Mainstream Sunnism, Salafi-Jihadism and progressive Islam: Rejoinder to Alan Gabon's
In: Studies in conflict and terrorism, Band 45, Heft 3, S. 211-222
ISSN: 1521-0731
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In: Studies in conflict and terrorism, Band 45, Heft 3, S. 211-222
ISSN: 1521-0731
In: Comparative politics and international studies series
In: Studies in conflict and terrorism, Band 45, Heft 3, S. 211-222
ISSN: 1521-0731
World Affairs Online
In: Mediterranean politics, Band 26, Heft 4, S. 498-504
ISSN: 1354-2982, 1362-9395
World Affairs Online
In: Mediterranean politics, Band 26, Heft 4, S. 498-504
ISSN: 1743-9418
The doctrines of Sunni theology -- The demise of 'ilm al-kalam -- Between theology and creed -- The guide through the storm -- The Taliban and the Maturidite school -- The promise of Ash'arite semiotics -- Conclusion: the revival of kalam?
World Affairs Online
À partir d'une démarche de sociologie historique, ce livre aborde les raisons du « succès », depuis plus de cinquante ans, du radicalisme jihadiste-terroriste au sein de l'islam sunnite et, en partie, dans le monde entier. L'action jihadiste-terroriste impose une réaction armée et policière. Mais celle-ci est loin de suffire. Lire la suite À partir d'une démarche de sociologie historique, ce livre aborde les raisons du « succès », depuis plus de cinquante ans, du radicalisme jihadiste-terroriste au sein de l'islam sunnite et, en partie, dans le monde entier, cette vision politico-religieuse ayant réussi à imposer son agenda et sa logique d'action violente, d'où le titre : Jihad u akbar, « Le Jihad est grand ». En cheminant pas à pas au fil des quatre grands moments d'actions et d'idées qui prônent et pratiquent la violence armée comme vision intrinsèquement religieuse, l'analyse dégage les logiques sociologiques à l'oeuvre : organisationnelles, pragmatiques, cognitives. Au départ de groupuscules marginaux des années 1960-1970, ces logiques ont abouti à la constitution d'un véritable sous-système au sein de l'islam sunnite, ayant son autonomie d'action, sa capacité de communication avec ses contextes et sa puissance de reproduction. L'action jihadiste-terroriste impose une réaction armée et policière. Mais celle-ci est loin de suffire car elle conforte en partie la dynamique de la violence instaurée à partir de l'attentat du 11 septembre 2001, véritable coup de maître du programme jihadiste-terroriste. Dégager les logiques internes au système religieux lui-même et les logiques microsociologiques, contextuelles et géopolitiques permet de comprendre l'ampleur de l'enjeu auquel les sociétés musulmanes et non musulmanes sont confrontées si elles veulent sortir de cette spirale de la violence dans laquelle elles ont été embarquées à long terme. En effet, si le radicalisme jihadiste-terroriste a mis des dizaines d'années pour s'implanter, il en faudra tout autant pour s'en défaire. Et cela à condition d'une mobilisation collective de multiples énergies sociales, dont celles qui devraient se dégager plus spécifiquement dans les pays européens, tant parmi les musulmans que parmi les non-musulmans. En conclusion, l'ouvrage pointe quelques scénarios d'évolution possible du jihadisme-terroriste dans ce temps de l'après-Printemps arabe.
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À partir d'une démarche de sociologie historique, ce livre aborde les raisons du « succès », depuis plus de cinquante ans, du radicalisme jihadiste-terroriste au sein de l'islam sunnite et, en partie, dans le monde entier. L'action jihadiste-terroriste impose une réaction armée et policière. Mais celle-ci est loin de suffire. Lire la suite À partir d'une démarche de sociologie historique, ce livre aborde les raisons du « succès », depuis plus de cinquante ans, du radicalisme jihadiste-terroriste au sein de l'islam sunnite et, en partie, dans le monde entier, cette vision politico-religieuse ayant réussi à imposer son agenda et sa logique d'action violente, d'où le titre : Jihad u akbar, « Le Jihad est grand ». En cheminant pas à pas au fil des quatre grands moments d'actions et d'idées qui prônent et pratiquent la violence armée comme vision intrinsèquement religieuse, l'analyse dégage les logiques sociologiques à l'oeuvre : organisationnelles, pragmatiques, cognitives. Au départ de groupuscules marginaux des années 1960-1970, ces logiques ont abouti à la constitution d'un véritable sous-système au sein de l'islam sunnite, ayant son autonomie d'action, sa capacité de communication avec ses contextes et sa puissance de reproduction. L'action jihadiste-terroriste impose une réaction armée et policière. Mais celle-ci est loin de suffire car elle conforte en partie la dynamique de la violence instaurée à partir de l'attentat du 11 septembre 2001, véritable coup de maître du programme jihadiste-terroriste. Dégager les logiques internes au système religieux lui-même et les logiques microsociologiques, contextuelles et géopolitiques permet de comprendre l'ampleur de l'enjeu auquel les sociétés musulmanes et non musulmanes sont confrontées si elles veulent sortir de cette spirale de la violence dans laquelle elles ont été embarquées à long terme. En effet, si le radicalisme jihadiste-terroriste a mis des dizaines d'années pour s'implanter, il en faudra tout autant pour s'en défaire. Et cela à condition d'une mobilisation collective de multiples énergies sociales, dont celles qui devraient se dégager plus spécifiquement dans les pays européens, tant parmi les musulmans que parmi les non-musulmans. En conclusion, l'ouvrage pointe quelques scénarios d'évolution possible du jihadisme-terroriste dans ce temps de l'après-Printemps arabe.
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In: International journal of Middle East studies: IJMES, Band 47, Heft 1, S. 5-23
ISSN: 1471-6380
AbstractIn the early 17th century, the Shiʿi juristic tradition experienced the first coherent refutation ofuṣūliyya, theijtihādīrationalism used by the mujtahids, at the hands of Mulla Muhammad Amin Astarabadi (d. 1626–27). The latter rejected the efforts of leading Iraqi and Syrian jurists to applyijtihād(rational legal inference), hadith categorization, anddirāya(scrutiny and stratification of accounts) in deriving Shiʿi law. The main studies on Astarabadi'sakhbārī(traditionist) movement treat it as a reaction to the "influence" of Sunnism on the mujtahids or to their excessive "borrowings" from it, and stress the traditionists' abhorrence of assimilating any aspect of Sunnism. Underlining the shortcomings of these explanations, this article presents Astarabadi's thought as a discursive development within the Shiʿi juristic tradition, which is part of the grand Islamic tradition. Astarabadi became skeptical of the mujtahids' epistemology and methodology and was concerned that they jeopardized God's law and hence the believer's salvation. He protested the Safavid monarchs' legitimation ofuṣūlīlegal authority, the latter's hierarchical features, and, ultimately, the sociopolitical domination of the ʿAmili mujtahids from Jabal ʿAmil in Syria (or modern-day South Lebanon), starting with al-Muhaqqiq al-Karaki (d. 1534).
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 84, Heft 4, S. XVIII-XVIII
In: International journal of Middle East studies: IJMES, Band 47, Heft 1, S. 5-23
ISSN: 1471-6380
In: Journal of the economic and social history of the Orient: Journal d'histoire économique et sociale de l'orient, Band 60, Heft 5, S. 614-646
ISSN: 1568-5209
A growing number of studies argue that the Ottomans became militantly Sunni in the sixteenth century as they participated in the age of confessionalization. In defining Ottoman Sunnism, state policy and state-appointed jurists and scholars played a significant role. This paper attempts to define Ottoman Sunnism in the sixteenth century in a manner subtly different from that of the jurists, by looking at the views of Ottoman historians on the issues that divided the original Muslim community, ultimately resulting in the Sunni-Shiʿi schism. Despite the seemingly sectarian conflicts of the sixteenth century, neither rigid Sunnism nor fierce confessionalization was carried over into the intellectual and cultural scene. A moderate inclination towards Shiʿism/ʿAlidism and strong attachment to Ahl al-Bayt continued to be potent forces in Sunni Ottoman intellectual circles.
In: Resources in Arabic and Islamic studies no. 14
In: International journal of Middle East studies: IJMES, Band 55, Heft 3, S. 601-602
ISSN: 1471-6380
Ce mémoire de recherche s'intéresse à l'influence exercée par le facteur religieux dans l'élaboration de la politique étrangère saoudienne et iranienne dans le cadre du soulèvement bahreïni. Plus précisément, émettant l'hypothèse que les courants religieux chiite et sunnite ont influencé de manière différente les deux États étudiés dans l'élaboration de leur politique étrangère, l'objectif de ce travail est de relever cette influence et de déterminer son impact dans l'élaboration de ces politiques. Pour ce faire, ce mémoire se divise en quatre principaux chapitres. Un premier chapitre est consacré à une présentation de la religion islamique (ses origines, les différences entre le sunnisme et le chiisme, etc.). Un deuxième chapitre présente la question de recherche ainsi que les deux hypothèses explorées (H1 et H2). Enfin, les troisièmes et quatrièmes chapitres développent et traitent quant à eux ces deux hypothèses de travail. ; Master [120] en sciences politiques, orientation relations internationales, Université catholique de Louvain, 2018
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