In: La revue internationale et stratégique: l'international en débat ; revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Heft 85, S. 131-134
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 82, Heft 2, S. 87-96
In: La revue internationale et stratégique: l'international en débat ; revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Heft 82, S. 87-96
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 76, Heft 4, S. 35-44
Résumé La fin de la Guerre froide a laissé les organismes de réflexion stratégique sans ennemi planétaire. Les think tanks américains (les strategists ), en charge de mesurer les risques et les menaces, de formater l'effort de défense et de justifier l'emploi de la force, ont donc fabriqué de l'ennemi sur des analyses dont le temps a révélé le caractère artificiel. La « menace Sud », la « guerre des civilisations » et enfin la « guerre globale contre le terrorisme et la prolifération » ont toutes été analysées et débattues par des Européens tétanisés par ces nouveaux paradigmes. La faillite des systèmes de réflexion stratégiques européens a laissé la place aux intellectuels médiatiques, aux humanitaires et aux diasporas, devenus très influents dans la détermination de l'adversaire. La machine à produire de l'ennemi est donc loin de s'être assagie.
In: La revue internationale et stratégique: l'international en débat ; revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Heft 76, S. 35-44
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 57, Heft 1, S. 73-82
In: La revue internationale et stratégique: l'international en débat ; revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Heft 57, S. 73-82
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 52, Heft 4, S. 153-160
L'intelligence économique a, un temps, occupé les sphères gouvernementales. Inventée par les Japonais, cette méthode qui associe actions et moyens publics et privés, et dont l'efficacité a été prouvée par l'expérience américaine, se heurte à une culture française encore trop marquée par la rétention d'information et les corporatismes. Le récent rapport de Bernard Carayon (2003), neuf ans après le rapport Martre, ne peut que constater les retards français malgré des initiatives publiques et privées ambitieuses. La nouvelle dimension interministérielle et intersectorielle des nouveaux risques sécuritaires, terroristes ou sanitaires ne semble pas devoir changer fondamentalement les habitudes.
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 49, Heft 1, S. 102-109