Editorial
In: Society and business review, Band 13, Heft 1, S. 2-4
ISSN: 1746-5699
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In: Society and business review, Band 13, Heft 1, S. 2-4
ISSN: 1746-5699
In: Society and business review, Band 12, Heft 3, S. 254-255
ISSN: 1746-5699
In: Society and business review, Band 12, Heft 2, S. 118-120
ISSN: 1746-5699
In: Society and business review, Band 12, Heft 1, S. 2-3
ISSN: 1746-5699
Care is one of the patterns of thought linked to feminism, which can be defined as a sex and biological, social and political life programme built with regard to sex (in the first two cases) and gender (in the second two cases). This line of thought embodies the logic of relativising patriarchal values by considering the male as a generic and thus as a universal 'false' and by considering the life of couple from a criticism of the domination registers of one another. For life in society, the thoughts vary between the content to be given to parity and the content to be given to complementarity. To speak of care requires a definition of what is at stake and it is important to highlight the multitude of concepts associated with it, as the whole is a real fresh one, the cardinal points of which could be as follows: — Is it rather representative of a process, rather of a state, or of both aspects at the same time? With care, there is a question of tension.- Is it a rather representative concept of emotion (that is to say, a disorder, temporary agitation, a highly emotional emotional reaction caused by a stimulus coming from the environment, a concept linked to the individual and his consciousness), an impression (that is to say, something from an outside that marks with regard to appearances), a feeling (more or less clear knowledge of an immediate fact, an opinion or even a lasting emotional state and which, unlike printing depends on a collective dimension), or still the three aspects at the same time? It should be emphasised that these three concepts belong to the field of affective (and not that of the cause) and the fact that they are accessed through sensations through cognitivo-sensualist prism which underlies them. In very general terms, care can be defined as everything that revolves around the concept of attention (mobilisation, reception, associated activities). This is a non-utilitarianism form of concern and concern for the other. ; Master ; Care is one of the patterns of thought linked to feminism, ...
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from an etymological point of view, the word 'waste', derived from the verb dechoir, means, from the age of age, the part which is lost. At the beginning of the 19th century, the word also characterises a deceased person. It should be stressed that it is close to the concept of obsolescence. How also do you not mention G. Bataille's share. Waste can be considered as one of the possible analysers of the functioning of a society as it is representative of social relationships, differences in classes, duality between men and women (male waste may be substantially different from female waste), cultural differences between societies (see archaeology of palaethic bins), or hygiene concepts which form the basis for the difference between clean and dirty, dirty being the first step in a sort of waste life cycle. The relationship to waste can also be regarded as a matter of institutional construction (1975 in France with the creation of the Ministry of the Environment). He also raised the question of the relationship between biological society (the family universe and its domestic waste), civil society (economic with industrial waste, non-economic with the debate on the place of NGOs in waste) and political society (existence of a ministry responsible for the matter, public policies expressed both in terms of subsidies and incentives and for the alternative between collection and what happens after the issue of environmental protection). ; D'un point de vue étymologique, le mot de « déchet », dérivé du verbe déchoir, signifie, à partir du Moyen-âge, la part qui est perdue. Au début du XIX° siècle, le mot caractérise également une personne dégénérée. Il faut en souligner la proximité avec la notion d'obsolescence. Comment ne pas mentionner non plus La part maudite de G. Bataille. Il est possible de considérer le déchet comme étant un des analyseurs possibles du fonctionnement d'une société dans la mesure où ils sont représentatifs de rapports sociaux, de différences de classes, de la dualité hommes / femmes (les déchets ...
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Critique politique de l'usage d'une langue unique dans la recherche en sciences de gestion ; Doctoral
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In: Society and business review, Band 10, Heft 3
ISSN: 1746-5699
In: Society and business review, Band 10, Heft 1
ISSN: 1746-5699
Dans la mesure où le philosophe J. Habermas est couramment cité comme référence en sciences des organisations, principalement pour l'« Ethique de la discussion », c'est pourquoi il figure ici à titre de conclusion de ce chapitre. Se référer à l' « Ecole de Francfort » implique de devoir commenteraussi sa conceptualisation en termes d'« Agir communicationnel ». Ce qu'il est convenu d'appeler « Ethique de la discussion » recouvre l'oeuvre de plusieurs philosophes. Il s'agit, pour l'essentiel, d'auteurs allemands qui s'opposent entre eux sur certains points. L'« Ethique de la discussion », si elle ouvre des perspectives nouvelles, se réfère aussi à une tradition, celle de l'« Ecole de Francfort » dont la démarche s'est constituée autour d'une réflexion philosophique et politique sur la société allemande d'avant et d'après le nazisme qui mêle marxisme, hégélianisme, kantisme et aussi l'apport de certaines sciences humaines comme la sociologie. La dimension critique fondamentale de cette « école » conduisit certains de ces auteurs (T. W. Adorno et M. Hochkeimer) à une conception assez pessimiste de la société contemporaine. Ils voyaient les signes de l'inachèvement d'un projet fondamental, celui de la « modernité des Lumières » (échec qu'on peut constater à travers le triomphe passager mais tragique du nazisme). L'écroulement des valeurs que le nazisme entraîna, fit dire à beaucoup de penseurs de tous horizons qu'on ne pouvait plus penser après Auschwitz. A travers cette tragédie, il semblait désormais que l'irrationalisme fût le dernier mot en matière de pensée. De ce point de vue le génocide qui confirme l'effondrement de la vision rationnelle du monde entraîne aussi une conception morale pessimiste comme l'atteste la déclaration de M. Hochkeimer : « Nous ne pouvons plus dire où est la justice, mais seulement là où est le mal » 1. Cet écroulement de la raison est aussi interprété par certains auteurs comme la conséquence de la démarche et de la dérive nietzschéennes qui fonde, selon J. Habermas, les oeuvres de G. ...
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Dans la mesure où le philosophe J. Habermas est couramment cité comme référence en sciences des organisations, principalement pour l'« Ethique de la discussion », c'est pourquoi il figure ici à titre de conclusion de ce chapitre. Se référer à l' « Ecole de Francfort » implique de devoir commenteraussi sa conceptualisation en termes d'« Agir communicationnel ». Ce qu'il est convenu d'appeler « Ethique de la discussion » recouvre l'oeuvre de plusieurs philosophes. Il s'agit, pour l'essentiel, d'auteurs allemands qui s'opposent entre eux sur certains points. L'« Ethique de la discussion », si elle ouvre des perspectives nouvelles, se réfère aussi à une tradition, celle de l'« Ecole de Francfort » dont la démarche s'est constituée autour d'une réflexion philosophique et politique sur la société allemande d'avant et d'après le nazisme qui mêle marxisme, hégélianisme, kantisme et aussi l'apport de certaines sciences humaines comme la sociologie. La dimension critique fondamentale de cette « école » conduisit certains de ces auteurs (T. W. Adorno et M. Hochkeimer) à une conception assez pessimiste de la société contemporaine. Ils voyaient les signes de l'inachèvement d'un projet fondamental, celui de la « modernité des Lumières » (échec qu'on peut constater à travers le triomphe passager mais tragique du nazisme). L'écroulement des valeurs que le nazisme entraîna, fit dire à beaucoup de penseurs de tous horizons qu'on ne pouvait plus penser après Auschwitz. A travers cette tragédie, il semblait désormais que l'irrationalisme fût le dernier mot en matière de pensée. De ce point de vue le génocide qui confirme l'effondrement de la vision rationnelle du monde entraîne aussi une conception morale pessimiste comme l'atteste la déclaration de M. Hochkeimer : « Nous ne pouvons plus dire où est la justice, mais seulement là où est le mal » 1. Cet écroulement de la raison est aussi interprété par certains auteurs comme la conséquence de la démarche et de la dérive nietzschéennes qui fonde, selon J. Habermas, les oeuvres de G. Bataille, M. Foucault et J. Derrida.Cette crise de la raison, de la métaphysique conduit aussi à un usage particulier, celui de la raison instrumentale, positiviste et scientiste, neutre sur le plan axiologique, au moins en apparence et qui ne reconnaît plus d'autres valeurs que celles de l'efficacité, de l'utilité, de la réussite pragmatique à l'oeuvre dans le domaine de la science et de l'économie ou dans une gestion technocratique de la société et des rapports entre les êtres humains. Face au paradoxe de l'éthique, les auteurs de l' « Ecole de Francfort » plaident pour le maintien d'une éthique rationnelle. Elle retrouve une telle alternative à travers ce qu'elledénomme les deux grands courants dominants dans les sociétés occidentales-la philosophie analytique d'une part et l'existentialisme de l'autre, s'opposant à travers 1 M. Horkheimer & T. W. Adorno, La dialectique de la Raison: fragments philosophiques, Gallimard
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La notion de régulation est ambiguë ne serait-ce que parce son sens diffère selon les disciplines qui s'y réfèrent (c'est un concept transdisciplinaire), mais aussi dans la mesure où elle ouvre le champ politique à l'ambivalence qui vaut entre incitation et coercition par recours, par exemple, à la notion de « guide » dont il est important de rappeler le fondement religieux même si on parle plus souvent de référentiel et / ou de normes en sciences des organisations. Elle ouvre deux autres questions : celle de la prescription (et donc, dans une logique foucaldienne, celle de la surveillance et du contrôle) et celle de la déviance. Il est avant tout question d'action organisée
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La notion de régulation est ambiguë ne serait-ce que parce son sens diffère selon les disciplines qui s'y réfèrent (c'est un concept transdisciplinaire), mais aussi dans la mesure où elle ouvre le champ politique à l'ambivalence qui vaut entre incitation et coercition par recours, par exemple, à la notion de « guide » dont il est important de rappeler le fondement religieux même si on parle plus souvent de référentiel et / ou de normes en sciences des organisations. Elle ouvre deux autres questions : celle de la prescription (et donc, dans une logique foucaldienne, celle de la surveillance et du contrôle) et celle de la déviance. Il est avant tout question d'action organisée
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In: Society and business review, Band 9, Heft 2
ISSN: 1746-5699
In: Society and business review, Band 9, Heft 1
ISSN: 1746-5699