Montaillou, village occitan, de 1294 à 1324
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 31, Heft 3, S. 741
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
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In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 31, Heft 3, S. 741
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 24, Heft 2, S. 424-433
ISSN: 1953-8146
En 1908, Louis J. Thomas publiait les chiffres de population de quatre seigneuries ou baillies languedociennes, pour la fin du XIIIe siècle, et pour le XIVe siècle. Il en concluait que ces populations médiévales n'étaient pas tellement inférieures à celles de l'époque moderne et contemporaine, telles qu'on les connaissait, à son époque, par le recensement de 1906.La publication de Louis J. Thomas est irréprochable, et digne en tous points des autres contributions de ce maître, auquel doit tant l'historiographie du Bas Languedoc. Mais ses conclusions méritent d'être discutées.Il est bien évident, en effet, que l'évolution démographique du Languedoc — non plus que celle du reste de la France — n'a pas été linéaire; en enjambant d'un seul coup six siècles d'histoire médiévale, moderne et contemporaine, on s'expose à négliger le problème essentiel : celui du niveau de peuplement dans la civilisation traditionnelle.
In: The economic history review, Band 20, Heft 3, S. 623
ISSN: 1468-0289
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 22, Heft 3, S. 560
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 23, Heft 3, S. 541-555
ISSN: 1953-8146
L'étude ci-dessous a été présentée au deuxième Colloque franco-suisse d'histoire économique qui s'est tenu à Genève les 5 et 6 mai 1967.A l'instigation du professeur Pierre Léon, une première rencontre avait eu lieu à Lyon en 1965, entre historiens et chercheurs de cette ville et de Genève. Le thème des débats, fort intéressant, se limitait encore aux problèmes des relations franco-suisses.Cette année, à Genève même, les perspectives se sont élargies. Le professeur Jean-François Bergier, organisateur du second colloque, a invité des représentants d'autres régions de la France et de la Suisse (Grenoble, Saint-Etienne, Marseille, Lausanne, Fribourg, Zurich), ce qui a contribué à diversifier les centres d'intérêt. Sur les problèmes d'histoire économique et sociale de Lyon — et notamment sur les relations d'affaires entre cette ville et la Suisse —, M. Pierre Léon et plusieurs de ses élèves se sont largement exprimés en une série d'importantes communications. Les chercheurs helvétiques ont présenté leurs travaux les plus récents sur l'histoire genevoise et vaudoise. Des historiens parisiens étaient également présents. Parmi eux, M. Pierre Goubert qui a fait une critique vivante du concept de la « Société d'Ordres ».Toutes ces communications seront publiées ultérieurement dans un volume spécial. Nous donnons ici, en prépublication aux lecteurs des Annales, un travail sur les tendances de la rente foncière à l'époque « classique ».
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 20, Heft 2, S. 257-290
ISSN: 1953-8146
Outre-Manche, les désertions de villages ont très tôt, suscité des plaintes, des pamphlets dénonciateurs, voire des couplets vengeurs, et corrélativement, des enquêtes royales et des procès. En Sardaigne, où le nombre des villages abandonnés l'emporte sur celui des localités vivantes, on a, dès le XVIe siècle dressé des listes de paroisses disparues. En France, rien de tel. Seuls, ou à peu près, les documents fiscaux dressent parfois des constats de désertion, avec la sécheresse qu'on devine ; à notre connaissance, les villages disparus n'ont ému ni le pouvoir souverain, ni le prédicateur, ni le philosophe. Dès l'abord, c'est ce silence des textes qu'il faut souligner.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 17, Heft 3, S. 434-447
ISSN: 1953-8146
Toute géographie botanique, toute étude des groupements végétaux et de leur répartition, oblige à tenir compte évidemment des données de l'histoire agricole. En effet dans les régions d'ancienne occupation humaine, les formations végétales ne sont pas en équilibre avec le milieu naturel. Le pacage, le défrichement, l'incendie les ont bouleversées ; il est rare de rencontrer sur le terrain la végétation originelle, le climax, ce stade normalement définitif et stabilisé, vers lequel évolue spontanément la flore d'une région donnée. Cette évolution idéale n'est-elle pas constamment remise en cause par la hache, le feu, le bétail ? Pour rendre compte des groupements végétaux réels, toujours dégradés et modifiés, force est de s'intéresser à l'histoire, principalement à l'histoire rurale.
In: Annales historiques de la Révolution Française, Heft 351, S. 177-195
ISSN: 1952-403X
In: The economic history review, Band 41, Heft 1, S. 159
ISSN: 1468-0289
In: The economic history review, Band 32, Heft 1, S. 154
ISSN: 1468-0289
In: The economic history review, Band 35, Heft 4, S. 643
ISSN: 1468-0289
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 31, Heft 1, S. 213
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 45, Heft 2, S. 483-505
ISSN: 1953-8146
Suivre un métal d'une provenance donnée « à la trace » n'est pas une simple métaphore. Les alliages métalliques (et donc monétaires) contiennent en effet à côté des éléments majeurs (or-argent-cuivre pour les monnaies d'or ; argentcuivre pour les monnaies d'argent) que l'on mesure en pourcentage, des éléments- traces présents en quantités infimes, mesurées en parties pour million ou ppm (10 6 g/g). Ces traces constituent comme la carte d'identité, ou l'empreinte digitale, des minerais sources. Leur détection et leur mesure sont d'avancée récente ; seule l'application de la physique nucléaire au matériel archéologique les a rendues possibles.
In: The economic history review, Band 31, Heft 3, S. 485
ISSN: 1468-0289