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Western historical scholarship has taught us much about Southeast Asia in the period between 1800 and 1940. This was a time when the insistent, intensifying and transforming influence of Dutch colonial society and its culture became widespread in Bali and more broadly in the archipelago. Much too has been written about the analytical framework of European histories of these times. In this essay I discuss Balinese paintings from this same period which shed light on how painters and their works spoke to their viewers both about how the Balinese knew, imagined, thought and felt about the world in which they lived and about the visual representation and communication of these ideas, imaginings and feelings through the medium of narrative paintings. In this paper I hope to draw attention to a number of historiographical issues concerning the reception of the ideas, imaginings and feelings conveyed in paintings. In particular I shall have some remarks to make about the role of philology in this regard.

Voyages, Palais et paysages dans l'imaginaire javanais. Quelques commentaires préliminaires basées sur le kakawin sumanasāntaka
Les épopées kakawin contiennent des descriptions vivantes des espaces architecturaux des palais, villages, temples et hermitages, des paysages ruraux et de l'espace des régions sauvages. Dans cet essai on discute comment une lecture du poème épique de Mpu Monaguṇa Sumanasāntaka (La mort par une fleur sumanasa) peut contribuer à interpréter l'histoire de l'environnement javanais au début du XIIIe siècle et peut être utile aux archéologues qui tentent d'interpréter les usages socio-culturels des sites qu'ils fouillent. Ce faisant, nous posons la question de savoir à quel point un tel poème donne une description fidèle de la vie javanaise de cette époque, ce qui nous entraîne à considérer deux choses. D'abord la différence entre ce qui pourrait être le témoignage d'une véritable culture javanaise opposée à une culture indienne et ensuite si ce poème est un témoignage de la vie réelle et non pas une oeuvre romanesque.

Peter Worsley
Lo Fen Koei, roman pulié en 1803 dans un quotidien de Batavia par le célèbre journaliste Gouw Peng Liang, connut une popularité suffisante pour être publié sous forme de livre la même année, pour circuler aussi sous forme de manuscrit dans une version différente et pour être encore adapté à la scène. L'histoire, celle des turpitudes d'une fermier d'opium de Java Centre, était tirée de faits divers publiés dans le même journal, le Bintang Betawi, mais la dramatisation des faits et des personnages, la mise en contraste des comportements et la morale des événements transformés en conte, appartiennent à l'auteur. Plus que des aperçus de la vie des Chinois à Java en ce tournant de siècle, on peut y lire assez précisément la façon dont la communauté chinoise se représentait le monde dans lequel elle vivait et comment elle jugeait ce qu'il aurait dû être.

SUMMARYThe author contends that there is no uniform mode of agricultural development. Rather, three major "ideal‐types" have to be distinguished: capitalist agriculture, peasant agriculture, and socialist agriculture. The continuing effectiveness of the first of these as a productive system, especially in its modern form, "agribusiness", is discussed, as well as its social dysfunctions, as are attempts to develop socialist alternatives, from collectivization to cooperatives, and the continuing peasant dream of independence on one's own family smallholding.RÉSUMÉL'auteur soutient qu'il n'y a pas un mode unique de développement agricole, mais qu'il faut plutôt distinguer trois "idéal‐types" principaux: l'agriculture capitaliste, l'agriculture paysanne et l'agriculture socialiste. L'auteur procède alors à la discussion des themes suivants: l'efficacité de l'agriculture capitaliste à travers le temps, et spécialement dans sa forme moderne ("agribusiness"), mais aussi ses effets sociaux néfastes; les essais de développement d'alternatives socialistes, depuis la collectivisation jusqu'à la coopérative; et l'éternel rêve paysan de l'indépendance à travers l'exploitation familiale.ZUSAMMENFASSUNGNach Meinung des Verfassers gibt es keinen einheitlichen Weg der landwirtschaftlichen Entwicklung. Vielmehr müssen drei "Idealtypen" unterschieden werden: kapitalistische Landwirtschaft, bäuerliche Landwirtschaft und sozialistische Landwirtschaft. Die anhaltende Effektivität der ersteren als Produktionssystem, vor allem in ihrer modernen Form, dem "Agribusiness", wird diskutiert, ebenso deren soziale Unzulänglichkeiten, die Versuchc zur Entwicklung sozialistischer Alternativen von Kollektivierung bis hin zu Genossenschaften und der fortwährende Traum des Bauern von Unabhängigkeit auf dem eigenen kleinen Familienbetrieb.

SummaryThe author contends that there is no uniform mode of agricultural development. Rather, three major "ideal‐types" have to be distinguished: capitalist agriculture, peasant agriculture, and socialist agriculture. The continuing effectiveness of the first of these as a productive system, especially in its modern form, "agribusiness", is discussed, as well as its social dysfunctions, as are attempts to develop socialist alternatives, from collectivization to cooperatives, and the continuing peasant dream of independence on one's own family small‐holding.ZusammenfassungNach Meinung des Verfassers gibt es keinen einheitlichen Weg der landwirtschaftlichen Entwicklung. Vielmehr müssen drei "Idealtypen" unterschieden werden: kapitalistische Landwirtschaft, bäuerliche Landwirtschaft und sozialistische Landwirtschaft. Die anhaltende Effektivität der ersteren als Produktionssystem, vor allem in ihrer modernen Form, dem "Agribusiness", wird diskutiert, ebenso deren soziale Unzulänglichkeiten, die Versuche zur Entwicklung sozialistischer Alternativen von Kollektivierung bis hin zu Genossenschaften und der fortwährende Traum des Bauern von Unabhängigkeit auf dem eigenen kleinen Familienbetrieb.