evil, civilised/barbaric, rational/irrational, progressive/backward – and involve the (re)production of mainstream understandings of 'race' and 'gender'.Using a discourse analytic approach, this thesis interrogates such representations using a critical lens based on Edward Said's concept of orientalism. In particular, it is concerned with the ways in which orientalist discourses configure gender and sexual differences, and as such the thesis begins by developing 'gendered orientalism' as the critical lens through which the discursive construction of the 'War on Terror' is unravelled. Tracing the development of US self-identity and its impact on foreign policy, the thesis then demonstrates the US' long-standing engagement with gendered orientalist discourses that shape the discursive construction of the military interventions into Afghanistan and Iraq. Analysing texts produced by the Bush Administration during the 'War on Terror' demonstrates that official representations work to legitimise intervention through the deployment of identity categories that are based on perceived differences in gender, gender roles, and sexuality and a belief that these differences are also rooted in 'race'. The hierarchical organisation of these categories, underpinned by orientalist dichotomies, lend themselves to the construction of narratives in which the US can position itself as the bringer of civilisation, democracy, equality, and security through the violence of the 'War on Terror'. Ultimately, the deployment of these gendered orientalist representations allows the 'War on Terror' and its military interventions to be constructed as unavoidable.
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In: International labor and working class history: ILWCH, Band 43, S. 48-64
ISSN: 1471-6445
In the beginning was the Theory. Even before the collapse of Soviet communism, the glow of Marxism in American (and European) universities was beginning to dim. Now we look back on our own investment in Marxism, not always with satisfaction. At best, the theory did not so much fail historians, as historians, in their efforts to redress the lacunae in the theory, wrote around it to the extent that theory ultimately became marginal to their enterprise. This is hardly surprising since Marxism, having given up pretense to science by the mid-1960s, became largely a critical theory in the sense that its main sources were European thinkers – Gramsci, Adorno, Foucault, Althusser – who sought to repair the crumbling walls and beams remaining from the wreckage of Stalinism.
In one of the only works drawing on interviews with both Uyghurs and Han in Xinjiang, China, and postcolonial perspectives on ethnicity, nation, and race, this book explores how forms of banal racism underpin ideas of self and other, assimilation and modernisation, in this restive region. Significant international attention has condemned the CCP's use of forced internment in 're-education' camps, as well as its campaign of cultural assimilation. In this wider context, this book focuses upon the ways in which ethnic difference is writ through the banalities of everyday life: who one trusts, what one eats, where one shops, even what time one's clocks are set to (Xinjiang being perhaps one of the only places where different ethnic groups live by different time-zones). Alongside chapters focusing upon the coercive 're-education' campaign, and the devastating Ürümchi Riots in 2009, this book also unpacks how discourses of Chinese nationalism romanticise empire and promote racialised ways of thinking about Chineseness, how cultural assimilation ('Sinicisation') is being justified through the rhetoric of 'modernisation', how Islamic sites and Uyghur culture are being secularised and commodified for tourist consumption. We also explore Uyghur and Han perspectives, including of each other, giving insight into the diversity of opinions within both groups. Based on many years of living and working in China, and fieldwork and interviews specifically in Xinjiang, this book will be valuable to a variety of readers interested in the region and Uyghur and Han identity, ethnic/national identities in contemporary China, and racisms in non-western contexts