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La montée en puissance de l'efficacité comme critère d'évaluation des politiques publiques illustre le cadre nouveau dans lequel s'insère l'action des décideurs publics. En matière de défense nationale, cet article propose une analyse des conditions d'application de l'efficacité en insistant sur la singularité organisationnelle du service défense nationale. En effet, plusieurs modèles d'efficacité (budgétaire, économique et managériale) contribuent de manière complémentaire à définir ce qu'est une allocation optimale des ressources au sein de la défense. À partir de ce cadre analytique et dans une perspective d'évaluation des politiques publiques de défense, nous présenterons et discuterons les expériences américaines et britanniques de recherche d'une plus grande performance de leurs armées.

Quelles sont les préférences budgétaires des Français sous contrainte de respect du critère de Maastricht (3% de déficit public) ? L'objet de cette note est de présenter les résultats d'une expérience en ligne où les répondants ont été mis en situation d'arbitre budgétaire parmi les 10 principaux postes de dépenses publiques de l'Etat. Trois résultats importants s'en dégagent : 1- les répondants expriment des choix cohérents avec leurs préférences politiques au détriment d'une rationalité procédurale ; 2- la santé et les retraites sont les deux domaines d'intervention faisant l'objet d'une forme de sanctuarisation budgétaire ; 3- les logiques d'arbitrage budgétaire sont également motivées par des préférences partisanes.

Quelles sont les préférences budgétaires des Français sous contrainte de respect du critère de Maastricht (3% de déficit public) ? L'objet de cette note est de présenter les résultats d'une expérience en ligne où les répondants ont été mis en situation d'arbitre budgétaire parmi les 10 principaux postes de dépenses publiques de l'Etat. Trois résultats importants s'en dégagent : 1- les répondants expriment des choix cohérents avec leurs préférences politiques au détriment d'une rationalité procédurale ; 2- la santé et les retraites sont les deux domaines d'intervention faisant l'objet d'une forme de sanctuarisation budgétaire ; 3- les logiques d'arbitrage budgétaire sont également motivées par des préférences partisanes.

Quelles sont les préférences budgétaires des Français sous contrainte de respect du critère de Maastricht (3% de déficit public) ? L'objet de cette note est de présenter les résultats d'une expérience en ligne où les répondants ont été mis en situation d'arbitre budgétaire parmi les 10 principaux postes de dépenses publiques de l'Etat. Trois résultats importants s'en dégagent : 1- les répondants expriment des choix cohérents avec leurs préférences politiques au détriment d'une rationalité procédurale ; 2- la santé et les retraites sont les deux domaines d'intervention faisant l'objet d'une forme de sanctuarisation budgétaire ; 3- les logiques d'arbitrage budgétaire sont également motivées par des préférences partisanes.