BOOK REVIEWS: International Relations - Governing the Internet: The Emergence of an International Regime
In: American political science review, Band 96, Heft 3, S. 684-685
ISSN: 0003-0554
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In: American political science review, Band 96, Heft 3, S. 684-685
ISSN: 0003-0554
In: American political science review, Band 95, Heft 3, S. 773
ISSN: 0003-0554
In: American political science review, Band 95, Heft 1, S. 252
ISSN: 0003-0554
In: The Economic Journal, Band 99, Heft 397, S. 871
In: Foreign affairs: an American quarterly review, Band 68, Heft 2, S. 189
ISSN: 2327-7793
La sous-traitance internationale existe depuis longtemps, mais elle s'est accentuée au cours des dernières décennies. En effet, l'économie globalisée d'aujourd'hui est faite d'une libre-circulation grandissante des marchandises, des services et des capitaux. Il en résulte une forme de division internationale du travail et de spécialisation accrue de certains fabricants ou fournisseurs de services implantés dans différents pays. Afin de réaliser des projets complexes, le recours à la sous-traitance internationale est devenu de plus en plus fréquent, les entrepreneurs principaux ayant recours à des sous-traitants étrangers hautement spécialisés ou dont les services présentent un avantage économique par rapport à des fournisseurs locaux. (.) La multiplication des relations contractuelles qui caractérise en général le phénomène de la sous-traitance s'accompagne, en cas de sous-traitance internationale, d'une multiplication des ordres juridiques susceptibles de régir ces relations. Chaque contrat contribuant à la réalisation de l'objectif commun est susceptible de relever de droits nationaux différents, et de juges nationaux différents. Comme l'écrivent D. Bureau et H. Muir Watt, le droit international privé est l' « instrument de gestion de la diversité des droits » et il est le reflet des tensions qui peuvent naître entre les droits nationaux du fait des différents choix philosophiques et des préférences politiques que ceux-ci mettent en œuvre . Il revient au droit international privé de tenter de coordonner les différents systèmes juridiques nationaux, et de le faire dans toute la mesure du possible de manière harmonieuse. ; Master [120] en droit, Université catholique de Louvain, 2017
BASE
La sous-traitance internationale existe depuis longtemps, mais elle s'est accentuée au cours des dernières décennies. En effet, l'économie globalisée d'aujourd'hui est faite d'une libre-circulation grandissante des marchandises, des services et des capitaux. Il en résulte une forme de division internationale du travail et de spécialisation accrue de certains fabricants ou fournisseurs de services implantés dans différents pays. Afin de réaliser des projets complexes, le recours à la sous-traitance internationale est devenu de plus en plus fréquent, les entrepreneurs principaux ayant recours à des sous-traitants étrangers hautement spécialisés ou dont les services présentent un avantage économique par rapport à des fournisseurs locaux. (.) La multiplication des relations contractuelles qui caractérise en général le phénomène de la sous-traitance s'accompagne, en cas de sous-traitance internationale, d'une multiplication des ordres juridiques susceptibles de régir ces relations. Chaque contrat contribuant à la réalisation de l'objectif commun est susceptible de relever de droits nationaux différents, et de juges nationaux différents. Comme l'écrivent D. Bureau et H. Muir Watt, le droit international privé est l' « instrument de gestion de la diversité des droits » et il est le reflet des tensions qui peuvent naître entre les droits nationaux du fait des différents choix philosophiques et des préférences politiques que ceux-ci mettent en œuvre . Il revient au droit international privé de tenter de coordonner les différents systèmes juridiques nationaux, et de le faire dans toute la mesure du possible de manière harmonieuse. ; Master [120] en droit, Université catholique de Louvain, 2017
BASE
In: Recht in Ostmittel-, Südost- und Osteuropa - GUS 3
In: World politics: a quarterly journal of international relations, Band 27, Heft 2, S. 147-174
ISSN: 1086-3338
As the consequences of science and technology impinge more and more on international relations, states attempt to deal with the promise and dangers implicit in these consequences by the creation of international regimes. The nature and scope of such regimes are justified, in part, by the scientific and technological givens with which they are to deal. Increasingly, however, the process of justification is dominated by constructs and arguments taken from systems theory, thus mixing the epistemological styles of the natural and the social sciences. It is often not clear whether justification in terms of systems theory is rhetoric or based on demonstrated isomorphisms. The article seeks to answer this question by presenting a four-fold typology of systems theories together with their assumptions and relevance to the creation of international regimes. The article then examines three specific proposals for international action on science and technology, prepared under OECD auspices, in order to demonstrate the extent to which they rely on systems theory and to determine how persuasive the systemic justification is. The conclusion: there is an inverse relationship between the elaborateness of the systemic justification and the acceptability of the regime on logical, empirical, and moral grounds.
In: The journal of conflict resolution: journal of the Peace Science Society (International), Band 58, Heft 7, S. 1311-1337
ISSN: 1552-8766
How does the hawkish or dovish nature of the domestic opposition in one state influence its own, as well as an international opponent's, negotiating behavior? I show that doves, when negotiating in the presence of a hawkish opposition, have more bargaining leverage in international negotiations. The key is to understand an international opponent's preference to deal with a dove rather than a hawk in future negotiations. I argue that adversaries have an incentive to concede more in negotiations to doves in order to sustain them in office, because failing to give concessions may lead to their replacement by less conciliatory (more hawkish) governments in the future. For this reason, doves are more likely than hawks to extract critical concessions from adversaries. The empirical results support this argument, which altogether suggests that doves are more successful in international negotiations not because they are more conciliatory, but rather because, for domestic reasons, they have greater bargaining leverage to extract counter-concessions from adversaries.
In: In Marc Bungenberg, Markus Krajewski, Christian Tams, Jörg Philip Terhechte, Andreas Ziegler (eds) European Yearbook of International Economic Law 2018, Springer, 2019, p. 383-403
SSRN