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ObjectivesThis article provides an overview of how the interdisciplinary field of disaster studies contributes to the social sciences.MethodsThe following themes are explored in relation to the articles contained in the special issue: disasters are social and political phenomena that generate policy change, disasters reflect and affect democratic governance, and disasters reveal shared experience and collective identity.ResultsDisaster studies bridge the social sciences theoretically and methodologically. Given the scope of disaster impacts—across social, political, economic, ecological, and infrastructure spheres—and the policy response they garner involving public, private, and civic actors, they offer a lens by which to see society and politics in a way that no other critical events can.ConclusionDisaster studies offer important applications of social science theories and concepts that expand the field, broaden our reach as social scientists, and deepen our understanding of fundamental social processes and behaviors in meaningful ways.

Contents: Methodology; Organization.

This book offers a systematic view of social analysis that will advance the communication of results between different academic disciplines. It overcomes misunderstandings that are due to the use of an unstructured variety of methodological traditions in the analysis of complex socioeconomic and political processes. The book focuses on the special features of human society: humans as subjects, non-repetitiveness and irreversibility of social actions, and the peculiar relations between necessity and possibility in human action. It defines methodological criteria, procedures and rules that enable researchers to select and classify realistic hypotheses to derive general principles and basic organizational features. It then applies these criteria in critical reviews of major theories and interpretations of society and history, offering clarifications and alternative proposals with regard to crucial aspects of anthropological, political, juridical, sociological, and religious thought

Why rethinking? -- The social organization of scientific and technological advance -- Big science and large technological systems -- Science, technology, and economic change -- The mediation of politics as a large technological system -- The consumption of technology in everyday life -- Who's afraid of scientific objectivity and technological determinism?

"This accessible book introduces the story of 'social science, ' with coverage of history, politics, economics, sociology, psychology, anthropology, and geography. Eller explains the origin, evolution, methods, main figures in each discipline, as well as the literature, concepts, and theories. The chapters also feature a range of contemporary examples, with consideration given to how the disciplines address present-day issues."--Back cover

International audience ; Les soulèvements aussi inattendus que spectaculaires qui se sont produits à partir de la fin de l'année 2010 au sud et à l'est de la Méditerranée ont bouleversé des sociétés entières, bien au-delà du champ politique. Leurs prolongements tout aussi divers, imprévisibles et parfois dramatiques, continuent d'affecter l'ensemble de la région, au-delà des pays directement concernés.Face à l'accélération de l'histoire, la demande sociale s'intensifie pour mieux comprendre. Dans le concert d'expertise mobilisée, l'ensemble des sciences sociales et humaines est mis à contribution. Ce dossier propose d'examiner comment les chercheurs de diverses disciplines (histoire, science politique, sociologie, anthropologie, linguistique…) ont pu répondre à l'épreuve de cette interpellation à partir d'expériences concrètes et comparées fort diverses.Investissement professionnel et personnel à la fois, la recherche en sciences sociales ne peut faire l'économie d'une réflexion sur les conditions de production du savoir, sur la façon d'écrire et de décrire une histoire dans laquelle les observateurs sont eux-mêmes engagés. Les révolutions arabes invitent à une démarche réflexive qui interroge la position du chercheur, la spécificité de son métier et sa capacité à rendre intelligibles les événements majeurs de l'histoire récente.Les auteurs rassemblés dans ce volume s'interrogent donc sur l'évolution des grilles de lecture, l'émergence d'objets originaux ou de pistes de recherche inédites, l'activation de nouveaux débats à l'intérieur des disciplines ou entre elles. Mais ils se penchent aussi sur les conditions pratiques de la recherche à un moment où certains terrains d'enquêtes se ferment et d'autres s'ouvrent, où de nouveaux espaces et objets d'investigation se créent, où l'apparition de sources, l'ouverture d'archives ne peut faire oublier que des pans entiers de sociétés sont menacés de destruction.

International audience ; Les soulèvements aussi inattendus que spectaculaires qui se sont produits à partir de la fin de l'année 2010 au sud et à l'est de la Méditerranée ont bouleversé des sociétés entières, bien au-delà du champ politique. Leurs prolongements tout aussi divers, imprévisibles et parfois dramatiques, continuent d'affecter l'ensemble de la région, au-delà des pays directement concernés.Face à l'accélération de l'histoire, la demande sociale s'intensifie pour mieux comprendre. Dans le concert d'expertise mobilisée, l'ensemble des sciences sociales et humaines est mis à contribution. Ce dossier propose d'examiner comment les chercheurs de diverses disciplines (histoire, science politique, sociologie, anthropologie, linguistique…) ont pu répondre à l'épreuve de cette interpellation à partir d'expériences concrètes et comparées fort diverses.Investissement professionnel et personnel à la fois, la recherche en sciences sociales ne peut faire l'économie d'une réflexion sur les conditions de production du savoir, sur la façon d'écrire et de décrire une histoire dans laquelle les observateurs sont eux-mêmes engagés. Les révolutions arabes invitent à une démarche réflexive qui interroge la position du chercheur, la spécificité de son métier et sa capacité à rendre intelligibles les événements majeurs de l'histoire récente.Les auteurs rassemblés dans ce volume s'interrogent donc sur l'évolution des grilles de lecture, l'émergence d'objets originaux ou de pistes de recherche inédites, l'activation de nouveaux débats à l'intérieur des disciplines ou entre elles. Mais ils se penchent aussi sur les conditions pratiques de la recherche à un moment où certains terrains d'enquêtes se ferment et d'autres s'ouvrent, où de nouveaux espaces et objets d'investigation se créent, où l'apparition de sources, l'ouverture d'archives ne peut faire oublier que des pans entiers de sociétés sont menacés de destruction.

Migration and emigration trends in the German-speaking districts of Azovo and Halbstadt, western Siberia; early 1990s.

Social workers provide more social services to populations across the life span than any other human service profession, including psychiatry, nursing, and psychology. The scientific methodologies and the scientific knowledge relevant to social services have expanded dramatically in the last 30 years. Using the two indicators of the total number of journals and the impact factors of those journals, it would appear that social work's contribution to that expanding scientific knowledge base has been relatively limited. The purpose of this article is to examine the relationship between social work and science and to propose the outlines of a science of social work that intends to serve as a catalyst for shaping social work into a scientific discipline.